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    Les Mystères de Marie-Madeleine, de Jésus, de leurs enfants et de leurs descendants : les Desposyni

    L’Association de Recherches Libres La Nouvelle Atlantide présente : Les Mystères de Marie-Madeleine, de Jésus, de leurs enfants et de leurs descendants, les Desposyni

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    Les Mystères de Marie-Madeleine, de Jésus, de leurs enfants et de leurs descendants : les Desposyni
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    • Hôtel Bedford
    • 19 juillet 2025
    • samedi, 14:00 à 17:30

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    Les Mystères de Marie-Madeleine, de Jésus, de leurs enfants et de leurs descendants : les Desposyni

    17 Rue de l'Arcade, 75008 Paris

    samedi, 14:00 à 17:30
    19 juillet 2025

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    Les Mystères de Marie-Madeleine, de Jésus, de leurs enfants et de leurs descendants : les Desposyni

    17 Rue de l'Arcade, 75008 Paris

    samedi, 14:00 à 17:30
    19 juillet 2025

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    Il y a quinze ans, en 2010, une chercheuse en christianisme ancien – Karen King, la bien nommée (Qu’à reine ? roi !) – professeur à la Harvard Divinity School, dans le Massachussetts (USA), reçoit par courriel une demande d’examen d’un manuscrit copte ancien, qui lui parvient d’abord en photo… Sa première réaction fut « Je ne peux pas y croire ! », car un certain Jésus y désigne clairement une personne qu’il dit être ‘sa’ femme’… Voulant être certaine de l’authenticité du papyrus, elle demande au papyrologue newyorkais Roger Bagnal, spécialiste en écriture copte, de bien vouloir analyser ce document, ce qu’il fait ; il faut d’abord essayer de savoir quand et où eut lieu cette rédaction, et quel en fut le scripteur…

    La lecture dévoile d’abord un prénom féminin – Myriam –, puis les lettres grecques iota (i) et sygma (s) avec un trait par-dessus, qui est l’indicatif ordinaire de ‘I esu S’ en ces lieux et époques… On lit ensuite – ici traduit – « elle est capable d’être l’une de mes disciples », puis enfin : « elle est ma femme »… Or l’Eglise de Rome a, dès ses débuts, décrit Jésus comme étant un célibataire, unique fils de Dieu… Mais cette même Eglise proclame le mariage comme étant l’union de deux âmes qui n’en font désormais qu’une seule…

    Embarras majeurs ! Car en effet, c’est la première fois qu’on découvre – sur un écrit ancien authentique – que Jésus était marié, ce qui vient confirmer les supputations antérieures non démontrées… Vous savez : le Da Vinci Code, entre autres… Serait-ce donc vrai ?
    Car aussitôt, cette chercheuse intègre et capable s’est fait harceler, elle-aussi ! Bizarre, non ?!