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Teaser LRDP²

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Souvenez-vous du livre « La Révélation des Pyramides, Pyramides de lumière, tome I » de Jacques Grimault, qui selon l’opinion des Trolls n’existait pas, alors qu’il leur avait été mis sous les yeux en vidéo (le 5 février 2016)… Pour LRDP², même manège : le mensonge permanent de la pseudo-zététique, des simili-sceptiques, des Skeptics du Canada et de l’ALDHHAA, cette organisation communautaire qui vous ment. Toujours selon ces manipulateurs, le second opus n’aurait plus rien à voir avec le premier, qui pour la (presque) ‘doctorante’ qui se reconnaîtra, serai « le pire fléau de la Terre… ». Tout faux, une fois de plus ! Encore et encore !

LRDP² Le Film est terminé depuis longtemps, mais nous avons profité du temps-Covid pour améliorer l’ensemble, afin d’optimiser votre attention… Presque tout en est inédit, et prolonge la trajectoire qui à rendu LRDP non seulement célèbre, mais a fait école, sans pour autant que quiconque en ait égalé l’étendue et la profondeur, ainsi que la direction ; un changement complet de paradigme, car en réalité, ce n’est pas LRDP deux que vous devez lire, mais LRDP au carré…
A bientôt !

Connaissances physiques antiquissimes de la Terre

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Connaissances physiques antiquissimes de la Terre

👉 Pour pouvoir transmettre avec sûreté et précision des données x et y à travers le temps et l’espace, et indépendamment des langues et écritures, le meilleur moyen paraît être la comparaison analogique neutre, c’est-à-dire la comparaison de proportions… Par exemple, si le rayon de la Terre est de 6 371 km pour un Français, il est de 3 958 miles pour un Américain, mais en utilisant des proportions, ils auront définitivement et tous les deux la même valeur, grâce à un élément commun invariable… Ainsi, alors que la connaissance physique et géométrique du géoïde terrestre, si elle n’apparaît semble-t-il nulle part dans les écrits anciens, avant ou même après l’astronome, géographe, mathématicien et philosophe grec Eratosthène (276-194 BC), est cependant très factuellement lisible grâce à l’implantation des grandes pyramides de Gizeh, au centre des terres émergées : il suffit de savoir la lire dans le langage des géomètres, et voici comment… On s’accroche !

👉 Le rayon polaire de notre planète, selon les dernières prises de dimensions à l’aide de l’ultime technologie métrologique, est de 6 356,752 km, soit donc 6 356 km et 752 mètres, valeur de précision au millionième par rapport à la Terre elle-même…
Or à 30°, c’est-à-dire au niveau des grandes pyramides de Gizeh, le rayon géocentrique de la Terre est de 6 372,824 km…
La moyenne de ces deux rayons géocentriques est donc de :
(6 356,752 km) + 6 372,824 km) / 2 = 6 364,788 km
Si l’on recherche le point géocentrique où le rayon terrestre vaut 6 364,788 km, nous le trouvons à 52°36 du Pôle Nord en valeur angulaire, qui n’est autre que la valeur numérique et métrologique de la désormais célèbre coudée des Bâtisseurs…
En retirant de cette dimension angulaire celle qui va de l’Equateur à Gizeh, soit 30°, le résultat numérique est 22°36 : on note alors aussitôt que (10 x (Phi + 1/Phi) = 22,36, et encore que 10 x √5 = 22,36… valeurs numériques de la racine carrée de 5, laquelle entre dans le calcul de Phi, le Nombre d’or (1 + √5) / 2 = 1,618033… nombre très proche en effet du résultat de la soustraction du rayon géocentrique polaire de celui de Gizeh… On se souvient que le premier quotient d’aplatissement de la Terre (car l’équateur méridien ou polaire est un peu plus court que l’équateur… équatorial) fut calculé par Isaac Newton en 1684, en suivant les lois de la gravitation, et qu’avant lui, on est censé tout ignorer du fait que le diamètre de la Terre n’est pas le même aux Pôles qu’à l’Equateur… Cependant et au minimum depuis 2 700 ans avant notre ère, le radier de la grande pyramide, d’une hauteur d’une coudée, soit donc 52,36 cm, indiquait analogiquement et en proportion, la différence du diamètre polaire et du diamètre équatorial de notre planète… La différence entre la valeur, 1/230ème de Newton et la valeur officielle, 1/298ème, selon le World Geodetic System (W.G.S), correspond à une différence de seulement 3 km pour les rayons polaire et équatorial de la Terre selon ces mesures, soit à un bourrelet de 14 km au lieu de 11, et sur une échelle de plus de 6 300 km, ce qui est d’une extrême précision…

👉 Pour les Bâtisseurs de la grande pyramide de Gizeh, la différence de rayon est de 1/281ème, comme l’exprime cet édifice, soit donc, si les mensurations de la Terre son correctes (et elles ne peuvent l’être, compte tenu des variations permanentes des référentiels physiques – température et humidité, ainsi que la situation des marées océanes et maritimes et celle du plasma terrestre, pour la partie météorologico-géologique ; l’attraction Luni-Solaire etc. pour ce qui concerne la partie physico-astronomique, par exemple…).

👉 Petit rappel : circonférence de la Terre/taux d’aplatissement de Newton = 921,72 m, or le périmètre de la grande pyramide est de 921,236 mètres… Qui est le plus précis, le plus vrai ?
Quoi qu’il en soit, encore merci le hasard… Et vivement LRDP² !

Quelle égyptologie ? Celle des Trolls ?!

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Trollomachie

👉 Depuis dix ans, je suis sans cesse attaqué par les Trolls, ces ahuris incultes et vaniteux chargés de détruire celles et ceux qui ‘contreviennent’ à la doxa dominante et dominatrice ; harcèlement, dénigrement, allégations mensongères, diffamations, diffusions de propos jamais tenus, photos insultantes et presqu’aussi grotesques que les leurs etc., aujourd’hui et encore, c’est un bannissement de 30 jours de Fesse-Bouc (en contre-feu de ma conférence du 8 août prochain Au Café de Paris) sur le prétexte évidemment fallacieux et stupide que je m’attaquerais non seulement à l’égyptologie mais aussi aux égyptologues…

👉 Ces gens – les Trolls en général et en particulier – souffrent d’une gravissime incompréhension de la situation, où l’on voit que leurs arguments ne sont que des prétextes idiots… En effet et déjà, dans mon livre La Révélation des Pyramides (page 4), je précisais ceci : « Nous ne prendrons parti pour aucune de ces factions, que l’amour de la recherche et de la vérité devrait unir, nous bornant à faire connaître nos découvertes… Par ailleurs, celles-ci n’entrent que très accessoirement dans l’élaboration historique appelée égyptologie… »

👉 Ils souffrent donc et aussi d’un manque de discernement et donc de possibilité de compréhension et d’entendement, dans le sens de préhension intellectuelle, ce qui est un lourd handicap dans tous les domaines intellectuels et culturels, voire sociaux : en effet, je m’occupe pour ma part de géométrie et plus généralement de mathématiques dans la grande pyramide ; d’architecture, de logistique, d’ingénierie des matériaux, de physique, de minéralogie, d’astronomie etc…

👉 Or je ne sache pas que 1/ ce soient là des disciplines scientifiques auxquels seraient rompus quelque égyptologue que ce soit 2/ que leurs capacités alléguées soient à la hauteur indispensable pour pouvoir critiquer une personne qualifiée dans ces divers domaine 3/ et là, une bonne question : pourquoi les Trolls se substitueraient-ils à eux A/ sans qu’ils n’aient rien à redire B/ sans vérifier leurs assertions… C’est entre autres ce qui explique qu’à chaque fois que je traite de tel ou tels de ces sujets, ils me répondent invariablement que l’égyptologie et les égyptologues ne pensent pas ainsi, ne concluent pas dans mon sens, s’opposent à ma méthodologie, se raidissent du fait de mes assertions et allégations etc. Le problème est que tout ce que j’ai avancé à ce jour n’a reçu aucun démenti sur les faits, les constats, les rapprochements, similitudes, analogies et conclusions… Pourquoi ? Parce que ma méthodologie, en effet, repose sur quelques règles – normatives, donc, et que pour cela je recommande vivement – que voici et qui tiennent en quelques phrases simples et claires : d’abord, deux phrases de l’immense Isaac Newton, le premier chercheur en ‘pyramidologie’, à savoir : « Je ne feins pas d’hypothèses », et « Ne croyez qu’en ce qui a été démontré »…

👉 Déjà là, dans ce domaine, ma démarche est déjà très originale, et naturellement anti-égyptologues et égyptologie bien qu’en aucun cas je n’ai attaqué qui que ce soit dans ce domaine (Jean-Pierre Adam ? Il n’est pas égyptologue ; j’attaque seulement son dogmatisme délirant et réducteur, et si je l’attaque personnellement, c’est parce qu’il me prend à partie personnellement… Cependant – à armes pourtant égales – il se ridiculise sans même que j’aie à lever le… médius !

👉 Mais revenons à plus sérieux : viennent ensuite trois phrases, dont la première est la plus brève et la plus exacte définition de ce qu’est la science en sa nature : elle est due à l’acuité intellectuelle hors du commun et à la pertinence du mathématicien, physicien, ingénieur et philosophe des sciences français Henri Poincaré (1854-1912), initiateur de la Théorie de la Relativité, étourdiment ‘empruntée’ par Albert Einstein (1879-1954)…

👉 La voici : « Il n’est de scientifique que le mesurable. »
Exit donc l’égyptologie et les égyptologues, qui tombent sous le couperet de cette définition aussi claire que nette et complète… Nous associons à cette définition la phase du physicien anglais Lord Kelvin (William Thompson, 1824-1907, dit…), découvreur du zéro absolu (suivez mon regard !), qui précise par là le caractère et l’étendue morale et déontologique de la recherche scientifique et de ceux qui prétendent la servir, et donne la définition du champs de ce que devrait et pourrait être la science si les Trolls n’existaient pas : « La science est tenue, par l’éternelle loi de l’honneur, à regarder franchement, en face et sans crainte, tout problème qui peut se présenter à elle. » Quant à notre dernière phrase-cadre, elle émane de l’astronome et vulgarisateur américain Carl Sagan (1934-1996), qui renchérit en mélangeant des vues méthodologiques et qualitatives, disant de la science que : « Sa seule vérité sacrée est qu’il n’y a pas de vérité sacrée : toutes les affirmations doivent être examinées avec un esprit critique ; les arguments d’autorité sont sans valeur ; tout ce qui ne correspond pas aux faits doit être rejeté ou révisé. La science n’est pas parfaite. Elle est souvent mal utilisée. C’est seulement un outil, mais c’est le meilleur outil que nous ayons. »

👉 Exit donc les Zozos de l’espèce de Jean-Pierre Adam, Alexis Seydoux, Faustine Boulay et consort, sortes d’escrocs relevant davantage de la Police de la Pensée à la mode que de toute autre capacité, scientifique ou non… Est-il besoin d’ajouter que nous adhérons parfaitement et complètement aux contenus de ces phrases, qui constituent les bases et le cadre essentiel de l’épistémologie ? Ceci étant posé, voyons où se situent les autres difficultés d’entendement des égyptologues praticiens de la Trollitude usuelle : par exemple, Jean-Pierre Adam (encore lui !)… Vous aura-t-il dit qu’il est membre de l’Union Rationaliste depuis l’âge de 15 ans ? Que cette officine n’est que le repaire (et le repère) d’idéologues confondant leur science avec La science ? Et pour des raisons toutes politiques et non pas scientifiques ? Etc. Non ! Vous aura-t-il dit qu’il n’est pas égyptologue, mais architecte et archéologue : non ! Qu’il n’est qu’un charlatan de la science tentant en permanence de se faire passer pour un scientifique qu’il n’est pas ? Nul en dessin ! Nul en mathématiques ! Nul en physique ! Nul en astronomie ! Et pareil en tout autre domaine… Ce qui ne l’empêche surtout pas d’insulter – par exemple – MM. Jean-Pierre Petit, astrophysicien, parce que celui-ci s’intéresse aux potentiels procédés de construction des grandes pyramides qui, rappelons-le sans détours, posent de très considérables problèmes, tant de logistique que de réalisation ; cela ne l’empêche pas d’insulter Francis Mazière, docteur en anthropologie, parce qu’il se questionne sur l’énigme des moaï de l’Île de Pâques et la culture étonnante de ses habitants dans divers domaines ; et ainsi de suite !

👉 C’est cet aimable censeur crétinoïde et sa clique de suiveurs qui prétendent réduire à néant ce que j’apporte dans divers domaines, et ‘accessoirement’ en matière d’égyptologie générale (disque de Sabu, par exemple) et de ‘pyramidologie’, discipline dont il ne connaît strictement rien, et ce pour l’unique raison suivante : « A quoi bon essayer de faire accroire que cet édifice plus qu’un autre recèlerait quelque mystère du savoir ancien ? »… Fort bien ! Et donc, c’est là un refus de principe, qui suscite aussitôt la question consternée suivante : « Comment peut-on juger de quelque chose que l’on ne connaît pas et que l’on refuse d’étudier, en donnant tout son effort dans la négation, stérile en sciences comme dans de nombreux domaines ? » Notons qu’en aucun moment je ne me suis permis de remettre en cause le travail ou le savoir des égyptologues, mais seulement des doutes, et les preuves de concussions, de détournements, de modifications de pièces d’archéologie ici et là…

👉 A quoi me servirait-il de les combattre, dès lors que je sais que leur édifice de niaiseries va partir en fumées nauséabondes dans assez peu de temps, que leur château de cartes délirant va s’effondre sans même un espoir de rétablissement ? Ce serait temps, énergie, occasions et travaux perdus à jamais ! Je note en outre, que leurs assertions et allégations, souvent mal ou pas étayées du tout, sont encore plus souvent incompatibles avec les données des sciences dures, telles que mathématiques, physique, chimie parfois, et quasiment toutes les données de la technologie moderne : c’est ainsi qu’ils minorent systématiquement ce dans quoi leurs savoirs sont les plus fragiles, pour ne pas dire insignifiants… Un exemple : il n’existe pas un seul livre de minéralogie faisant état de la dureté des pierres que l’on trouve en Egypte ; cela permet à ces artistes de la mauvaise foi mensongère d’en inférer qu’il n’existe aucun problème particulier lié à cet aspect, or pour ma part, je suis étonné de voir des centaines d’objets, qu’ils soit minuscules ou de très grande dimensions, dont la dureté ou la fragilité de la pierre utilisé est le premier et évident problème… scientifique !

👉 Je donnerai donc ici deux exemples très nets de cet authentique problème : le premier, connu dans le monde entier ; les fameux colosses de Memnon… Trônant dans leur splendide solitude le long de la route qui mène à Thèbes-Ouest, près de Louxor, les deux Colosses de Memnon, érigés à la gloire du Pharaon Aménophis III (15ème siècle av. J-C) ne sont plus orphelins. D’une stature de 16,6 m, rehaussée par un socle de 2,30 m, ces deux géants de quartzite rouge pesant 720 tonnes chacun, flanquaient jadis l’entrée du temple funéraire d’un roi-bâtisseur, dont il ne subsiste que d’informes débris. La renommée d’Aménophis III, parfois éclipsée au profit de celle d’un de ses brillants successeurs, Ramsès II, qui marqua de son empreinte l’architecture des temples à partir du Nouvel Empire. Son temple funéraire (rive ouest du Nil), comme une partie des temples de Louxor et de Karnak (rive est), fut érigé par le célèbre maître d’œuvre Amenhotep, et aurait été détruit lors d’une tremblement de terre en l’an 27 avant J.C. Seuls les deux colosses, représentant Aménophis III, coiffé du némès, les deux mains sur les genoux, son trône encadré par les statues de sa mère, la reine Moutemouia, et de sa femme, la reine Tigy, devaient résister au séisme. Toutefois, la statue de droite fut suffisamment ébranlée – selon le géographe grec Strabon, s’écroula jusqu’à la ceinture – pour qu’un phénomène physique curieux se produise, donnant lieu à une légende. Après l’humidité de la nuit et avec la chaleur naissante du matin, la pierre du monument écroulé émettait un son plaintif, comparé par les Grecs au pincement d’une corde de cithare, ce qui valut au colosse le nom de Memnon. Dans le panthéon grec, Memnon, héros éthiopien, fils de l’Aurore Eos, tué par Achille qui avait ainsi vengé la mort d’Antiloque, fils de Nestor, revenait à la vie chaque matin à la vue de sa mère qui le réchauffait de ses rayons. Le phénomène connut de beaux jours et le pèlerinage au colosse de droite qui chantait l’aurore attira voyageurs grecs et romains, dont les signatures sont encore visibles sur les jambes de la statue monumentale. L’empereur Hadrien et l’impératrice Sabine, accompagnés par la poétesse de cour Julia Balbilla, y vinrent en pèlerinage en 130 ap. J.C. pour écouter la plainte. Soucieux de laisser aussi sa marque, Septime Sévère entreprit de faire restaurer le colosse. Depuis, Memnon a perdu sa voix… Voilà pour l’histoire touristique et semi-légendaire du lieu…

👉 Ce qui nous intéresse davantage est ceci : les membres de l’expédition d’Égypte de Napoléon Bonaparte (1799-1802) sont, on le sait, les premiers à étudier méthodiquement et ‘scientifiquement’ les monuments de cette région du monde. Voici ce que disent Jollois et Devilliers à propos des fameux Colosses de Memnon, ces deux gigantesques statues monolithiques élevées sur socles qui marquaient – disent les égyptologues – l’entrée du temple funéraire d’Amenhotep III (1391-1353 avant notre ère), à présent totalement détruit, et situé sur la rive ouest du Nil : « Les deux colosses regardent l’Est Sud-Est et se présentent parallèlement au cours du Nil. Ils sont connus dans le pays sous le nom de Tama et Chama. Chama est le colosse du Sud, et Tama le colosse du Nord. L’un et l’autre se ressemblent à beaucoup d’égards, surtout sous le rapport des arts, mais ils offrent aussi, dans leurs dimensions, des différences que nous allons successivement indiquer. Ils sont tous deux d’une espèce de grès brèche, composé d’une masse de cailloux agatisés, liés entre eux par une pâte d’une dureté remarquable. Cette matière, très denses et d’une composition tout à fait hétérogène, offre à la sculpture des difficultés bien plus grandes que celles que présente le granit ; cependant, les sculpteurs égyptiens en ont triomphé avec le plus grand succès (…).

👉 Aucune montagne de brèche ne laisse voir ces traces d’outils si communes dans les carrières de grès, et fréquentes aussi dans les carrières de granit : une matière aussi dure, aussi rebelle aux outils tranchants, n’était pas susceptible en effet de s’exploiter par les mêmes méthodes que les grès ordinaires, pas même par celle employée pour le granit. Nous ne savons rien de leur procédé pour équarrir les blocs de cette roche, pour redresser les surfaces et leur donner ce beau poli qu’on observe encore en quelques parties. Mais, si nous ne pouvons juger des moyens, nous ne sommes pas moins forcés d’admirer les résultats. Rien n’est plus propre à donner une haute idée de l’avancement des arts mécaniques dans l’Antiquité, que la belle exécution des figures et la pureté des hiéroglyphes gravés sur cette matière, dont la dureté et la difficulté à être travaillée l’emportent sur celle du granit. Tout cela ne rebutait pas les Égyptiens, que les obstacles ne semblaient jamais embarrasser ; la liberté du travail n’en est pas même altérée. C’est-il rencontré sous l’outil du graveur, au milieu d’un caractère hiéroglyphique, un silex ou quelqu’une des agates dont cette brèche est semée, le trait ne s’en trouve pas moins continué avec toute sa pureté, et jamais ni l’agate, ni la partie de la pierre qui l’enveloppe, ne sont le plus légèrement éclatées. » Qui saurait refaire cela de nos jours ? Et comment ? Et pourquoi ne pas étudier ce que ci-dessus ?

👉 A vous de ‘jouer’, MM. les égyptologues !

Énigmes autour des Colosses de Memnon, etc…

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Énigmes autour des Colosses de Memnon

👉 Ce qui – peut-être – surprend le plus dans l’Égypte ancienne, c’est le gigantisme surhumain de certaines réalisations de pierre, que nous ne saurions peut-être pas même imiter de nos jours, et qui nous posent de très difficiles et réels problèmes, restés pour la plupart sans solutions : les Colosses de Memnon sont l’un de ceux-ci…

👉 Ces deux sculptures monolithiques monumentales, élevées sur la rive occidentale de l’ancienne Thèbes d’Égypte, à Kom Al-Hettan (Deir el Medineth), précisément, sur la route qui mène à la Vallée des Reines, seraient selon les uns de granite rouge d’Assouan (ce qui nous paraît incorrectement identifié), et selon d’autres de brèche ou de quartzite rouge, voire de porphyrine gréseuse, toutes pierres extrêmement dures à la taille, hautes de 18 mètres (plus de 20 m avec les couronnes aujourd’hui disparues) et d’un poids de plus de 1 300 tonnes chacune, sont l’une et l’autre posées sur un piédestal monolithique de 500 tonnes chacun, ce qui en fait – avec 1800 tonnes par ensemble, ce qui les placent parmi les plus lourdes statues érigées dans l’Histoire.

👉 Ces colosses sont malheureusement fortement endommagés, et souffrent depuis l’Antiquité déjà ; ils seraient les derniers vestiges du gigantesque temple funéraire du pharaon Amenhotep III (1390-1352 av. J.-C., XVIIIème dynastie), l’Amenophium, un édifice grandiose qui n’existe plus, de beaucoup plus imposant que les sanctuaires de Ramsès II (le Ramesseum) et de Ramsès III (Medinet-Abou). Ils représentent le monarque assis sur le trône de ses ancêtres, les mains sagement posées sur les genoux ; de chaque côté de ses jambes sont figurées sa mère, Moutemouia, et son épouse, la fameuse mais étonnante Tiyi.

👉 Sur les deux côtés du trône figure une représentation emblématique classique, représentant l’union de la Haute-Égypte à la Basse-Égypte, le Sema-Taouy, représenté par deux « Nil » nouant le papyrus et le lys, emblèmes respectifs de ce qui deviendra, grâce à cette action, celui du « Double pays ». Strabon, historien et géographe grec (cerca 57-25 B.C.), rapporte que, lors du tremblement de terre qui eut lieu en l’an 27 avant notre ère, une grande partie du temple s’écroula et le colosse droit se fissura brutalement de l’épaule jusqu’au bassin. La légende raconte qu’à partir de ce moment, la statue commença à émettre des sons, des plaintes, et à ‘parler’ au lever du Soleil. Ce phénomène, aujourd’hui expliqué, était très probablement dû à la dilatation de la pierre sous l’effet des premiers rayons du soleil levant, après le froid de la nuit, qui faisant se dilater les pierres, rendaient dans le même temps audibles leurs grincements. En réalité seule la statue de droite (qui est celle de gauche lorsqu’on regarde les colosses de face, comme sur la photo ci-dessous) était dénommée Memnon, justement à cause des sons émis lorsque le vent s’engouffrait dans les fissures causées par le violent tremblement de terre… Mais l’autre prit… le même nom !

👉 C’est ainsi qu’au début de l’ère chrétienne, les Grecs attribuèrent ce géant de pierre au mythologique Memnon, fils de l’Aurore : selon la légende homérique en effet, Memnon, tué sur le champ de bataille lors de la guerre de Troie, retrouvait spontanément la vie à l’aube de chaque jour et se mettait alors à chanter de joie et de reconnaissance… Ces colosses devinrent rapidement un lieu de pèlerinage pour les Grecs, mais aussi pour les Romains, qui vinrent en nombre entendre l’Oracle de Memnon, y compris certains empereurs, comme Hadrien aux alentours de l’an 130.

👉 Au IIIème siècle, l’empereur romain Septime Sévère, qui voulait honorer la divinité qui se manifestait ainsi chaque matin, ordonna la restauration de la statue, qui réparée, a depuis cessé de chanter, au grand dam des amateurs de merveilles.

👉 Ces deux géants se trouvaient donc sur le parvis du temple funéraire d’Amenhotep III, alors le plus grand ensemble de temple de la rive Ouest de Thèbes. La taille de ces deux colosses laisse imaginer à quelle dimension fut pensée et réalisée cette entreprise par Amenhotep fils de Hapou, architecte du roi : le temple s’étendait alors du premier pylône, dont la hauteur équivalait celle des colosses, jusqu’aux limites des terres arables, quelques 500 mètres plus loin à l’Ouest. Il n’en reste que des vestiges épars tant les monuments qu’il contenait servirent de carrière dès les temps antiques. On a en effet retrouvé des reliefs en provenant dans le temple que se fit construire Merenptah, le fils et successeur de Ramsès II, à peine un siècle après.

👉 Des fouilles ont actuellement lieu sur ce site, afin de mieux en comprendre l’architecture et le plan, un sanctuaire dédié au dieu Amon et à la gloire d’Amenhotep III lui-même.

👉 Ce que l’on en connaît, outre les deux fameux colosses, sont les traces d’au moins trois pylônes, une grande colonnade menant à une grande cour solaire, qui devait précéder un ou plusieurs hypostyles et le sanctuaire. Dans la grande cour, dont l’aspect devait se rapprocher de celle que le roi fit édifier à Louxor sur l’autre rive, de grands colosses d’Amenhotep III devaient être intercalés entre chaque grande colonne. On peut encore voir les bases de ces colonnades sur place, ainsi que des pieds gigantesques, restes isolés des grandes statues qui rythmaient le péristyle, si toutefois on en obtient l’accès. On a également retrouvé une grande stèle commémorative du règne, qui a été dressée au niveau du deuxième pylône.

👉 Les membres de l’expédition en Égypte de Napoléon Bonaparte (1799-1802) sont, on le sait, les premiers à étudier méthodiquement et ‘scientifiquement’ les monuments de cette région du monde. Voici ce que disent Jean-Baptiste Prosper Jollois et Edouard de Devilliers du Terrage à propos de ces monolithes géants : « Les deux colosses regardent l’Est Sud-Est et se présentent parallèlement au cours du Nil. Ils sont connus dans le pays sous le nom de Tama et Chama. Chama est le colosse du Sud, et Tama le colosse du Nord. L’un et l’autre se ressemblent à beaucoup d’égards, surtout sous le rapport des arts, mais ils offrent aussi, dans leurs dimensions, des différences que nous allons successivement indiquer. Ils sont tous deux d’une espèce de grès brèche, composé d’une masse de cailloux agatisés, liés entre eux par une pâte d’une dureté remarquable. Cette matière, très denses et d’une composition tout à fait hétérogène, offre à la sculpture des difficultés bien plus grandes que celles que présente le granit ; cependant, les sculpteurs égyptiens en ont triomphé avec le plus grand succès (…). Aucune montagne de brèche ne laisse voir ces traces d’outils si communes dans les carrières de grès, et fréquentes aussi dans les carrières de granit : une matière aussi dure, aussi rebelle aux outils tranchants, n’était pas susceptible en effet de s’exploiter par les mêmes méthodes que les grès ordinaires, pas même par celle employée pour le granit. Nous ne savons rien de leur procédé pour équarrir les blocs de cette roche, pour redresser les surfaces et leur donner ce beau poli qu’on observe encore en quelques parties. Mais, si nous ne pouvons juger des moyens, nous ne sommes pas moins forcés d’admirer les résultats. Rien n’est plus propre à donner une haute idée de l’avancement des arts mécaniques dans l’Antiquité, que la belle exécution des figures et la pureté des hiéroglyphes gravés sur cette matière, dont la dureté et la difficulté à être travaillée l’emportent sur celle du granit. Tout cela ne rebutait pas les Égyptiens, que les obstacles ne semblaient jamais embarrasser ; la liberté du travail n’en est pas même altérée. C’est-il rencontré sous l’outil du graveur, au milieu d’un caractère hiéroglyphique, un silex ou quelqu’une des agates dont cette brèche est semée, le trait ne s’en trouve pas moins continué avec toute sa pureté, et jamais ni l’agate, ni la partie de la pierre qui l’enveloppe, ne sont le plus légèrement éclatées. »

👉 Cela rappelle les propos du dessinateur et sculpteur Nestor Lhote (1780-1842), qui travailla avec Jean-François Champollion, s’émerveillant (Histoire de l’Art dans l’Antiquité, Paris 1882, tome I, p. 676) : « Les sculptures de ce tombeau [de Menefra, à Memphis] sont remarquables par leur élégance et leur finesse. Le relief en est d’une telle légèreté qu’on ne peut le comparer qu’à celui de nos pièces de cinq francs ! Une telle perfection de travail, dans un ouvrage si ancien, confirme cette observation que plus l’on remonte dans l’antiquité vers l’origine de l’art égyptien et plus les produits de cet art sont parfaits, comme si le génie de ce peuple, à l’inverse de celui des autres, se fut formé tout à coup. De l’art égyptien, nous ne connaissons que sa décadence. »

👉 Quant aux archéologues et architectes Charles Chipiez et Georges Perrot, ils s’interrogent devant les difficultés maîtrisées dans les sculptures de l’Ancien Empire : « Ces roches si dures, comment le sculpteur arrivait-il à les entamer et à les tailler ? C’est à grand-peine que l’on y parvient, aujourd’hui même [en 1882], à l’aide de ciseaux d’acier de la meilleure trempe ; encore le travail est-il très lent et très pénible ; on est obligé de s’arrêter à chaque instant pour affûter le tranchant qui s’émousse sur la roche et pour retremper l’instrument ; mais le contemporain de Khafra [Khephren], on est d’accord sur ce point, n’avait pas à sa disposition de ciseau d’acier. »

👉 L’égyptologue René-Adolphe ‘Aor’ Schwaller de Lubicz-Milosz (1887-1961), qui étudia le site de Karnak durant quinze ans, fait lui aussi part de sa stupéfaction (Le Roi de la Théocratie pharaonique, éd. Champs Flammarion n°117. p. 137) : « C’est dans les hautes falaises de ce pur calcaire que les Anciens ont creusé, par exemple, les tombes royales de Thèbes, taillant aussi facilement les rognons de silex que le calcaire tendre. Le fait que jamais aucun rognon de silex ne fut arraché de son alvéole révèle des outils capables de les scier aisément et, par conséquent, une technique et des moyens surprenants. »

👉 Louis-Claude Vincent (1906-1988), qui fut professeur au Collège de France et s’intéressa de très près aux civilisations disparues, renchérit avec le même étonnement à propos des « gisements de calcaire blanc utilisé pour la confection des tombeaux et monuments [d’Égypte] le long des deux rives du Nil, depuis Esneh [50 km au sud de Louxor] jusqu’au Caire, soit sur une longueur d’environ 700 km. Ces formations calcaires renferment de nombreuses couches de rognons de silex disposées horizontalement. C’est à travers ces formations que furent creusées directement dans les hautes falaises de Thèbes, les tombes royales des premières dynasties. Or comment se fait-il que les rognons de silex furent taillés en place de façon aussi nette et parfaite que le calcaire tendre ? (…) Il ne faut pas oublier, en effet, que le silex est la pierre présentant la dureté la plus élevée, bien supérieure à celle des aciers ordinaires. Nous pensons, dès lors, qu’il faut songer aux outils de diamants, seule explication possible. »

👉 Mais il y a plus fort, plus étonnant, plus inexplicable encore : le méticuleux anglais William Matthew Flinders Petrie (1853-1942), qui fut géomètre avant de devenir égyptologue, observe lui aussi (The Pyramids and Temples of Gizeh, p. 74 et 75), encore plus stupéfait : « Les hiéroglyphes ont été ciselés avec une pointe extrêmement acérée ; la diorite n’a pas été grattée ou burinée, mais littéralement incisée. » Ce qui ne laisse pas de surprendre : la diorite est une pierre d’une extrême dureté, que le meilleur acier peine à rayer… Il poursuit (ibidem p. 74 et 75) : « Les sillons étant larges de moins d’1/150 de pouce [2,54 cm], il est évident que la pointe utilisée devait être beaucoup plus dure que le quartz et suffisamment résistante pour ne pas se fendre… Son épaisseur ne devait pas excéder 1/200 de pouce. Des intervalles de 1/30 de pouce séparent certains des sillons. (…) La nature du travail réalisé semble indiquer que la pierre précieuse utilisée ici était le diamant ; et seule des considérations sur sa rareté en général et sur son absence d’Égypte en particulier, viennent contredire cette conclusion. » (op. cit. p. 74). Il continue et insiste, encore plus perplexe : « L’intensité de la pression, que l’on peut mesurer à la rapidité avec laquelle les foreuses et les scies se sont enfoncées dans la pierre, est très surprenante ; une force d’au moins deux ou trois tonnes a dû s’exercer sur les foreuses de 10 cm de diamètre utilisées pour percer le granit. Sur la carotte de granit N°7, la spirale de la taille s’enfonce d’un pouce [2,54 cm] à chaque tour complet de six pouces, ce qui constitue une véritable performance, ces sillons en spirales de grande amplitude ne peuvent être attribués qu’à l’enfoncement d’une foreuse circulaire dans le granit sous une énorme pression. » (op. cit. p. 78). Pour lui, les ouvriers ont dû « mettre au point une méthode de sciage circulaire plutôt que linéaire, en donnant à la lame la forme d’un tube, qui forait des entailles circulaires dans la roche par la rotation, en évidant ensuite la partie centrale – ou carotte – faisant qu’ils parvenaient à creuser des trous relativement larges avec un minimum d’efforts. » (ibidem p. 76). Par ailleurs, ils devaient posséder des machines surpuissantes « semblables aux instruments de précision que nous-mêmes venons seulement de réinventer. » (op. cit. p. 25).

👉 Pour l’américain Christopher Dunn, expert en technologie de précision (que nous sommes allés questionner chez lui, à Danville en Illinois, aux USA, en mai 2008), il faut, pour réaliser de telles performances, des outils tournant cinq cents fois plus vite que ceux dont nous disposons actuellement…

👉 Vous savez désormais ce qui nous a motivé à écrire au sujet des fameux Colosses de Memnon, aspects de la culture de l’ancienne Egypte pourtant très étonnants, mais évidemment laissés de côté par la quasi-totalité des ouvrages en égyptologie, et surtout, par tous les égyptologues eux-mêmes suivis des Trolls ignares…
De nos jours, et à cause de ceux-ci, ces deux statues ne sont désormais qu’une brève étape photographique sur le parcours des touristes venus du monde entier ; c’est tout…

Jacques Grimault : actualité et programme

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👉 Depuis plus d’un an, ses conférences, ses divers colloques, ses commentaires et indications sur sites, aussi bien en France qu’à l’étranger, ainsi que ses cours d’alchimie, d’astrologie, de tarots, de philosophie hermétique et de diverses autres disciplines, soit environ 500 vidéos, sont disponibles sur la plateforme de streaming d’Orbis Enigma International, à tout petits prix !

👉 Mais Jacques Grimault, c’est aussi un remarquable écrivain, commentateur, éditeur, auteur de centaines d’articles pétillants et quelquefois exceptionnels, qui a en outre entrepris de rendre aussi accessibles que possible les ouvrages d’alchimie et d’hermétisme difficiles à trouver ailleurs, ou rarement édités et hors de prix, ainsi que ses propres écrits, livres (3), livrets (+ de 120), et revues (3), d’une profondeur et d’une étendue documentaires rarement atteintes, librement proposés sur Amazon en versions papier ou Kindle, ne cédant en rien à la facilité qui ferait accroire que l’on serait écrivain du simple fait de tenir un stylo (c’est pourquoi les Trolls l’attaquent sans cesse, allant jusqu’à farcir les notices d’Amazon de messages dénigrants et délirants, qui portent tort à tous) ; dessinateur (car il possède un solide coup de crayon) parce qu’on tiendrait un fusain au-dessus de papier-chiffon, réalisateur parce que l’on possèderait une caméra et que l’on saurait monter et sonoriser des vidéos, comme Patrice Pillard (il n’y pas de faute d’orthographe), ou encore, conférencier parce qu’en capacité de bavarder au micro en paradant devant quelques personnes, comme la plupart et comme Patrice Pillard !

👉 Compte tenu de la situation dite sanitaire, Jacques Grimault envisage de reprendre ses cours et conférences, mais en vidéo et streaming, ainsi que des émissions documentaires variées et des interviews… Pour compléter cette initiative, il mettra fera paraître une revue traitant tout spécialement à tout ce qui entre dans les problématiques développées dans LRDP : ‘LRDP Horizons’, un bimestriel de 60 pages sans publicités, pour se préparer à la sortie du très attendu LRDP² (au carré, et non pas ‘LRDP Deux’…)

👉 C’est pourquoi il vous est proposé d’aller faire un tour sur Amazon et Orbis Enigma International pour vous faire une idée plus précise du potentiel vraiment culturel mis à votre disposition et à bas prix par l’Association de Recherches Libres la Nouvelle Atlantide, créée et animée par M. Grimault, cet homme très spécial, que vous pouvez joindre (avec parfois beaucoup de patience, car les Trolls le font bannir environ 10 mois sur 12 de ses pages Fesse-Bouc et de Messenger… (il reste VK cependant !)

Bonnes lectures et heureux visionnages à toutes et tous, de 12 à 120 ans… Et à bientôt !
Lisez bien ce que ci-après, s’il vous plaît ! Merci !

La Cabale Hermétique originale. Retrouvez chaque mois sur OEI des nouveautés, des cours et des conférences, pour vous instruire et mieux vivre.

Plongez dans l’interdit ! Loin des leçons de conduite de la pseudo-zététique… Zetetikos (qui cherche / curieux). La zététique consiste à questionner les raisons pour lesquelles nous pensons que quelque chose est vrai… et non fabriquer du faux à partir de faux arguments et de fausses qualifications.

Accédez au libre arbitre et aux bases de la prise de parole publique. Prenez votre destin en main.
La culture et la vraie Science sont sur OEI : avec 36 cours, dans 4 catégories, 58 conférences, 36 mois d’existence…

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👉 Une nouvelle chaîne Vimeo où trouver toutes les versions doublées de LRDP1 : merci Alexandre-Z !

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Le jeu de cartes des tarots et la grande pyramide de Gizeh

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Le jeu de cartes des tarots et la grande pyramide de Gizeh

Le Bateleur👉 Dès que l’on en parle en public, le jeu de Tarots suscite le plus souvent la raillerie sans nuance des positivistes et l’engouement excessif des naïfs, sans parler des niaiseries et critiques inefficaces et grotesques des Trolls, ces demeurés incultes mais triomphants de bêtise : il devrait cependant être étudié sérieusement, profondément, avec neutralité et sérénité, et sans parti pris ou a priori, comme toutes les productions de la Nature et des hommes, et selon les protocoles assemblés que l’on nomme la Science… En effet, les erreurs et les aberrations – s’il en faisait toutefois partie – sont à considérer au même titre que les réussites et les banalités… Peut-être ce jeu doit-il ces réactions inappropriées et stériles au fait de ses utilisations. On se sert en effet de cet ensemble de cartes selon trois manières, dont deux – par excessive rigueur – peuvent être jugées triviales ; on joue et on se délasse avec lui ; on s’en sert comme support d’interprétation pour spéculer et vaticiner sur divers aspects de l’existence, et en dernier lieu – mais cela est beaucoup moins connu –, il sert de mémorandum et de véhicule à la science hermétique elle-même. Cette dernière utilisation ne saurait surprendre quiconque, puisque ce sont précisément les hermétistes qui ont créé ce jeu et surtout à cette fin. Ceux-ci en effet ont toujours confié la plus haute vertu et le plus profond savoir – gage des moins nombreux, qui représentent la qualité – à l’ignorance et au vice que servent les plus nombreux, et donc la quantité. C’est ainsi – et grâce à ces derniers – que ce jeu séduisant et attractif s’est petit à petit répandu dans le monde entier sans attirer outre mesure une attention particulière sur lui. Ses sources originelles historique et géographique sont la Chine et l’Egypte, deux contrées où l’on usait d’écritures dites – mais improprement – hiéroglyphiques, où l’on se préoccupait d’alchimie et d’astrologie, et où l’on bâtissait des pyramides… Ces quelques affirmations péremptoires, qui peuvent paraître outrées, restent encore de nos jours à démontrer. C’est ce que nous allons nous employer à tenter de faire ici, au moins en partie. Nous ne doutons pas que cela fasse ricaner de plus belle les positivistes et davantage s’esclaffer les naïfs ; toutefois nous aurions le sentiment d’être largement payé de nos efforts si quelques-uns de nos Lecteurs (et de nos lectrices évidemment) – ni naïfs ni positivistes à l’excès – se mettaient en recherche…

👉 L’abbé Alphonse-Louis Constant (1810-1875), plus connu sous le pseudonyme d’Eliphas Lévi, connaissait-il ce dont nous allons maintenant parler, lorsqu’il écrivit, dans son fameux Dogme et rituel de haute magie (chez Germer-Baillière, 2 volumes in-8°, édition de 1856 Paris, page 71) en considérant le jeu de Tarots : « C’est en effet un ouvrage monumental et singulier, simple et fort comme l’architecture des pyramides, durable par conséquent comme elles ; livre qui résume toutes les sciences, et dont les combinaisons infinies peuvent résoudre tous les problèmes ; livre qui parle en faisant penser »…

👉 Nous l’ignorerons probablement toujours, mais cela doit nous encourager à faire les rapprochements que ce texte suggère très discrètement.

👉 Tout d’abord, et selon une habitude des plus utiles dont on ne devrait jamais faire l’économie, sinon au risque de n’y rien comprendre et de tout fausser, il convient de faire l’étude étymologique classique, certes, mais surtout cabalistique et anaglyphique des mots en présence, sans en omettre aucun, si petit et anodin soit-il, car l’on s’exposerait alors à perdre des informations de grande valeur. Il sera profitable, aussitôt après, de sonder les liens avec les mythologies… Autrement dit, d’observer l’étymologie et les mythologies, pour faire une discrète antistrophe à la manière de Rabelais, autrement dit, une contrepèterie. Etudions donc d’abord et succinctement les mots « Jeu de Tarots », grands porteurs d’informations…

👉 Le très simple mot « Jeu », selon notre allégation, pourrait donc et en effet receler quelques informations internes intéressantes, uniquement accessibles par l’analyse phonétique et l’étude de ses trois lettres constituantes ? Certes oui ! En premier lieu, rappelons que tout ternaire est la marque de la présence d’un exposé hermétique (Hermès Trismégiste). Cela tient à la doctrine fondamentalement ternaire dudit hermétisme, qui s’est infiltrée partout ou presque, même auprès de ceux qui ne l’ont pas comprise (les trois points des francs-maçons, autre expression de la Trinité des chrétiens romains, de lla Trimuti des castes védiques, etc.).

👉 En second lieu, la vocalisation est d’une importance capitale dans ce type d’étude, où la grammaire n’a strictement aucune valeur. Mais surtout et dès lors que l’on utilise les très nombreuses ressources de l’analogie. C’est ainsi qu’on aperçoit aisément et immédiatement que le mot « jeu » consonne avec le pronom personnel défini français de la première personne : « je ». Celui-ci n’est autre que l’abréviation du nom divin des Hébreux, actuellement le plus souvent – et à tort – prononcé « Jéhovah ». La dixième et la cinquième lettres de l’alphabet hébreu, correspondantes au « J » et au « e » de l’alphabet français, (Iod – Héh – Wâw – Héh) sont en effet les deux premières lettre du nom divin, dit aussi Tétragramme, ici translittéré : h w h y (hwhy).

👉 En opposition et à l’inverse, le « eu » de « Jeu » phonétise le pronom personnel pluriel indéfini « eux », c’est-à-dire tout ce qui n’est pas Dieu, et par conséquent tout ce qui n’est pas ontologiquement défini ou définissable sans réintégrer Dieu. Mais revenons à « je », afin d’en poursuivre l’approche cabalistique : les valeurs numériques associées à ces deux lettres, qu’il convient évidemment d’analyser, selon leur rang ou leur ordre dans l’alphabet, soit j = 10 et e = 5, renvoient à 10 + 5 = 15 = la lettre O, emblème de la totalité, et à 1 + 5 = 6 = la lettre F, emblème de la paternité, le tout s’interprétant alors comme « Père créateur dans l’Univers créé », assez équivalent au diminutif du nom divin entendu ci-avant, et que nous retrouverons plus loin sous une autre forme.

👉 À présent, détaillons la valeur numérique interne de ces lettres, ce qui va renforcer assez clairement notre interprétation et faire entendre plus précisément le pourquoi du nom « Jeu » accolé à Tarots…

👉 J, dixième lettre de l’alphabet, rappelant donc la Tetraktys pythagoricienne (1 + 2 + 3 + 4 = 10), renvoie par ce fait à la lettre D, quatrième lettre de l’alphabet, dont le sens emblématique est « porte, seuil, accès, entrée » (le D grec, Delta, à par ailleurs la forme d’un triangle pointe en haut [, qui est le glyphe du Feu, et par conséquent celle d’une pyramide). D’autre part, son quatrième rang dans l’alphabet invite à penser aux quatre Eléments d’Empédocle d’Agrigente, leur promoteur grec qui s’en instruisit en Egypte. En outre, la lettre D se prononçait anciennement comme « Dz » ou « Dj », telle qu’on la vocalise actuellement encore au Québec et dans certaines campagnes françaises, et désignait la divinité en général : « Zeus Pater », dérivé en « Dzeus Pater », en « Dju Pater » puis en « Jupiter » et « Dieu le Père », etc.

👉 C’est ainsi, par exemple, que les Hébreux employaient emblématiquement leur lettre D, dite Daleth, située elle aussi au quatrième rang de leur alphabet : « Le Daleth est l’hiéroglyphe de Dieu » affirment Messod et Roger Sabbah (L’origine égyptienne des Hébreux, Editions Jean-Cyrille Godefroy. Paris 2000, p. 23), et insistent en écrivant « Ce hiéroglyphe signifiant en égyptien « Grand Dieu » ou « Ô Dieu » » (op.cit. p. 10). Ce n’est pas tout, car cette lettre possède le sens – très révélateur pour qui s’intéresse aux cartes en général – de plaque gravée, comme l’explique Robert Gouiran (La Porte des Dieux, Ed. Dervy, Paris 1976, p. 35) : « La quatrième lettre de l’alphabet sacré biblique est le daleth, notre D, qui justement veut dire la « porte » en hébreu. Ce même mot veut aussi dire « plaquette gravée », et l’on écrit sur les portes des temples comme sur les tables de la Loi de Moïse. »…

👉 En grec, le mot « eu » désigne ce qui est le plus relevé, ce qui vient des hauteurs, du supérieur, du meilleur, etc. et comporte les lettres E ; un trident penché sur le côté droit, emblème de l’énergie, et par conséquent du feu, et U ; une coupe, emblème du contenant universel, l’Univers lui-même dans sa forme aquatique : c’est ainsi que l’on retrouve la cosmogénèse biblique discrètement inscrite dans le pronom « je » et dans le mot « Jeu »: le feu divin actif planant au dessus des eaux divines passives (cf. La Bible ; Genèse)… Une autre manière de dire, à la suite d’Hermès Trismégiste : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, et ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, pour recréer le miracle de l’Unité »

L'Hermite👉 A présent, comme dit voyons du côté du mot principal : « Tarots »…

Selon le pasteur suisse Antoine Court de Gébelin (1719-1784), « [le mot Tarot] est composé de deux mots orientaux Tar et Rho, ce qui signifie Chemin Royal » (Monde primitif, volume V : Dictionnaire étymologique de la langue française, 1778. Colonne 1118). Ce à quoi il ajoute : « Le nom de ce jeu est pur égyptien : il est composé du mot Tar, qui signifie Voie, chemin ; & du mot Ro, ros, rog, qui signifie Roi, royal, c’est, mot à mot, le chemin royal de la vie » (ibidem, p. 380). D’après le comte de Mellet, un érudit connaisseur : « Ce livre paroît avoir été nommé A-Rosh ; d’A, doctrine, science ; et de Rosh (1), Mercure, qui, joint à l’article T, signifie Tableaux de la doctrine de Mercure ; mais comme Rosh veut aussi dire commencement, ce mot Ta-Rosh fut particulièrement consacré à sa cosmogonie ».

(1) « Rosh est le nom égyptien de Mercure & de sa fête qui se célébroit le premier jour de l’an » (Recherches sur les Tarots, p. 395).
En vérité, le mot « Rosh », que l’on retrouve dans les mots désignant la fête juive RoSh AShANA, qui célèbre le début de chaque année au signe de la Vierge, sous la maîtrise et l’exaltation de Mercure, à surtout le sens de « début, principe »…

👉 On voit d’emblée, dans ces étymologies jugées fantaisistes par l’Académie, qu’on échappe difficilement à l’origine égyptienne conférée au jeu de Tarots, que l’on dit avoir été apporté en Europe par les « Gypsis » (les Egyptiens, donc) : on notera par ailleurs que, jusqu’à nos jours, aucune autre proposition sérieuse n’a été faite en matière d’étymologie pour ce mot pourtant très répandu…

👉 Comme on peut le constater, tout ce que nous récoltons selon cette manière de procéder est riche, sérieux, et utile… Mais il faut compléter ; ce que nous ferons en compulsant un très vieux dictionnaire, malheureusement fort abîmé, consacré – entre autres – à la mythologie égyptienne, et qui traite – la chose est très rare – des dieux composés. Nous ignorons malheureusement son titre, son auteur et les caractéristiques de sa parution, car il nous est hélas parvenu dépourvu de sa couverture : « Ptah-Râ (égyptien) : dieu créateur assimilé à Mars (dieu latin), le Feu et la Chaleur, et dieu mainteneur assimilé à Hélios (dieu grec), le Soleil lumineux, d’où l’assemblage ou forgerie unissant les deux dieux en Mars-Hélios ».

👉 C’est probablement ainsi – car c’est une méthode et une formulation typiquement cabalistique – que les noms de ceux-ci, ultérieurement dérivés en Marseille, ont donné l’appellation « Tarots de Marseille », probablement parce que Mars et Hélios – le Soleil – sont respectivement en Maîtrise et en Exaltation dans le premier signe du Zodiaque, le Bélier, zodiaque dont nous reparlerons ultérieurement. Poursuivons : « Thoth-Rê (égyptien) : dieu de l’intelligence assimilé à Hermès-Mercure, et dieu de l’intuition assimilé au Soleil, Rê ». D’où « Intelligence de la Lumière et Lumière de l’Intelligence ». « Hathor (égyptien) : [anagramme phonétique de Tarot] cette déesse vache [dont le mâle est un Taureau, mot paronyme de Tarot] figure la Nature et son dynamisme vivant [sujet central de l’exposé tarologique]. Selon les égyptologues, le mot Hathor (égyptien) désigne aussi la Maison d’Horus, le Soleil vivant et générateur, et représente le lieu qu’occupe la maîtresse du ciel nocturne, la régente de l’étoile Sirius, la reine des étoiles, la reine des dieux, et [the last but not the least] la maîtresse de Maât » [personnification de la justice et de la justesse… ainsi que parèdre de Thoth]. Continuons, mais dans un autre idiome : « Thorah (hébreu) [anagramme phonétique de Tarot] : la Loi par excellence, contenue dans les cinq premiers livres de l’Ancien Testament ». Notons que le pluriel de « Thorah » est « Thoroth » : « les lois », très proche de tarots. D’après le baron Emmanuel van der Linden d’Hooghvorst (1914-1999) : « Thorah vient du mot IaRoH, qui veut dire arroser. De là, un autre sens, enseignement », ce à quoi il ajoute ; « IaRoH : jeter de haut en bas, arroser, fonder, instruire » (Le fil de Pénélope, tome I, p. 240 et 249, Editions de la Table d’Emeraude. Paris 2001). Cette acception correspond très exactement à ce qui se passait lors de la cérémonie d’acceptation à l’initiation égyptienne, où l’on arrosait le nouveau venu de gouttelettes de rosée… Comme on l’aurait fait de la matière première des alchimistes… ou des chrétiens que l’on baptisait naguère…

👉 Mais reprenons et persévérons sur ce chemin : « Taresh (hébreu) : pierre taillée » [allusion à l’alchimie, que les francs-maçons devraient méditer, et par ailleurs anagramme de astre, et paronyme de « Tarah (arabe) : jeter des sorts » [les figures des arcanes majeurs servant alors de voults : on notera également que le mot « sort » est l’anagramme approximative de « tarots » au ‘a’ près]. Et puisque nous abordons l’arabe : « Turuk (arabe) : école, voie d’enseignement, doctrine ». « Tarîqah (arabe) : cheminement » [allusion à l’initiation en général, et à l’alchimie]. « Toroq (arabe) : nom donné aux décors géométriques figurant l’intelligence divine illustrant les édifices musulmans ». Les musulmans, en effet, comme d’ailleurs les israélites, ne représentaient jamais l’apparence divine, imaginaire, mais seulement allusivement et figurativement, car il leur était fait absolue défense de tenter de la montrer autrement, interdit graphique appelé « aniconisme ». C’est probablement pourquoi le dos – et non les faces – des cartes a porté avec lui cette appellation de « Toroq », qui s’est adoucie puis transformée en « Tarot », et montre à la manière aniconique (donc sans image représentative directe) la Divinité qui est au dos des apparences, dans l’ordre qu’Elle manifeste toujours et partout, dans les nombres, les lettres, les formes et les couleurs, et c’est pour cela que ce type d’activité – le jeu – porte en lui la signification de Dieu (DjIEU ou dJiEU).

👉 C’est maintenant pour nous le moment et le lieu d’affirmer que le mot « Tarots » tire son nom d’une appellation arabe, ces Arabes n’étant autres que les musulmans qui envahirent l’Egypte au IXème siècle de notre ère et transmirent à l’Europe ce qu’ils y découvrirent, issu des deux vastes bibliothèques d’Alexandrie… Ce sont eux qui, lors de leur expansion, donnèrent à l’Espagne et à la langue espagnole et le mot et la chose, mais sous un autre nom : peut-on croire en effet que le mot « naipes » – qui désigne les cartes en général en espagnol – soit un mot espagnol, ou un mot italien, car les Italiens usent du mot « naibis » fort proche ? Non, ce mot est en effet purement égyptien, et servait à désigner des plaques d’or portant des écrits précieux [Nub AhIs ; littéralement : plaques d’or], d’où proviennent originellement les faces dessinées des cartes dites de Tarots. Par un étonnant croisement des mots et des sens véhiculés par eux, on retrouve d’ailleurs la définition : « Taroté : superficie dorée à la feuille, lorsqu’elle est poinçonnée ou gravée avec un stylet ou un poinçon, pour imprimer un dessin sur l’or. Les fonds des premiers tarots enluminés étaient obtenus de cette façon » (M. G. Mandel, Les Tarots des Visconti, Paris 1975. Editions de Vilo). Il reste que l’hébreu « NaBi » signifie « prophétie, présage, magie »… ce qui est l’une des fonctions de support de voyance attribuée aux cartes de ce fameux jeu de Tarots… Résumons donc : le mot Tarots est un terme mixte qui provient aussi bien de l’égyptien (comme le prétendent – entre autres – Antoine Court de Gébelin, Jean-François Alliette, plus connu sous son pseudonyme de Etteilla – qui n’est qu’un palindrome –, le comte de Mellet, etc.) que de l’arabe « Toroq ; figure de l’intelligence divine présentée sous forme d’entrelacs géométriques réguliers complexes »

La Force👉 Quelle que soit son appellation, le jeu de Tarots a navigué au gré de la pénétration de la culture égyptienne dans l’Europe du sud : directement en Italie par Venise (Saint Marc – le saint protecteur de la ville – est le fondateur de l’Eglise copte d’Alexandrie, en l’an 62 de notre ère, Eglise dont il fut le premier Patriarche), et grâce aux Arabes par leur conquête de l’Espagne… et de leur tentative en France (Charles Martel arrêta les Arabes à moitié… Euh, à Poitiers). Par ailleurs, le premier jeu de Tarots connu dans notre pays est dédié au roi Charles VI, monarque passionné d’alchimie – il serait l’auteur d’un ouvrage intitulé L’œuvre royale du roi Charles VI – tout comme l’était son prédécesseur, le roi Charles V, qui fit interdire l’usage des jeux de cartes en 1369, et comme aussi le duc de Berry, dont le secrétaire ne fut autre que Jehan Flamel, le frère de l’alchimiste le plus célèbre du monde médiéval…

👉 On notera que le jeu prétendument venu de Chine fut une pure production hermétique des Taoïstes chinois qui, à l’instar de leurs homologues égyptiens, déposèrent leur savoir – non sur des lames d’or, mais – sur des lattes de bambou allongées… et que ces hermétistes chinois avaient – comme par hasard, et nous l’avons déjà et souvent signalé ailleurs – le même intérêt que ces anciens Egyptiens pour l’alchimie, la santé, les mathématiques, l’astronomie, les pyramides, la doctrine des Eléments, et possédaient comme eux une écriture d’espèce hiéroglyphique, ainsi que le même souci philosophico-religieux d’échapper à la roue des incarnations… en s’immortalisant. Il suffit d’ailleurs d’ajouter la lettre « r » au mot chinois « Tao » [« la Voie, le Chemin », qui est – curieusement – le mot grec qui désigne la vraie matière première des alchimistes] pour retrouver l’appellation du jeu dont il est ici question.

👉 Si l’on doutait de ces rapprochements, il serait utile de lire l’ouvrage du général H. Frey, de l’armée coloniale française, paru à Paris à la Librairie Hachette en 1905, et intitulé Les Egyptiens préhistoriques identifiés avec les Annamites, d’après les inscriptions hiéroglyphiques… Mais passons à présent à une autre forme de démonstration… Il s’agit de tenter l’approche structurelle ésotérique interne de ce mot « Tarots » : nous rencontrerons ce faisant l’expression de la toute-puissance du principe ordonnateur (dans la triple acception du mot ordre ; injonction péremptoire : un ordre ; de rangement : de l’ordre ; d’harmonieuse beauté : adorner) qui domine et régit l’espace et le temps, ainsi que le fameux binôme temps / énergie des physiciens égyptiens anciens, que ceux-ci transmirent sous la forme des dieux Apollon et Chronos aux Grecs venus s’instruire chez eux, au VIème siècle avant notre ère.

👉 Voici toutefois comme il convient d’écrire et de lire ce mot : circulairement et polairement…

 A
T S R
O

👉 Verticalement : selon la valeur emblématique des lettres [A ; le don, O ; la totalité] ; « don de la totalité ». En grec : de Alpha à Oméga, c’est-à-dire du début à la fin ou du sommet à la base, ce qui désigne l’axe du temps et donc l’Histoire. On retiendra que selon l’hébraïsant Adolphe Bertet : « Dans la Bible, lorsqu’on fait dire par Dieu : Je suis l’Alpha et l’Oméga, on ne fait que donner le petit nom ou l’abréviation du grand nom de Jhéova, dont le Iao des Gnostiques n’est qu’une modification » (Apocalypse du Bienheureux Jean dévoilée, Chambéry 1870, page VIII).

👉 Horizontalement : T, lettre emblème de la stabilité, de la fixité, de l’équilibre, de l’inertie, et R, lettre emblème du mouvement, de la force, de la puissance, de l’énergie, représentent l’ensemble duel des forces en jeu dans l’Univers, la manifestation dynamique de la puissance divine créatrice, maintenante, et transformatrice. Nous retrouvons donc là le binôme temps-énergie dans lequel tout être est engagé. Cette dualité physique se double d’une autre dualité tout aussi physique, mais inférieure dans l’ordre de la manifestation : en effet, les deux voyelles A et O, disposées verticalement et qui figurent l’énergie, car elles se prononcent sans l’obstacle de la bouche, sont séparées par deux consonnes, disposées horizontalement, emblèmes de la matière, du fait que pour les vocaliser, une voyelle au moins est indispensable (ici ; èR et Té), ainsi que – parfois – le contact matériel de la langue avec la bouche (palais, dents, ou lèvres). De plus, A et O désignent également emblématiquement l’unité de ce qui va en ordre du centre à la périphérie, et de l’origine infiniment petite à la totalité infiniment grande, alors que T et R sont l’indice binaire de la trinité (Tr de TaRo = TRoa = trois). En outre, et curieusement, cette leçon pourtant élémentaire ne fut jamais offerte avant nous : ces lettres sont simplement les indicatifs des Eléments, pourvu qu’on les lise à la manière égyptienne, acrologiquement (la première lettre désigne le mot) ou vocaliquement (le son désigne le mot), ainsi :

T : Terre, car T est la première lettre du mot Terre
A : Feu, car A est aussi un triangle pointe en haut, glyphe du Feu ()
R : Air, selon la vocalisation de cette lettre
O : Eau, selon la vocalisation de cette lettre

👉 Notons d’une part que cette suite des Eléments, inusitée en astrologie (suite Feu Terre Air Eau) et en alchimie (suite Feu Air Eau Terre), est spécifique du jeu de Tarots, et d’autre part que la lettre S, supplétive et apportant le pluriel dans notre langue, étant l’emblème de la manifestation, est la marque du mouvement rotatif par son mouvement fondamental en « S »pirale – celui des galaxies et des atomes entre autres – et de la circulation des Eléments les uns en les autres, comme il en serait d’une roue en mouvement : c’est pourquoi elle figure au centre du croquis offert ci-dessus. Il reste à dire que le mot « Tarot » sera cabalistiquement recomposé dans le sémitique (de SheM ; le nom, la désignation, l’identité) en : « Aor T » soit « lumière fixée », et dans le latin en « Orat » ; « Il prie »…

👉 Allons encore un peu plus loin dans cette inquisition alphabétique, car elle est toujours d’un grand enseignement. Dans l’intéressant ouvrage intitulé La maison académique des jeux, d’un dénommé La Marinière (Paris 1703), on trouve l’orthographe « Taros », qui est l’anagramme précise de « Rotas » : « la roue », comme l’avait déjà remarqué Guillaume Postel en son temps, et comme nous l’avons (dé)montré presque physiquement ci- avant. Il faut toutefois noter que ce mot « Taros » est aussi l’anagramme de « Astro », terme qui désigne globalement les astres du ciel, et donc l’astronomie et – mais plus particulièrement – l’astrologie, disciplines sur lesquelles nous reviendrons plus longuement bientôt… en rappelant que le ciel, lui aussi, semble tourner.

👉 Le jeu de Tarots est un grimoire à l’égyptienne, comme nous l’affirmons et comme l’avaient supputés en leur temps – sans pouvoir le démontrer – Antoine Court de Gébelin et Jean-François Alliette. Afin d’en donner la démonstration, il nous faut cependant quelque peu décrire ce jeu : il est constitué d’un ensemble de 78 cartes longues illustrées en couleurs, dites lames, arcanes, triomphes ou atouts. Deux sous-ensembles le composent : 56 lames ou arcanes mineurs, répartis en quatre couleurs de 14 arcanes chacune : les Bâtons, les Coupes, les Deniers et les Epées, puis 22 arcanes dits majeurs, aux dessins variés, nombrés (sauf un) et légendés (là encore sauf un). Ouvrons brièvement une parenthèse étymologique, afin de renforcer nos propos antérieurs : le mot arabe « Arkân » désigne d’une part « un élément », et d’autre part « un angle ». Par ailleurs, le mot « lame », par lequel on désigne les cartes longues du jeu de Tarots, n’est autre que le nom de la 12ème lettre de l’alphabet arabe, dite « lam », et entendue « l’âme » en français. Cette douzième lettre, rappel entre autres des 12 signes du Zodiaque, est la lettre emblème de la raison logique, de l’ordre, de la hiérarchie, et l’indicatif de l’âme, lieu de l’antagonisme des valeurs célestes et terrestres et principe animateur du vivant (mobilité, sensibilité, émotivité, mémoire, etc.). L’équivalent hébreu de la lettre arabe « lam » est la lettre « lamed », qui est la seule – la chose est importante – à dépasser la ligne d’écriture vers le haut, et dont le sens est « étude ». Par ailleurs, au XIIIe siècle, le mot « lame » avait le sens de « trame » pour les tisserands, ce qui laisse entendre, dans notre contexte, que chaque lame du jeu de Tarots peut être assimilée à un fil conducteur sur la trame de l’Universel, ou – à titre individuel – au fil de la destinée, d’où l’utilisation prédictive et conjoncturelle de ce jeu. Il reste à parler du mot « Atout », qui s’explique quasiment de lui même si on le partage en deux ; « A », lettre emblème du don, et « Tout », paronyme de Thoth et indice d’un ensemble complet…

👉 Refermons la parenthèse et passons à notre démonstration.
Un grimoire à l’égyptienne, disions-nous ? Evidemment !
Il suffit de lire acrologiquement, c’est-à-dire selon l’un des modes de l’expression écrite des Egyptiens anciens, et ultérieurement par imitation par les Kabbalistes juifs, furieux emprunteurs délirants, mode qui consiste à considérer seulement la première lettre des mots. Ici, il convient de mettre dans l’ordre convenable les mots désignant les composants de ce jeu, et tout devient aussitôt plus clair : évident ! A savoir :

Arcanes,
Bâtons,
Coupes,
Deniers,
Epées,

Qui n’aperçoit là, en ne lisant que les lettres initiales (acrologiques) de ces cinq mots, les cinq premières lettres de notre alphabet français ? A-B-C-D-E… Serait-ce dû au hasard ?
On notera que la lettre qui occupe le cinquième rang de l’alphabet hébreu est H… mi-voyelle, mi-consonne, muette et mutative (c et h, par exemple…)…

La Lune👉 Presque tous les amateurs du jeu de Tarots ésotérique savent que les 22 arcanes majeurs s’apparient avec les 22 lettres de l’alphabet hébreu dit carré, notamment depuis les écrits de Eliphas Lévi. Ils savent probablement aussi qu’elles correspondent aux 22 chapitres du livre biblique appelé Apocalypse (vous savez, de l’Alpha à l’Oméga, Apocalypse étant le grec Révélation)… qui fut apparemment écrit en grec, mais par-dessus l’hébreu ou plutôt araméen originel, si l’on peut dire ainsi. Savent-ils que, selon Lucien Etienne : « Parmi tous les alphabets, celui des Samaritains semble avoir le mieux conservé les formes hiéroglyphiques » (Une découverte dans l’alphabet Editions Alpha-Bêta, 127 boulevard des Italiens, Paris 1932, p. 7), et savent-ils encore que, selon l’observation pertinente de Robert Fludd : « Les œuvres de Dieu accomplies durant la toute première semaine ne dépassent pas le nombre de 22 » ? Et qu’un cercle ne peut recevoir que 22 polygones réguliers inscrits et leurs multiples (à 3, 4, 5, 6, 8, 9, 10, 12, 15, 18, 20, 24, 30, 36, 40, 45, 60, 72, 90, 120, ou 360 cotés) ?

👉 Selon Adolphe Berthet, les vingt-deux lettres de l’écriture hébraïque seraient dérivées des vingt-deux lames majeures du jeu de Tarot, et non l’inverse comme on le croit, ainsi écrit-il : « Les vingt-deux figures ou tablettes du livre d’Hermès (…) ont servi à former les vingt-deux lettres de l’alphabet syriaque » (op. cit. p. 14). Notons que le mot « syriaque » pourrait se traduire par « solaire », ce qui n’aurait rien d’étonnant, puisque les 3 lettres mères de l’alphabet hébreu qui en dérive correspondent au Ciel, à l’Homme et à la Terre, les 7 lettres doubles figurent les 7 planètes, et les 12 lettres simples valent pour les 12 signes du Zodiaque. Remarquons aussi en passant – et cette relation n’a jamais été remarquée avant ce jour, semble-t-il, que les 22 arcanes majeurs correspondent à 2 cycles des tâches solaires, et que les 56 arcanes mineurs sont en rapport avec le nombre de jours de 2 lunaisons… tout comme dans la Bible la coupe de Joseph est en relation avec les arcanes mineurs appelés Coupes, ou le bâton de Moïse avec ceux appelés Bâtons, etc.

👉 Donnons maintenant un bref exemple de ce qu’était l’écriture alphabétique des anciens Égyptiens, née en partie des acrologies usuelles, comme il en serait d’une sténographie : le bélier Amon (Amon signifie « caché, inconnu ») et le taureau Apis (« le générateur »), dont les noms débutent par la lettre A, ont servi pour désigner cette dernière dans l’épigraphie égyptienne ancienne, bien que l’on ne conserve comme valable de nos jours que l’association du A avec le taureau, qui se dit « Aleph » en hébreu. Par ailleurs, ces deux animaux sont – on le sait – les deux premiers « Signes » du Zodiaque, le cercle des Animaux. Dans l’esprit des Anciens, le premier A désignait la création principielle ou archétypique, intangible et virtuelle, absolument et définitivement cachée à l’œil humain, alors que le second A figurait la création perceptible et sensible, concrète et matérielle, que l’on peut arriver à observer, de temps à autres et ici ou là… C’est ainsi que ces deux A encastrés tête-bêche s’écrivaient aussi 

👉 Voyons à présent du côté des nombres…
Si l’on retire l’arcane sans nom des 22 arcanes majeurs, pour l’ajouter aux 56 arcanes mineurs, nous obtenons alors deux ensembles : l’un de 21 arcanes et l’autre de 57 lames. On remarquera alors que 21 correspond à la somme de 1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6, et 57 à la somme complémentaire de 7 + 8 + 9 +10 + 11 + 12. Ainsi, le nombre total des arcanes de ce jeu, 78, voit sa somme philosophique égale à 12, nombre des signes du Zodiaque. Par ailleurs, 7 x 8, c’est-à-dire un nombre premier multiplié par le premier cube de la suite infinie des nombres, donne 56, le nombre des arcanes mineurs, en même temps que ce dernier nombre est la somme de 2 + 4 + 6 + 8 + 10 + 12 + 14… 14 étant le nombre des arcanes mineurs de chaque couleur. Les 78 arcanes du jeu complet, auxquels on ajouterait les 22 arcanes majeurs, font 100. Et qui ne voit que 56 suivit de 78 font la suite effective des nombres de 5 à 8, soit 5, 6, 7, 8, et que ces deux nombres, 5 et 8, qui débutent et finissent cette liste, correspondent aux rangs occupés par la lettre H dans l’alphabet hébreu ? H, l’indicatif du dieu grec Hermès, dont le nom signifie dans cette langue ; « base, fondement, assise », tient la première lettre de son nom du fait que Thoth l’Egyptien était le Maître de la Ville des Huit, c’est-à-dire de la Khemmenou ou Khnoum des anciens Egyptiens, devenue l’Hermopolis des Grecs puis l’El Achmounein des Arabes. Petite astuce dans un jeu de 78 cartes ?

👉 1 divisé par 8, puis multiplié par le nombre d’arcanes mineurs, soit 56 = 7, et le nombre d’arcanes majeurs, soit 22, divisé par 7 = 3,142857 soit le nombre Pi… Revenons un instant sur la suite 5 6 7 8 entrevue plus haut ; sa somme vaut 26, qui est aussi le nombre inclus dans le nom divin, ou tétragramme (h = 5 w = 6 h = 5 y = 10 ; somme = 26) : il suffit par ailleurs de multiplier ce nombre 26 par trois, la fameuse Trinité des chrétiens romains, des brahmanes védiques, ou du Trismégiste, pour retrouver 78, d’où trinité divine. Petit à petit, le lecteur voit s’imposer l’origine égyptienne et hermétique du Jeu de Tarots… Si l’on entretenait le moindre doute sur nos dérivations assemblées comme en un inventaire à la Prévert, nous serions en mesure – c’est l’expression idoine – de proposer de nombreuses démonstrations : nous croyons cependant qu’une seule devrait suffire ici…

👉 Si l’on regarde le format de ces arcanes, on découvre ce que les francs-maçons ont appelé, à la suite des bâtisseurs égyptiens, un carré long. En effet, comme le faisait remarquer un des très nombreux commentateurs du jeu de Tarots, hélas sans en apercevoir les conséquences : « Le format habituel [des arcanes du jeu de Tarots] étant très sensiblement inscrit dans un rectangle deux fois plus haut que large (…) » (Le Tarot, présenté et annoté par Jean-Marie Lhôte, éditions Berg-International, Paris 1983. p. 74) – ce qui est la définition du carré long d’un point de vue exotérique, mais correspond ésotériquement à deux carrés accolés – ce double carré indique avec force et sûreté l’origine doctrinale et pratique égyptiennes : il est même très précisément la marque de Thoth-Hermès-Mercure.

👉 Les leçons – beaucoup trop nombreuses – que nous permet l’étude du carré long ou double carré, nous exonèrent d’en présenter très brièvement plus de deux…
• La diagonale du double carré de 1 de côté est égale à Phi (1,618) + son inverse (1 divisé par 1,618, soit 0,618) : égalité harmonique
• Le périmètre du triangle rectangle de 1 sur 2 = une coudée égyptienne x 10.

👉 Que l’on marque à présent la ligne de jonction et les grands côtés de ce double carré ou carré long, et nous sommes en présence de la lettre capitale H, qui occupe le huitième rang de notre alphabet. Que l’on trace toutes les lignes de ce double carré, et que l’on en compte les angles, et le nombre huit apparaît de nouveau… Notons en passant que le jeu de Dé (voir plus haut pour la lettre D) totalise 21 points, et que « Les combinaisons possibles à obtenir avec deux dés sont de 21, et avec trois dés de 56 : nombres qui structurent le Tarot, composé de 21 atouts, de 56 cartes et d’un fou » (ibidem p. 83). On aura deviné tout de même, que le D, au quatrième rang de notre alphabet, laisse entendre ainsi les « quatre », c’est-à-dire les « cartes ». De même, il ne faudrait pas oublier que « Les parentés des cartes avec d’autres jeux se rencontrent dans les échecs, avec la présence des rois, reines, cavaliers, fous… Mais la filiation des dés aux dominos puis aux cartes de points est évidente » (ibidem p. 83). Passons outre, car il nous reste du chemin à faire…

👉 L’alchimie, commune à l’ancienne Égypte et l’antique Chine, se trouve-t-elle effectivement véhiculée par le jeu de Tarots ? Quelques titres classiques y font discrètement mais directement référence : Les 22 feuillets hermétiques de Kerdanec de Pornic, disciple de Dom Pernety, par exemple, ou Le traité de la pierre philosophale en 78 figures de Jean-Conrad Barchusen, qui donnent respectivement le nombre des arcanes majeurs et le nombre total des cartes du jeu de Tarots… Des auteurs plus modernes se servent aussi des Tarots pour ordonner leur exposé, tels l’ouvrage de François Jollivet-Castelot intitulé Comment l’on devient alchimiste, ou encore celui plus récent de André Coïa-Gatié consacré à La chevalerie errante.

👉 Mais remarquons aussi, dans le jeu dont nous parlons, que l’as de Bâton est appelé « serpent », que le deux de Denier est nommé « Apollon », que le neuf de Denier est appelé « Mercure », que le trois de Coupe est nommé « Isis », que l’étymologie de l’arcane dénommé « le mat » renvoie au verbe grec qui signifie « rechercher », etc. Toutes ces appellations sentent l’hermétisme à plein nez, comme l’eut dit Cyrano : on se reportera donc, pour plus de précision et de renseignements, aux ouvrages du bon Dom Antoine Joseph Pernety, le Dictionnaire mytho-hermétique et Les Fables égyptiennes et grecques dévoilées…

👉 Comme on l’aura compris – et peut être maintenant admis – le jeu de Tarots est un support traditionnel et un véhicule de la connaissance hermétique. Son étude et sa portée sont littéralement inépuisables, car il est une expression transcendante de la réalité. Pourvu que l’apprentissage en soit assidu et consciencieux, il peut positivement transformer l’étudiant et le faire accéder à un autre type de conscience et de savoir, plus ouvert et beaucoup plus sûr, non pas orienté vers les machines et la vie sociale, économique et politique, mais vers l’homme en tant qu’être créateur, responsable et solidaire, et comme « machine biologique » parmi les plus élaborées et les plus complexes de l’Univers ; le jeu de Tarots est en effet l’un des outils les plus efficaces et des plus profonds légués à l’homme moderne afin d’étayer et d’affermir la compréhension de son essence à travers son existence.
Néanmoins, le plus important, selon notre point de vue, reste à faire connaître, qui justifiera le titre de notre inhabituellement long article : la relation étroite entre le Jeu des Tarots et la Grande Pyramide de Gizeh, tout un programme !

👉 Nous avons pris le temps d’exposer ces différents aspects discrètement inclus dans le jeu de Tarots tant il est vrai que, comme l’écrivit Etteilla : « Le Livre de Thoth dans les mains pendant dix ans demeure infructueux, encore qu’on le soupçonne scientifique, si l’on n’a pas de vrais renseignements par une étude préalable de la Cabale, ou au moins reçu de sages leçons d’un vrai cabaliste »…

👉 Venons-en maintenant à ce qui justifiera – assez amplement pensons-nous – le titre de notre article : quels sont donc les rapports qui existeraient entre le jeu dont nous venons de faire succinctement le tour en hermétiste cabaliste et la fameuse grande pyramide de Gizeh ?

👉 Un observateur intuitif remarquera assez rapidement que les valeurs dimensionnelles de cette construction géante, exprimées en coudées, sont multiples et sous multiples des principaux nombres constituant le jeu de Tarots : en effet, la hauteur (cf. nos précédents articles) – 280 coudées – divisée par 10 et multipliée par 2, donne le nombre des arcanes mineurs, soit 56, et la base – 440 coudées – divisée par 10 et divisée par 2, donne le nombre des arcanes majeurs, soit 22, ce qui – nous l’admettons bien volontiers – pourrait passer pour une coïncidence… Mais pour ce qui suit à présent, l’explication par la coïncidence ou le hasard, voire la correspondance fortuite, est difficile à avancer et à soutenir, voire impossible. Afin de vérifier, on s’aidera d’une calculette.

👉 Écrivons ; hauteur exprimée en mètres divisée par le nombre d’arcanes mineurs. Que trouvons-nous ?
Le Nombre d’or au carré exprimé en mètres !
Vérification ; 146,608 mètres / 56 = 2,618 mètres, soit la valeur de Phi² exprimée en mètres.
En divisant la hauteur, cette fois ci exprimée en coudées, par ce même nombre 56, nous obtenons 5.
En divisant Phi² par 5, qu’obtenons-nous ? La coudée exprimée en mètres ! Vérification ; 280 coudées : 56 = 5, et 2,618 mètres : 5 = 0,5236 mètre.

👉 Écrivons ; base en mètres plus hauteur en mètres, mais divisée par 10, puis le résultat divisé par le nombre d’arcanes du jeu de Tarot, soit 78. Que trouvons-nous ? Pi exprimé en mètres ! Vérification ; [230,384 m + (146,608 m / 10)] / 78 = 3,1416 mètres.
Refaisons cette opération avec les mêmes valeurs, mais exprimées en coudées, nous trouvons 6. Divisons alors Pi par ce nombre. Qu’obtenons-nous ? La coudée exprimée en mètres ! Vérification ; [440 coudées + (280 / 10 coudées)] / 78 = 6, puis 3,1416 m : 6 = 0,5236 mètres.
Nous avons divisé Phi² par 5, et Pi par 6, nombres qui – juxtaposés – se lisent 56, et nous avons trouvé le même résultat : la valeur de la coudée.

👉 Retirons Phi² de Pi, et que trouvons-nous ? La valeur de la coudée !
Autre curiosité : en divisant le périmètre de la grande pyramide exprimé en coudées par le nombre d’arcanes du jeu de Tarots, soit (440 x 4) / 78, nous obtenons 22,56, soit le nombre des arcanes majeurs suivi du nombre des arcanes mineurs dont la somme donne 78.

👉 D’autre part, en divisant la valeur de ce périmètre par le nombre d’arcanes mineurs, puis en divisant ce résultat par 10, nous (re)trouvons … Pi !
Vérification ; [(440 x 4) / 56] / 10 = 3,142857
En faisant la somme des trois côtés du triangle méridien de la grande pyramide en coudées, soit la base à laquelle on ajoute deux apothèmes, puis en divisant le tout par le nombre d’arcanes majeurs, soit 22, puis par 100 (soit 78 arcanes majeurs + 22 lames mineures, on s’en souvient), que trouve-t-on ? La coudée ! Vérification ; 440 + (356 x 2) = 1152 coudées (on rapprochera ce nombre de coudées au nombre de mètres de la demi base, soit 115,192 mètres… voir plus bas), or [1152 / 22] : 100 = 0,5236

👉 Se souvient-on de la description du jeu ? Il est – entre autres – composé d’un ensemble de 22 arcanes majeurs dont 21 sont nombrés : tirons-en les conséquences !
21 / 3 = 7, et 22 / 7ème font Pi, fraction déjà bien connue, et qui nous était discrètement suggérée par le nom anagrammatisé du Tarot : « Rotas » ; « la roue, le cercle ». Pourquoi 21 ou 22 arcanes majeurs, au choix ? Peut-être parce que le mois précessionnel moyen dure de 21 à 22 siècles… (2 160 ans en moyenne, selon Platon) Ou peut-être parce que 78 – 1 = 77, soit 11 fois 7… 11, la moitié de 22, précisément.

👉 Se souvient-on de la description du jeu ? Il est – entre autres – composé d’un ensemble de 22 arcanes dont 1 est sans nom et 1 est sans nombre : tirons en les conséquences ! 22 (arcanes majeurs) x Phi² (soit 2,618) x 20 (arcanes nombrés et nommés) = 1151,92 = demi côté de la grande pyramide de Gizeh exprimé en décimètres, et au millimètre près.

👉 Selon M. Eugène Michel Antoniadi, astronome gréco-français intéressé d’égyptologie, le couloir horizontal d’accès à la chambre médiane de la grande pyramide serait situé au 1/5ème de la hauteur totale de celle-ci (L’astronomie égyptienne, Editions Gauthiers-Villard, Paris 1934. p. 138). Cela fait donc 56 coudées (280 coudées de hauteur / 5 = 56), nombre des arcanes mineurs, et rappelle le nombre de fois Phi² dans la hauteur (2,618 m x 56 = 146,608 m).

👉 Continuons ! Moitié des arcanes majeurs (soit 22 / 2 = 11, arcane La Force, et durée en années du cycle des tâches solaires) multipliée par moitié des arcanes mineurs (soit 56 / 2 = 28, durée en jour de la révolution lunaire moyenne), multipliée par l’arcane de L’Étoile, dit aussi La Connaissance, (la lame XVII) = la coudée… multipliée par 10 000… Vérification ; 11 x 17 x 28 = 5236… soit en effet 0,5236 x 10 000
Autre résultat avec les mêmes chiffres : multiplions 11 par 2, puis 17 par 2, puis 28 par 2, ce qui donne respectivement 22, 34, et 56. On aperçoit rapidement, si l’on est intuitif dans les mathématiques, que 56 n’est autre que la somme de 22 + 34. Il nous reste à réaliser une suite sur ce modèle…

22 + 34 = 56
34 + 56 = 90
56 + 90 = 146
90 + 146 = 236
146 + 236 = 382
236 + 382 = 618
382 + 618 = 1000
618 + 1000 = 1618
1000 + 1618 = 2618

On voit donc apparaître dans cette suite : le carré de l’inverse du Nombre d’or, l’inverse du Nombre d’or (1 / 1,618), l’unité (1), le Nombre d’or lui-même (1,618), et enfin le carré du Nombre d’or (2,618), cela en partant des nombres 22 et 56 notamment. Il y a plus direct : 22 – 1 = 21, et 56 – 1 = 55, or 55 / 21 = Phi²…

👉 Ultime curiosité ? Faisons la somme des termes qui composent le chiffre de la coudée de 0,5236 mètre, soit 5 + 2 + 3 + 6 = 16, faisons ensuite leur produit, soit 5 x 2 x 3 x 6 = 180, puis juxtaposons les résultats en posant judicieusement une virgule, et nous obtenons… Phi, soit 1,6180. Reprenons, mais en plus subtil : arcane de la connaissance (lame XVII), arcanes précédant et suivant, soit XVI et XVIII ; transposez en caractères gréco-romains, soit 16 et 18, puis rapprochez… Vous avez obtenu de nouveau le Nombre d’or, en chiffres.

👉 Pour les personnes qui douteraient encore du lien entre grande pyramide et jeu de Tarots, on observera ceci : 56 (nombre des arcanes mineurs) / 22 (nombre des arcanes majeurs) = (racine carrée de Phi) x 2 (les deux catégories ou groupes d’arcanes).
56 x 22 = 1232 = + ou – (racine carrée de 5) – 1
Sera-t-il nécessaire d’insister sur ces relations, aussi nombreuses et étroites pour un voisinage ressemblant fort à celui de la carpe et du lapin ? Si vous le désirez et le manifestez, ce sera avec plaisir, et nous vous donnerions, auquel cas et dans peu de temps, un complément à cet article…

Cours de Tarots, par jacques Grimault

Une brève leçon d’égyptologie… à la manière traditionnelle

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Une brève leçon d’égyptologie… à la manière traditionnelle, par Jacques Grimault.

👉 Il n’existe probablement pas d’emblème plus représentatif et plus connu de l’ancienne Égypte – à part peut-être les grandes pyramides et les obélisques – que la très célèbre coiffe mortuaire du jeune pharaon Toutankhamon (Amon est entièrement vivant, XVIIIème dynastie, règne cerca 1343-1323 avant notre ère), que l’on pouvait admirer au second étage du Musée Mariette il y a quelques temps, au Caire, et quelquefois lors d’expositions internationales, et que l’on voit ci-après en illustration. Cette très remarquable et impressionnante réalisation d’orfèvrerie – onze kilos d’or incrusté de diverses pierres semi précieuses et de verre –, toute de finesse et de fidélité, modelant l’autorité, la noblesse et la pondération dans ce visage juvénile et serein, nous offre ici l’occasion d’un bref exposé sur la manière dont les Anciens – et les Égyptiens en particulier – pensaient, représentaient leur pensée, et la formulaient avec art, savoir et savoir-faire dans la matière, tournure répandue avant eux sur la planète entière et que l’on retrouve désormais presque totalement et partout, si l’on ose toutefois aller s’en instruire dans les restes de leurs écrits originaux et sonder en particulier les préoccupations des hermétistes et autres alchimistes…

👉 Afin de ne pas donner trop d’ampleur à cette explication, nous nous bornerons à ne considérer que la coiffe proprement dite, c’est-à-dire seulement le tissu rayé d’or et de verre bleu sombre formant couvre-chef, appelé NeMeS, mais descendant jusqu’aux épaules, et orné d’un cobra et d’une tête et d’un cou de vautour (ce qui ne peut que rappeler le célèbre serpent à plume des Aztèques, synthèse de ces deux-là, mais restons-en là).

👉 Comme à notre ordinaire, nous procéderons de façon méthodique, rationnelle, concrète et étayée.

Ici, notre propos est de montrer – d’une part – que tout est signifiant dans les représentations de l’ancienne Egypte, comme chez tous les anciens peuples et civilisations, et – d’autre part – que l’on ne peut correctement appréhender ces significations qu’en connaissant de façon assez exhaustive et approfondie la manière de penser dans ces anciennes cultures…

👉 Parce que, pour les Anciens dans leur ensemble, l’Esprit est le concepteur et le générateur de la création, c’est-à-dire – pour simplifier – de la matière et de l’énergie, dont le mélange approprié constitue la vie dans l’existence, il convient de commencer à observer l’objet de cette brève étude par le haut, le sommet, le dessus (ce qu’indique le vautour, animal volant), le plus près, puis de la compléter en recommençant, mais par le bas (ce que sous-entend et indique le serpent, animal rampant).

👉 Les deux animaux ornant le centre du front (DeHeNeT en égyptien) du monarque et faisant partie de sa coiffe, face à l’hypophyse et à la glande pinéale qu’ils – entre-autres – figurent, et qui sont les représentants physiologiques les plus élevés de la pratique magique traditionnelle, étant les plus haut et les plus près de nous dans cette figure, nous commencerons donc par les analyser et les comparer brièvement, puis nous passerons à l’interprétation du reste du couvre-chef : ainsi, nous montrerons pourquoi, pour nous, les deux animaux ornant le front royal ne sont évidemment pas là par hasard, sur le seul mobile qu’ils représenteraient – symboliquement, comme le disent les égyptologues, alors qu’il ne s’agit que d’emblèmes – l’un la Haute Égypte (la déesse vautour NeKHBeT, qui vole, donc haut) et l’autre la Basse Égypte (la déesse serpent cobra WaDJeT, qui rampe, donc bas) ou, pour être sobre, net, précis, concis et complet : la polarité… ou opposés complémentaires.

👉 Paradoxalement, c’est la tête du serpent cobra qui apparaît au plus haut, bien que ce soit là un animal rampant et entièrement terrestre. La raison d’être de cette apparente erreur ou – au moins – incongruité, est que ce reptile a la possibilité de s’ériger, de s’élargir et surtout de s’élever sur son propre corps, et donc de dominer ce qui l’entoure, par la volonté et l’effort associés, en opposition même à sa propre nature. Ce que le vautour, l’oiseau qui vole le plus haut dans le ciel d’Égypte, et dont la tête se tient en général en dessous des épaules, ne saurait faire. C’est aussi pourquoi le serpent est l’emblème de la santé, hormis les considérations sur son venin et sa longévité, et de la médecine (se relever d’une maladie), ainsi que de l’initiation, qui n’est autre en réalité que le maintien dans la santé morale etc…

👉 La primauté ici analogiquement notée est donc la capacité – pour un être terrestre accroché au sol – à s’élever au-dessus de sa condition ordinaire et d’aller vers le haut.

👉 En revanche, l’être céleste ailé, en baissant la tête, s’approchera autant qu’il le peut de l’être terrestre, ce qui est une disposition toute de générosité si on la transpose dans le domaine moral.

On notera que ces deux animaux, totalement et radicalement opposables selon ce point de vue, et par le fait que l’un est prédateur de l’autre (le vautour mange aussi les serpents et non l’inverse) ne sont pourtant pas séparés : ils sont même en filiation, et alors représentatifs d’idées et de concepts beaucoup moins visibles et bien plus subtils que les précédents. Les écailles du serpent sont en effet devenues des plumes pour l’oiseau, ce qui indique chez les anciens Egyptiens une connaissance assez poussée et précise de l’histoire de la Nature en ses âges, ainsi qu’une appréciation assez nette de la notion d’évolution (qui n’a cependant rien de commun avec la théorie développée par Charles Darwin et ses épigones). Ces deux animaux sont également semblables si on les considère d’un tout autre point de vue : ils sont tous deux ovipares, c’est-à-dire qu’ils pondent des œufs, emblème général de génération cyclique parfaite et complète, image de l’Univers en son harmonie (l’œuf est en effet l’image la plus complète du Nombre d’or), et symbole de l’énigme de la vie pour les Anciens…

👉 Paradoxalement là encore, pensera-t-on, ces deux animaux seraient plutôt représentatifs de la mort que de la vie : il n’en est rien ! Le serpent, notamment dans l’ouvrage biblique, est bel et bien un emblème de vie (regardez le caducée des médecins et celui des pharmaciens). Le vautour, quand il devient la déesse MWT (lire MouT), est réputé pour élever ses petits avec amour et se dévouer jusqu’au sacrifice, quelquefois au prix de son propre sang : l’un représente la vie, l’autre figure la vitalité – qui ne sont pas les mêmes, l’une étant une propriété, l’autre une amplitude –, tout comme le feront Vénus et Mars dans la mythologie gréco-latine ultérieure mais analogue dans son fond.

👉 Plus techniquement et savamment, mais là-encore sans entrer dans le détail, le vautour MWT sera la mère de l’être à naître, capable de parthénogenèse, alors que le serpent cobra au cou épaissi et élargi sera la figuration du spermatozoïde (eh oui, mesdames et messieurs les égyptologues, nous savons que les anciens Égyptiens ne sont pas censés connaître l’existence de cette cellule mobile, ni savoir grand-chose en général dans les domaines de la science, cependant…).

👉 Si l’on considère de plus près et plus précisément le comportement de ces deux animaux, les indications deviennent alors plus profondes et réellement étonnantes : le vautour fait des cercles en l’air, alors que le serpent ondule sur la terre : ce sont là, pour l’un le mouvement cyclique et circulaire quasi statique et, pour l’autre, le mouvement ondulatoire et linéaire dynamique, deux images du temps et du développement énergétique chez les Anciens. L’anagramme du mot français serpent en est un rappel (présent), alors que l’étymologie cabalistique du mot vautour (va – ou vole – autour) le suggère (la langue française – franche – est celle qui a gardé le plus grand nombre des particularités de l’écriture et de la tropologie de l’ancienne Égypte : c’est la langue cabalistique par excellence, que parlaient tous les anciens peuples de notre planète, autant dire avant l’épisode biblique dit de Babel…). Le serpent, en effet, par ses mues successives, rappelle la – très improprement appelée – métempsycose, ainsi que la vie éternelle qui en constituerait le terme, lui qui vit depuis si longtemps à la surface de la Terre, se nourrit de si peu, si rarement… et dans le silence.

👉 Le vautour – oiseau nécrophage – mange seulement ce qui a vécu, et le transforme en nourriture pour sa progéniture, qui ainsi vivra…

👉 En matière de son et de vocalisation, discipline d’espèce musicale très secrète et fort appréciée des prêtres de l’ancienne Égypte (MaH-KRoN ; les justes de voix : rien à voir avec Macron, qui fait le contraire de ce qu’il dit, et dit le contraire de ce qu’il fait, comme tout bon talmudiste qu’il est, pourri jusqu’à la racine), le vautour émet un cri perçant et clair s’approchant de la prononciation humaine des lettres XRIIII chantées suraiguës, qui sont l’indication cabalistique de la lumière (X), de la force (R), et de l’intellect, de l’idéation, et de l’intelligence (I) qui, là encore et pour les Anciens, ne sont pas les mêmes choses.

👉 Quant au serpent, il passe pour émettre un son sourd, et siffle la lettre SSSS, lettre emblème de la manifestation, de la chose engendrée et née, donnée à apparaître dans notre monde concret dit matériel pour les Modernes, et substantiel pour les Anciens. Comme on l’aura noté, ces deux cris animaux s’opposent : l’un est perçant (et non serpent, belle antistrophe), l’autre sourd. En dernier lieu, pour ce type de représentation et en revenant à la coiffe, on notera que la tête et le cou du vautour, seuls représentés, figurent la tête, la génération féminine par la sphère, et l’intelligence raisonnée de l’homme qui, comme ce rapace, est capable de voler à très haute altitude, alors que le serpent cobra, ici montré en entier, représente la colonne vertébrale dont les courbes naturelles et les anneaux osseux la font effectivement ressembler à un reptile, et la dynamique masculine linéaire, emblème du dynamisme universel… Pour se convaincre de cette assertion forte, il conviendra de mettre la coiffe totalement à plat et d’en déduire ce que nous affirmons, sans aucun effort d’ailleurs.

👉 Dans un contexte totalement différent mais pourtant apparenté, ces deux animaux représenteront d’une autre manière, plus graphique pourrions-nous dire, la Haute Egypte, colonne vertébrale constituée par l’unité de la vallée du Nil (WaDJeT – le cobra –, bien qu’il soit l’emblème de la Basse Égypte, est pourtant le nom du dixième nome de la Haute Égypte), et la Basse Égypte, tête figurée par la multiplicité des eaux du Delta du fleuve Sud-Nord le plus long du monde…

👉 Les comparaisons de ces deux êtres, en termes de polarité, sont si nombreuses que nous devons nous borner à n’en citer que quelques-unes, évidemment secondaires : celle des crochets de la mâchoire du serpent opposés au bec édenté de l’oiseau, ou la vue perçante du vautour et la très faible acuité visuelle du serpent, par exemple… car il est à présent temps de dire que ces deux animaux, symboliquement et à hauteur de la pensée humaine, invitent toute intelligence à réfléchir sur les deux plus profondes énigmes posées par la divinité comme un défi à la face de l’homme : la vie et le temps…

👉 Nous pouvons désormais approcher la coiffe proprement dite, c’est-à-dire la pièce de tissu allant du front au sommet du crâne et descendant sur la nuque et jusqu’aux épaules, le NeMeS. Elle emprisonne le crâne lui-même, du front jusqu’à la nuque, mais libère soigneusement la face et les oreilles, formant même un volumineux pavillon supplémentaire pour celles-ci, ce qui favorise évidemment l’entendement, c’est-à-dire la compréhension. Elle semble faite d’une seule pièce, découpée et posée sur le front, qui se divise en deux pans allants jusqu’aux épaules et un autre jusqu’à la nuque : voilà bien l’image de l’unité se partageant…

👉 Les bandes alternatives claires et sombres partent verticalement sur le front pour venir horizontalement sur les côtés et les épaules, puis plongent de nouveau verticalement sur la nuque ; en voici l’interprétation : la pensée intuitive unifiée s’élève d’abord (le front est le plus près du spectateur) et se concrétise dans une réalisation dynamique duelle et alternée pour retourner dans le sein de l’unité : toute la cosmogonie ancienne est résumée ainsi. On remarquera l’impression très nette de fontaine jaillissant du front et de la face qu’offre la coiffe, comme si ses rayures figuraient des jets d’eau verticaux en action dans un premier temps, puis les eaux stagnantes et horizontales en repos dans un second, allant se perdre en dernier et discrètement – et pourquoi pas se résorber – dans le haut du dos du personnage.

👉 Cette coiffe est constituée de deux couleurs, l’or – un métal – et le bleu sombre – une pierre ou du verre teint –, ce qui est une allusion à une certaine pierre artificielle transparente et métallique, très décriée, élaborée par art et donc artificielle : la fameuse Pierre philosophale. D’ores et déjà, d’un point de vue purement scientifique et pratique, nous avons aussi là un conducteur électrique très fidèle couplé à un isolant parfait, au moins aussi efficace que la céramique et le cuivre, par exemple, les deux ensembles formant un véritable condensateur, sorte de procédé capable de récupérer de l’électricité statique aérienne dès qu’ils sont en mouvement, et de la rendre utilisable immédiatement (ce qui n’est pas sans danger). Du point de vue symbolique, c’est là une autre représentation de la polarité lumière / obscurité, qui engendre l’idée de succession jour / nuit, masculin / féminin, chaud / froid, ubac / adret, et bien d’autre très nombreux couples, à la manière du Yin et du Yang des anciens Taoïstes chinois (qui eux aussi, faut-il le rappeler, s’occupaient d’alchimie et d’astrologie, possédaient une médecine très puissante, écrivaient en hiéroglyphes et autres idéogrammes, et bâtissaient des pyramides, mais ça, les égyptologues et sinologues s’en contrefichent et nous tyrannisent par tous moyens pour nous faire taire, comme le premier Macron venu !). Ces bandes alternées, au nombre de 56, nous invitent maintenant à considérer certains aspects du nombre lui-même, lien entre substantiel et immatériel : que les Lecteurs nous excusent pour le caractère quelque peu aride et ardu de cette – heureusement brève – partie de notre exposé…

👉 56, dans un premier temps, est l’indication discrète de la fin et du début des choses, si l’on considère qu’en comptant avec les mains, comme le faisaient entre autres les anciens Egyptiens, le cinq finit la première main qui compte, et le six débute la seconde main qui compte. En d’autres termes, cinq finit la première moitié de la dizaine, et six débute la seconde moitié de cette même dizaine. L’un est impair et masculin (5), en même temps qu’il est la somme du premier pair (2) et du premier impair (3). L’autre est la somme ou le produit des trois premiers nombres : 1 + 2 + 3 = 1 x 2 x 3 = 6. La somme de ces deux nombres (11) réalise l’unité multipliée, et donc, selon le jeu des Tarots, La Force (Arcane XI), où, en langage cabalistique, l’unité (1) et son reflet (1). On notera par ailleurs que dans le mot onze, il y a one, soit un en anglais et le nom du soleil en ancien égyptien ; onn.

👉 56 est le produit de 7 par 8, 7 étant un nombre premier, et 8 le premier cube dans l’infini des nombres. La succession des quatre chiffres suggère une numération comme celle dont nous usons : 5, 6, 7, 8… et 78 le nombre des arcanes complets du jeu de Tarots, 56 étant celui des lames ordinaires ou petits atouts.

👉 56 est aussi 2 fois 28 comme que le suggère le corps du serpent cobra, qui délimite la coiffe en deux parties égales. Or 28 est un nombre parfait, dont la somme des diviseurs l’égalent, et somme des 7 premiers nombres (1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7 = 28), mais surtout figure le nombre des jours de la lunaison moyenne (pour les astronomes, la lunaison sidérale, liée au Nombre d’or, car il y a en effet 12,36 (soit aussi [√5-1] x 10) lunaisons en moyenne par année solaire) et est donc en liaison avec le dieu lunaire Thoth, grand maître de l’écriture, de la science et de l’art, du temps et de la vie éternelle, hypostase et personnification de l’intelligence divine. Une fine observation montrera en outre que les bandes alternées d’or et d’un minéral bleuâtre et sombre – du verre teinté – forment encore une leçon sur la polarité, car si l’or est soigneusement aplati, la pierre – elle – est légèrement bombée, montrant là encore une fois le couple droit-courbe, équivalent et analogue aux autres couples polarisés…

👉 La dualité ramenée à l’unité ou à la trinité, telle est la nature de la leçon exposée dans le langage antédiluvien, dont l’ancienne Égypte fut la principale héritière et la discrète et tenace propagatrice. Son art entier, sa science complète, son écriture comprise – car tel n’est pas le cas, et il s’en faut de beaucoup ! –, son histoire et sa culture générale ou intime rappellent cette éminente et incontournable leçon à qui veut la voir et l’entendre… Mais on sait qu’il n’est pire sourd que…

👉 Si nous avons intitulé notre article « Une brève leçon d’égyptologie à la manière traditionnelle », c’est que nous avons constaté, tout comme Jean-François Champollion lui-même, que « Les monuments égyptiens des temps les plus antiques ne montrent aucune trace de l’enfance de l’art ; tous le manifestent au contraire à un âge adulte et plein d’expérience » (in Grammaire égyptienne, Introduction, page xxij), et que « La plupart des édifices existants sur ce sol antique appartiennent, non aux premiers essais, mais à une RENAISSANCE des arts et de la civilisation qu’avait interrompus une invasion de Barbares antérieure à l’an 2 000 avant l’ère chrétienne. Les inscriptions qui décorent ces monuments nous montrent, en effet, l’écriture hiéroglyphique tout aussi développée, tout aussi complète, pour la forme et pour le fond, que les dernières légendes sculptées par les Egyptiens au second et au troisième siècles après J.C. (1) »

« (1) Monuments antérieurs à l’invasion, parfaits. Depuis, beaux ; mais la décadence commence à Sésostris, continue sous Sabacon et les Saïtes ; très avancée sous les Lagides ; complète sous les Romains » [Les Barbares dont il s’agit sont évidemment les fameux Hiksos, qui seront repoussés vers la Judée] (Jean-François Champollion, Grammaire égyptienne, chapitre 1, page 2, alinéa 6).

👉 Que sont ces glyphes, appelés hiéroglyphes (ou, dans le cas qui nous occupe, anaglyphes) ? Répondons dans la langue des insulaires britanniques – surgeon de la langue atlante, quoi qu’en ‘pensent’ les linguistes et les égyptologues en général – : lisez draw (dessin) et word (mot), écoutez, observez, déduisez, et concluez… Vous vous approchez de la véritable culture des Anciens, qui persiste en dessous de la nôtre avec patience, attendant que vous la découvriez… Car elle aide et sauve !

Bienvenue en dictature 2.0. Des nouvelles du boucher.

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Le Dictateur

👉 Savez-vous pourquoi l’Etat Macron continue à nous obliger à porter le masque même si vous êtes vaccinés au complet, en plus qu’il ait déjà été démontré cent fois et de toutes parts que sa protection est inefficace contre tout virus ? La réponse est que tous les masques contiennent des nanoparticules d’oxyde de graphène, et que l’Etat Macron veut nous les faire inhaler, qu’on le veuille ou non ; c’est pourquoi ils étaient gratuits au début…

👉 Savez-vous pourquoi on continue à nous dépister avec le test PCR bien qu’il ait déjà été dit cent fois et de toutes parts que ce test est non fiable à 95 % ? La réponse est que le bout de l’écouvillon est chargé d’oxyde de graphène nano qui va aller directement au cerveau ; c’est pourquoi ils étaient gratuits…

👉 Savez-vous réellement pourquoi l’Etat Macron veut absolument vacciner tout le monde et plusieurs fois par mois ? Parce que les vaccins ARNm, bourrés d’oxyde de graphène nano eux-aussi, vont nous transformer en antenne ambulante et renforcer le travail et la dissémination du dangereux couple protéine SPIKE / HYDROGEL DARPA… C’est pourquoi ils sont encore gratuits…

👉 Savez-vous réellement pourquoi l’Etat Macron veut nous re-vacciner tous les 6 mois contre des hypothétiques nouveaux variants ? Pour renouveler le plein de graphène, que – quoi qu’en disent les media – le corps élimine petit à petit.
Savez-vous enfin que les athlètes de haut niveau perdent 10 à 20 % de leurs performances après une vaccination ARNm ?

👉 Devinez, à présent ; vous en savez largement assez !
Des milliers de vidéo curieuses sur Internet avaient attirées l’attention de personnes vaccinées qui collaient magnétiquement des petits objets en fer ou en inox sur la zone d’injection – ce n’était ni un trucage ni un gag de magie burlesque, mais un symptôme dont personne n’avait été informé… Et pour cause !

👉 Le site Orwell City fut le premier à dénoncer la présence d’oxyde de graphène dans les injections, masques, hydrogels alcoolisés ou non, et tests, grâce à ses traductions en anglais du site La Quinta Columna, qui a publié sur Rumble une vidéo de synthèse titrée L’arme du crime parfait. La Quinta Columna résume le résultat des recherches Dr José Luis Sevillano depuis un an et demi, mais surtout depuis les derniers mois, car celui-ci a pu mesurer à l’aide de teslamètres, magnétomètres, etc., les phénomènes magnétiques ou pseudo-magnétiques que présentent les gens après inoculation, et des stockages d’énergie à certains endroits, comme le front, quantités qu’on peut mesurer avec un multimètre…

👉 La société NANOGRAFI a avoué que l’oxyde de graphène est présent dans les masques, dans les tests PCR, les tests antigéniques, dans l’hydrogel, et aussi dans les vaccins ‘antigrippee ainsi qu’en aérosol dans le vaccin intranasal diffusé par la Turquie… Il est en outre apparu qu’en plus d’être très magnétiques, les vaccinés devennaient aussi superconducteurs électriques. C’est ce dernier aspect qui a orienté la recherche du Dr Luis Sévillano dans l’analyse des échantillons d’ampoules vaccinales, et donc vers le graphène non signalé dans les descriptifs des contenus des vaccins ; c’est au départ un super conducteur industriel servant à stocker et condenser l’énergie électrique. Cette ‘théorie du complot’ fut rapidement prouvée et confirmée par la spectroscopie aux UV, la microscopie électronique, et les fréquences électromagnétiques.

👉 Coïncidence révélatrice : le marché de l’oxyde de graphène nano avait explosé dès le départ de l’alerte Covid, en décembre 2019 et janvier 2020, mais aussi durant la campagne de vaccination antigrippe qui l’avait précédée, spécialement à Wuhan et en Italie du Nord. L’équipe espagnole a alors étudié la toxicité spécifique de l’oxyde de graphène qui lui fait rejoindre le bilan des effets indésirables connus associés à la vaccination en vogue – pour rappel : symptômes et dégâts possibles dans l’organisme des vaccinés ARNm :

• Perte de l’odorat et du goût.
• Goût métallique dans la bouche.
• Inflammations multiples.
• Inflammations des muqueuses.
• Ecroulement du système immunitaire.
• Double pneumonie surtout par inhalation.
• Milliers de mini caillots circulant dans le sang.
• Mouvements incontrôlables.
• Myocardites et péricardites possiblement irréversibles.

Et surtout Thromboses soudaines et imprévisibles pouvant entrainer :
• Aphasie,
• AVC fatal,
• Cécité d’un œil ou des deux,
• Embolie cardiaque fatale,
• Embolie pulmonaire fatale,
• Paralysies,
• Surdité d’une oreille ou des deux.

Plus les effets indésirables répertoriés par milliers…

👉 Se protéger préventivement et se soigner ?
Parade à l’oxyde de graphène : Le L-GLUTATHION est un puissant antioxydant synthétisé par le sang, qui contrecarre les radicaux libres, les péroxydants et toutes les toxines qui entrent dans le corps. Or il s’avère qu’il détruit aussi l’oxyde de graphène nano, mais à condition d’être présent en quantité suffisante, sinon le graphème va le manger – c’est donc une véritable partie de bras de fer qui a lieu ! Et c’est là que l’on peut aider le corps en apportant du L-glutathion extérieur, ou mieux encore, de la N-acétylcystéine qui est son précurseur.
De fait les chercheurs espagnols ont découvert qu’il existait environ 300 études cliniques sur l’usage par certains hôpitaux et universités, de la N-acétylcystéine avec d’incroyables résultats. Par exemple, 100 patients mourants avec des doubles pneumonies ont été sauvés en une heure après l’administration intraveineuse de glutathion ou de N-acétylcystéine.
Hélas le problème de l’apport extérieur du L glutathion est que sa synthèse nécessite de grandes quantités de lait – qui est, nous le savons, du sang transformé. On parle de 600 litres de lait pour obtenir 1 litre de glutathion, ceci lui occasionnant un coût élevé – et par ailleurs, que sa conservation est éphémère.

👉 Il est donc préférable de s’orienter vers la N-acétylcystéine (NAC à 200 mg) un acide aminé soufré hautement bio disponible, que l’on trouve facilement sur Internet ou dans les parapharmacies – sans ordonnance puisqu’elle n’est pas considérée comme étant un médicament mais un complément alimentaire : 1 sachet 3 fois par jour chez l’adulte – traitement 8 à 10 jours maxi.

👉 A noter par ailleurs qu’à partir de 60 ans le sang fabrique de moins en moins de glutathion. C’est pour cela que le 3ème âge est le plus touché par la vaccination. Mais cela est vrai aussi pour les obèses de tous les âges ! Par contre, normalement, les enfants qui en fabriquent abondamment sont peu touchés… quand la rafale de vaccinations du calendrier vaccinal n’a pas trop endommagé leurs défenses immunitaires à large spectre.

👉 On nous a parlé de 3ème puis maintenant de 4ème vague, etc., bref une histoire sans fin, qui justifie des nouvelles privations de libertés et des nouvelles vaccinations soi-disant mieux adaptées. Aussi, il est couramment entendu de la part des sommités médicales sincères que lesdits variants sont générés par les vaccins. Ils sont sur la bonne voie mais il leur manque une pièce du puzzle.

👉 Il faut considérer que les gens en bonne forme qui ont passé avec succès l’épreuve de la première vague, vaccinés, demi vaccinés, ou pas, sont ceux dont le glutathion était suffisamment abondant pour éliminer progressivement le graphène – le seul but du nouveau vaccin n’est pas de protéger d’un variant qui n’est en fait qu’un rhume ou une grippe banale, mais d’effectuer une recharge importante d’oxyde de graphène, donc une nouvelle estocade contre les individus “durs à cuire”, dont les dégâts seront mis à la charge d’un virus fantôme de plus en plus méchant.

👉 A présent, pourquoi la 5G ?
L’establishment criminel, suivi par l’Etat Macron, a voulu avoir toutes les chances de réussite dans son œuvre sinistre et meurtrière, en faisant jouer la fréquence de résonance de l’oxyde de graphène que l’on nomme techniquement “bande d’absorption électronique” dans le but d’une émulation le rendant encore plus méchant face au glutathion. Cette émulation va être initialisée par la 5G – et c’est pour cela que, contre toutes les mises en garde et réticences de toutes parts, la prolifération des antennes continue à battre son plein comme si rien n’était.
Janvier 2020 fut une grande répétition à Wuhan, alors que :

👉 Une campagne de vaccination antigrippe avait précédé (pour charger les gens en graphène) ; plus de 10 000 antennes relais 5G avaient été installées ; qu’au jour J de la déclaration de la catastrophe pandémique Covid, prétendument due à une fuite accidentelle du laboratoire P4 et une histoire à dormir debout de pangolins et de chauves-souris, l’enclenchement du réseau 5G a été effectué en même temps : rappelez-vous des gens apparemment pas malades qui tombaient de mort subite dans la rue (ce n’était pas un montage).

👉 A l’époque certains avaient parlé de la fréquence de résonance 60 gigahertz de la 5G, qui rendait l’oxygène ambiant partiellement inexploitable par l’hémoglobine du sang – ceci devait être vrai, mais personne ne connaissait à l’époque l’existence surajoutée du graphène (la ceinture et les bretelles…). Le but de ce montage assassin fut donc de faire croire au monde entier que l’ennemi était un nouveau virus, afin de détourner l’attention de la vraie corrélation : oxyde de graphène+5G – cela a parfaitement marché, même chez les scientifiques… du grand art dans le crime pourri !

👉 Toutes les inepties apparentes depuis plus de 18 mois s’expliquent désormais d’une façon limpide et se développent en effet selon un plan mortifère.
Ceux qui ne croiront pas encore, après cette lecture, que nous sommes sous l’emprise du plus grand mensonge de tous les temps pour assurer le plan de dépopulation de l’humanité prévu par le plan Blue Beam des Illuminatis (voir sur Internet), en ont parfaitement le droit en leur âme et conscience.

👉 Les (faux) vaxxins c’est :
(1) Protéine Spike + hydrogel Darpa
+ (2) Oxyde de graphène
(et aucune souche contre le prétendu coronavirus…)
Parade pour le (1) décrit ci-dessus : Suramine de la tisane de pin ou TM d’aiguilles de pin sylvestre
Parade pour le (2) décrit ci-dessus : L-Glutathion >>>> N-Acétylcystéine (NAC 200 mg) (pharmacie ou Internet).
Vous avoir enfin compris, ou vous être sourds et aveugles ?

Jacques Grimault
Votre ami le graphène. Cette image montre une fibre ouverte longitudinalement avec une extrémité cassée et montre des billes d’hydrogel DARPA. Voir également les autres images dans le PDF pour plus de précisions.
Ce « matériau » reste maintenant après vidange à l’arrière de votre cavité nasale!
Après contact du DARPA Hydrogel avec vos liquides organiques, tels que la salive, ils commencent à former des structures cristallines rectangulaires en quelques minutes . Ceux-ci grandissent et se multiplient. Voir le résultat après 24 heures dans le PDF!

Jacques Grimault face à ses détracteurs : fausses pistes et calembredaines d’Alexis Seydoux tentant de noyer le poisson et de porter tort à LRDP et son auteur…

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Jacques Grimault face à ses détracteurs : l'armée des trolls.

👉👉👉 Voici un post découvert sur Fesse-bouc, relatif au questionnement bien légitime et nécessaire sur les apports de LRDP à la culture populaire, faisant discrètement allusion aux dégâts occasionnés à la structure mensongère et manipulatrice des égyptologues etc, par ce film et les articles tant d’Howard Crowhurst que de Quentin Leplat… Mais le scripteur est franc, honnête, et correctement documenté, lui, et là, la différence est sensible… Et pas dans le nez de Seydoux !

Je donne quelques petits plus ou précisions [entre crochets], comme à mon habitude…

👉 « J’ai découvert un site très intéressant qui s’attache à démontrer l’invalidité des thèses [aucune thèse dans ce film : au mieux, des allusions et suggestions] défendues par Jacques Grimault – entre autres – dans son film, que j’ai déjà présenté dans notre groupe, « la révélation des pyramides », réalisé par Patrice Pouillard et sorti en 2010. Ce site, sous l’appellation IRNA [pages d’Irna Osmanavic, se prétendant archéologue, ce qui est faux], présente donc le point de vue de l’égyptologie académique, et a l’avantage de pouvoir s’appuyer sur un grand nombre de références officielles [la plupart sans intérêt ni pertinence, puisque répétitions de niaiseries souvent inventées], fruit du travail d’un très grand nombre de chercheurs et d’archéologues [n’ayant fait que suivre la voie balisée obligatoire, comme Faustine Boulay et son amie , aussi gourdes et incultes l’une que l’autre, et ce n’est pas faute d’avoir essayé de les aider à refondre leur simili-connaissance !].

👉 Je me suis donc plongé dans la lecture de l’article en question, m’attachant tout particulièrement au chapitre qui tente de démontrer l’invalidité de la thèse [pas de thèse : des tentatives de documentation et de validation, mais dépourvues de démonstrations] qui relie la coudée royale égyptienne, Pi, Phi et le système métrique. La question importante qui motive ce débat est que ces éléments font partie des fondements de notre civilisation, je parle d’un point de vue scientifique et technologique. Est-ce que le mètre (et plus largement nos systèmes de mesure), Pi, Phi, comme le prétend la version « officielle » de notre histoire, sont effectivement des découvertes récentes à l’échelle de notre civilisation ? Et dans ce cas, leur récurrences constatées dans un très grand nombre d’ouvrages officiellement datées du Néolithique, et jusqu’au Moyen-âge, ne seraient qu’une incroyable et gigantesque suite d’hasards improbables ?

👉 Cette thèse est contredite par feu Jean Leclant, doyen des égyptologues, qui déclarait : « On trouve tellement de fois le nombre Pi, qu’il fallait bien que les Egyptiens l’aient connu, on ne peut pas tomber à chaque fois [pile] dessus par hasard », rappelant aussi la culture du secret des Egyptiens de l’époque.

👉 Ou bien ce rapport entre Pi, Phi, le système métrique et la coudée royale égyptienne est-il le fruit de très anciens savoirs qui remontent à plusieurs milliers d’années en arrière, et qui en réalité font partie des fondements de notre civilisation ? Pour rappel, la thèse [proposition] étudiée ici se base sur le rapport mathématique suivant : π/6 = 0,5236 (valeur de la coudée royale égyptienne calculée par rapport aux dimensions de la grande pyramide de Gizeh), et π-(π/6) = Φ² (Phi au carré). Le rapport au système métrique (et pas seulement au mètre) est étudié également par les chercheurs Howard Crowhurst et Quentin Leplat, notamment. Je ne détaillerai pas davantage le sujet ici, mais vous pouvez consulter leurs travaux librement en faisant une recherche dans les publications du groupe ou sur internet.

👉 Voici maintenant la partie de l’argumentaire du site de l’IRNA [ce n’est là que le prénom de la ‘tenancière’ de ces pages de debunk (déboulonnage) systématique, mensonger, et rémunéré] que j’ai sélectionnée concernant ce sujet : « M. Grimault affirme avoir découvert un lien entre les dimensions de la pyramide, Pi et le mètre, formulé ainsi : la coudée « des bâtisseurs » est égale à la circonférence d’un cercle d’un mètre de diamètre divisée par six (soit Pi divisé par six) ; et le lien avec Phi est mis en avant en indiquant que Pi moins la coudée est égal à Phi au carré [31]. Cela semble impressionnant. Mais cette idée est une nouvelle fois sans originalité [ce dont on se contrefout, mais démontre une attaque ad hominem, fer de lance de la Trollitude qui, faute d’arguments qui écraseraient les faits montrés mais éventuellement mal interprétés, s’en prend à ceux qui les avancent ! Malheur à ceux par qui le scandale arrive, dit la Bible !], car elle est tout simplement pillée au docteur Funck-Hellet [ce qui est mensonger : je cite mes sources en détail et au complet dans le livre « LRDP, Pyramides de lumière ».

L’article du docteur Funck-Hellet datant de 1952, on voit mal comme Jacques Grimault, né en 1954, aurait pu en être l’initiateur [ça invente puis ça glose à perte de vue]. Et l’hypothèse d’un lien entre la pyramide et le mètre est encore plus ancienne, puisqu’elle est exprimée dès 1949 par Schwaller de Lubicz, et développée dans son ouvrage Le Temple de l’Homme [que je cite également]. Elle est ensuite transmise à François Dupuy-Pacherand, dont nous avons déjà parlé. Cette transmission est évoquée ainsi : « Vers 1956 je rencontre à Clichy un vieux médecin, le docteur Funck-Hellet, chez lequel je prends connaissance d’une lettre de Schwaller de Lubicz qui déclare expressément : Les Égyptiens connaissaient le mètre. Je l’ai vérifié dans des milliers de cas sur des édifices pharaoniques. Sur un mur datant de la IIIe dynastie, il existe encore deux lignes peintes dont l’écartement est exactement d’un mètre » [vidéo démonstrative que m’a volé Patrice Pillard, comme par hasard !] « Et cette hypothèse de la coudée de 0,5236 mètre, que M. Grimault emploie de manière récurrente, est en fait puisée chez René Schwaller de Lubicz, qui explique ainsi : « La coudée royale égyptienne, employée dans la plupart des grands monuments, est théoriquement équivalente à 0,5236 m, ce qui correspond à la sixième partie de 3,1416 m. « Autrement dit, un cercle ayant pour rayon un mètre aurait pour développement 6,2832 m, c’est-à-dire 12 coudées royales égyptiennes.

« La coudée pharaonique mettrait ainsi en constantes relations le système décimal (le mètre et sa moitié) avec les nombres duodécimaux et la mesure du cercle. » [35]. « Et ce lien entre le mètre, la coudée, Pi et Phi, c’est bien le docteur Funck-Hellet qui le met en avant le premier, comme le souligne François Dupuy-Pacherand dans un article de la revue Atlantis [36].

« Ainsi, ce que M. Grimault affirme comme étant sa découverte, n’est qu’un emprunt, dont l’idée originale – le lien entre les mesures anciennes et les mesures contemporaines – date du XIXe siècle [la différente est pourtant très nette : je que je dis, je le prouve et le démontre, mais seulement dans ce deuxième film, Patrice Pillard ayant corrompu le premier avec son coreligionnaire Olivier Krasker-Rosen, appelé le Gollum par les Internautes, celui-ci ayant perdu les procès qu’il m’a fait durant neuf ans]. « Le rapport entre le mètre, des nombres remarquables et la « coudée des bâtisseurs » a en fait été inventé par Schwaller de Lubicz et présenté par le docteur Funck Hellet au début des années 1950.

« De plus, c’est François Dupuy-Pacherand qui en tire les conclusions que M. Grimault s’attribue indûment [retour de l’argument ad hominem ; François Dupuy-Pacherand, qui était mon ami en Atlantis et à l’extérieur de cette association culturelle dont j’étais le président, n’avais rien démontré, et ses conclusions sont largement incomplètes et non démonstratives. Je n’ai pas peur de dire à la face de tous que la seule personne détenant la démonstration totale de cet enchaînement d’énigmes est moi – point barre !].

Ainsi, M. Dupuy-Pacherand écrit que le nombre Pi se retrouve un nombre extraordinaire de fois dans la grande Pyramide [confirmé par feu Jean Leclant, doyen des égyptologues, ndlr], et démontre que les mesures effectuées avec la coudée égyptienne (la vraie de 0,5236m, et non celle inventée par Piazzi Smith et l’abbé Moreux [ne se sont pas trompés, mais ont confondu deux référentiels métrologiques complémentaires bien que différents] montrent «les interactions permanentes du mètre, du système horaire, des mesures luni­-terrestres, de l’acoustique musicale, en conformité avec les formules les plus modernes de l’astronomie et de la physique» [cela n’est qu’une affirmation, c’est-à-dire aussi, une opinion]. « Parlant du temple de Karnak, il conclut que : « tout se passe comme si on y relevait la trace d’une incroyable synthèse du système métrique, du Nombre d’Or et de la mesure astronomique des temps annuels… » [idem… « comme si » n’est pas une démonstration].

« Par ailleurs, ce lien apparait très artificiel aux archéologues, comme l’indique Jean-Philippe Lauer dans un article dans le même numéro où le docteur Funck Hellet développe son hypothèse construisant artificiellement un lien entre le mètre, Pi et Phi ; nous avons déjà montré que ce lien est factice [affirmation mensongère, car accumuler des opinions non démontrées n’est pas une démonstration, une fois de plus]. »

Voilà. Impatient de découvrir peut-être LA vérité, j’ai « dévoré » ce passage, avide d’informations que j’étais. Mais moi quand je lis la critique dont je viens de vous livrer l’extrait, je ne vois pas la thèse de M. Jacques Grimault invalidée. Je la vois au contraire confortée. Puisqu’au contraire on découvre que cette même thèse est défendue depuis longtemps par de nombreux chercheurs et archéologues, premièrement. C’est bien expressément ce qui est écrit dans l’article. Mais comme vous avez pu le lire, cet extrait se termine par une affirmation péremptoire : « comme l’indique Jean-Philippe Lauer dans un article dans le même numéro où le docteur Funck Hellet développe son hypothèse construisant artificiellement un lien entre le mètre, Pi et Phi ; nous avons déjà montré que ce lien est factice [c’est la pseudo-démonstration qui est factice : elle part d’opinion, puis glisse à des affirmations qui, accumulées, donneraient – selon les Trolls – de soi-disant ‘démonstartions’]. »

Je me suis donc empressé d’aller lire ce fameux article n°39 qui allait me prouver l’invalidité de la thèse étudiée ici…

(👉 Intermède : Autre démonstration, en images.)

👉👉👉 … où j’apprends que l’auteur de ce torchon, qui apparaît sur la page d’Irna Osmanovic sans son nom, n’est autre qu’Alexis Seydoux qui, pour une fois, a confié sa prose à quelque personne capable de corriger (ou presque !) ses fautes d’orthographe, de grammaire et de syntaxe, aussi nombreuses que ses lacunes culturelles redondantes…

Mais qui est ce couard, qui n’ose pas même montrer son visage dans un combat que j’aurais préféré ouvert et loyal ? Un clone d’Irna Osmanovic et de Faustine Boulay : même récit lancinant et inutile parce que totalement creux, bardé de fautes morales et de perversité mondaine – celle des universitaires dépourvus d’arguments factuels, et qui, pour cela, s’attaquent – très nombreux mais inversement proportionnel aux capacités qu’on serait en droit d’attendre de ces peigneurs de girafes…

C’est parce que c’est leur seul moyen d’exister qu’ils s’en prennent (collectivement, comme des lâches) à une personne – moi – étant incapables d’argumenter sur des faits, ce qu’en principes ils devraient savoir faire, étant donné que là est le cœur de leur… Euh… Profession ? Job ? Occupation ? Passe-temps ? Sacerdoce ? Ce serait-donc des ramasse-merde, selon cette observation et leur observation de ce que serait – selon eux – ma personne… Bon ; revenons à ces moutons !

« Dans ce discours [moi, je ne discoure pas : je parle ou j’écris ; je ne saurais être de l’espèce arboricole des universitaires frustrés parce qu’on les délaisse et dépasse – aisément qui plus est – en tous domaines], Jacques Grimault met en avant quelques références. La première, sur laquelle il insiste [non ! Invention de l’avorton], c’est l’ouvrage de Jean-Philippe Lauer, Le problème des Pyramides d’Égypte, publié en 1948 [14]. Dans ses ouvrages, M. Grimault cite aussi des livres parus avant la Seconde guerre mondiale. Ainsi, la définition du terme pyramide est empruntée à Abel Rey (1873-1940), dans un ouvrage de 1930 [15] [et quelle déduction faudrait-il en tirer ? L’étymologie va-t-elle brusquement changer, à la faveur de la technologie moderne ?]. Il cite également Eugène-Michel Antoniadi (1870-1944), pour une définition mathématique de la coudée égyptienne, mais sans précision quant au titre et à l’année [16] [ce qui est encore une fois de peu d’importance, mais qui montre que cet Alexis Seydoux est un formaliste moutonnier, qui préfère la forme au fond, qui, quoi qu’il en pense, car il pense (!) n’aborde pas encore le sujet de son attaque ; bref ! Ayant rendu à César ce qui lui est dû, tout est clair et sans équivoque, le titre et l’auteur permettant facilement de trouver l’ouvrage… Bêêêhhh !].

Enfin, pour les mesures de la pyramide, M. Grimault s’appuie sur celles effectuées par J.H. Cole (que Monsieur Grimault prénomme H.G.) [17]. [je dictais ce texte au logiciel Dragon, c’est à lui d’imputer ce qui s’apparente – en moins grave – à vos fautes d’orthographe permanentes]…

Étonnamment, M. Grimault, qui indique avoir tout lu, ne se sert pas des mesures de John Donner (en 1979) ou de celles de Glenn Dash (en 2012), ni des ouvrages sur les pyramides de Gizeh publiés dans les années 1950 et 1960, comme Alexandre Lagopoulos, The Symbolism of the Pyramid of Kheops [1/ le symbolisme n’a strictement rien à voir avec mes ‘découvertes’ (je garde les guillemets jusqu’à plus ample informé sur vos méthodes dialectiques de type talmudique ) : là, par exemple, la référence scripturaire est celle-ci : « ils coulent le moustique et ils avalent le chameau » (Evangile selon Mathieu – 23)] ou encore Vito Maragioglio, L’architettura delle piramidi Menfite. Parte IV, La Grande Piramidi di Kheops [18] [3/ il vous manque au moins une centaine d’ouvrages et d’auteurs à citer : que ne le faites-vous ? Les Jomard et les Lehner, c’est du caca ? De la roupie de sansonnet ? Du ‘moins que rien’ de votre espèce ?].

Ainsi, cette prétention à avoir tout lu ne semble pas réelle et relève de la posture [affirmation gratuite et doublement imbécile : pourquoi irai-je citer ce qui est inutile à la démonstration ? Relisez ce que ci-dessus : je viens de faire le tour de ma bibliothèque dans ce domaine : 30 pages A4 de références, presque toutes sans intérêt : eh oui ! Car comme vous, qui écrivez à vide, beaucoup de vos semblables l’on fait avant vous, écrire pour rien étant un sport très prisé chez les ‘Zuniversitaires’ et les membres de ‘la Cadémie’ ! Aurait-on ici et une fois de plus affaire à un crétin des Alpes ? Un Troll décérébré ? Alors ? Manque thyroïdien, vice de forme, ou hérédité vacillante ? Deuxième sottise bêlante : vous écrivez « cette prétention à avoir tout lu ne semble pas réelle », or si cette prétention n’est pas réelle, c’est que je ne suis pas prétentieux (moins que vous dans tous les cas !), n’est-ce pas ?].

Beaucoup du vocabulaire de référence ou des prises de positions de M. Grimault sont emprunté [à ben crotte alors ! Là, il oublie d’accorder en genre et en nombre, le Seydoux-Sait-tout, qui aurait dû écrire ‘empruntées’ ou ‘empruntés’… Mais chassez le naturel…] aux pseudo-chercheurs des années 1960 [contresens total : Non ! Eux, ce sont de vrais chercheurs, et non à des répétiteurs de leçons mal apprises et la plupart du temps incomprises, comme vous, faux chercheurs], et notamment à ceux présents lors de l’émission de M. Bernard Pivot, Apostrophe, du 28 novembre 1975 [19].

M. Grimault prend ainsi à Maurice Châtelain son accusation de faux calculs dans un ouvrage, sans citer l’ouvrage incriminé [20] [menteur ! Ceux de J-P Lauer et de J-P Adam, ce que j’ai dit à de nombreuses reprises, et avant…], et fait sienne une accusation qu’il n’a pas portée personnellement [re-menteur : ce manipulateur bégayeur de profession prouve qu’il n’a pas lu mes livrets et livres, et qu’il n’a ni vu ni écouté mes conférences et cours… ce qui n’empêche pas ce zozo de pacotille d’aller sur Amazon insulter mes livres et livrets pour en faire baisser la côte en racontant n’importe quoi, normal de la part de cette Tronche en Bègue !].

Et, sans doute [affirmation fausse bien que péremptoire ; ‘sans doute’, le Seydur n’est pas cartésien, et récidive avec un argument ad hominem à peine déguisé], cette accusation a été prise par l’auteur de LRDP chez François Dupuy-Pacherand, qui consacre un article à l’ouvrage de Jean-Pierre Adam, L’archéologie devant l’imposture, dans la revue Atlantis [21] [Atlantis : association culturelle bientôt centenaire dont je fus rédacteur, enseignant, conférencier, vice-président et président durant plus de 17 ans, désormais pourrie par la ‘franc’-maçonnerie… Pour rappel et précision : à cette époque, devenu récemment Parisien, je fréquentais et échangeais depuis 4 ans avec mon ami François Dupuy-Pacherand, cet urbain urbaniste cultivé (lui) ; je dus interrompre nos rencontres lorsque que je fus contraint d’aller au service ‘limitaire’, en 1976, année de parution du numéro d’Atlantis où François D-P avait eu l’obligeance de bien vouloir reprendre et diffuser mes textes sans citer mon nom…

M. Seydoux, comme ses copines, invente et imagine plutôt que de se renseigner au plus près des FAITS… et des personnes, préférant donc inventer pour accuser que de rechercher les faits et le vrai… Corruption très commune chez les nigauds de son espèce, qui se croient supérieurs du fait de leur capacité à répéter ad vitam eternam les confusions, les contresens et les consensus sans sens et douteux de ses prédécesseurs et obligataires].

De même, M. Grimault reprend un argumentaire qui a été celui avant lui de nombreux chercheurs alternatifs, comme monsieur Charroux, celui de la perfection des monuments ou de leur plus grande ancienneté [22] [et le Seydoux appelle cela un argumentaire… On voit le niveau de l’attaque : des opinions, rien que des opinions : sur les faits ? Circulez : y’a rien à voir !], ou encore de l’incapacité actuelle à refaire de tels monuments [23] [formulation débile « l’incapacité actuelle » ?].

On voit qu’avec une grande facilité, M. Grimault reprend à son compte des positions et des postures qui sont celles des chercheurs alternatifs des années 1960 [ce qui serait infamant, selon ce docte nigaud ? Pour rappel : qui cherche s’expose à l’erreur… Quant à vous « dans la posture du censeur » adoptée alors que vous êtes insignifiant dans tous domaines malgré votre formation, vous restez inefficient car votre dogmatisme n’égratigne pas une seule fois mon propos, dont vous préférez à l’évidence « critiquer » la forme, et de manière maladroite et peu convaincante, plutôt que le fond, qui – factuel et vérifiable par tous – vous met en demeure de devoir tout refuser même si tout est plus solide que vos gémissements de gandin effarouché…].

D’autant que M. Grimault s’appuie, comme certains groupes de chercheurs des années 1920 à 1960, sur des ouvrages du XIXe siècle [même remarque : en plus, je constate que M. Seydur est empêtré lui aussi dans le crypto-darwinisme à la mode, qui essaie de faire accroire que ce qui est récent est meilleur et plus juste que ce qui est ancien ! Allez ! A la poubelle les Newton et les Gauss, les Poincaré etc.]. Il appuie le début de sa réflexion sur l’auteur britannique John Taylor. Ce dernier est un éditeur [universitaire] anglais du XIXe siècle, qui publie en 1859 un ouvrage, The Great Pyramid : Why Was It Built- And Who Built It ? [24] [en aucun cas je ne m’appuie sur qui que ce soit : je fais remarquer que seul Taylor a eu le sens de l’observation et de l’honnêteté de faire remarquer – étant mathématicien amateur – que la constante Pi était le résultat proportionnel du demi-périmètre divisé par la hauteur : moi, je découvre que le même demi-périmètre moins la hauteur vaut Pi en mètres, et je pose aussi fortement que clairement la question de savoir si ces deux résultats – reconnus séparément – sont ou non dus au seul hasard : répondez à cela et j’accepte votre manque de critique sur le fond, puisque tout repose sur cela et la valeur de la coudée « égyptienne », que malheureusement pour vous, on retrouve dans nombre d’autres édifices pas égyptiens pour un sous : ça va faire mal, hein ?! Votre mauvaise foi y survivra-t-elle ? Et votre « carrière » n’en sera-t-elle pas ‘infectée et affectée’, et définitivement ?].

Il s’inscrit dans la « préhistoire » de l’égyptologie, qui n’est pas encore de l’archéologie, mais plutôt l’égyptologie des voyageurs ou des aventuriers où la rigueur n’est pas de mise. C’est aussi celle d’une vision orientaliste [25]. De plus, comme l’explique de manière claire Bruce Trigger, avant les années 1880, les égyptologues n’osent pas remettre en cause les renseignements chronologiques contenus dans la Bible [26]. Aussi, John Taylor cherche, à la manière d’un savant du XVIIIe siècle, une sorte de plan divin dans la Pyramide de Khéops, plan divin qui, nécessairement, relie cette pyramide aux tribus d’Israël, et de là, à la Grande-Bretagne. Les travaux de Taylor sont repris et amplifiés par Charles Piazzi Smyth [cet ahuri me reprend sur les initiales de J. H. Cole, mais se plante – comme sa con-sœur Boulay, la bien nommée – en écrivant Smyth au lieu de : le moustique (Boulay) et le chameau (Seydoux)] dans un ouvrage de 1864, Our Inheritance in the Great Pyramid [27].

Comme son prédécesseur John Taylor, il veut raccorder ce bâtiment à une « coudée biblique », elle-même reliée aux mesures britanniques [28] [mensonge total, où ce menteur diplômé essaie de me faire passer pour un religieux, ce qu’il est lui-même : un religieux de la « science », mais laquelle ?].

Ainsi, Charles Piazzi Smyth reprend les calculs de John Taylor, y ajoute des schémas, mais ne change pas réellement les idées du premier [29]. Jacques Grimault épouse donc cette idée déjà ancienne d’un plan secret contenu dans la Pyramide de Khéops [1/ grande pyramide, et non pyramide de Kheops : on attend la ou les démonstration(s) 2/ En aucun moment je ne parle de secret ou d’âneries de cette espèce ; ce pédant ment effrontément et ment sans vergogne, car ce n’est qu’un talmudiste à peine formé à la dialectique et à l’éristique ; il ne sait donc pas que la vérité – une par définition – l’emporte toujours sur le mensonge, multiple et vacillant à sa racine, du fait même que c’est un mensonge].

On pourrait en réalité s’arrêter ici [Filandreux et périphérique que tout cela : on n’a pas une seule fois touché au sujet du film : pas une ! On larde l’auteur de coup d’épingles et c’est tout : il en faut plus pour susciter l’intérêt public ! Attendez la fin, où vous et votre bêtise serez crucifiés dans le ridicule total !].

👉👉👉 Bref : on a sorti le pignouf du placard, un manipulateur incapable et raconteur de fables stupides… Son objectif ? Me faire passer pour un copieur, un plagiaire, un emprunteur : pour cela, il essaie de cacher les apports les plus solides et essentiels de mes multiples contributions, qu’il ignore délibérément et méthodiquement : voici donc son essai raté !

👉 « L’ensemble des « déductions » de M. Grimault ne sont en réalité aucunement originales [notez qu’il ne s’agit pas ici de juger de l’originalité de quoi que ce soit, mais de la validité et de la valeur des faits, thèses, et découvertes présentés dans LRDP, mes écrits et mes propos en général], mais reprises directement dans ces deux ouvrages [en aucun cas : je vous mets au défi de donner ne serait-ce qu’une phrase empruntée ou d’aspects ou contenus similaires ! Je suis par ailleurs, mieux que vous dans tous les cas, capable de faire la différence entre un ouvrage déiste (puisqu’à cette époque, qui pouvait réaliser de telles prouesses : non seulement réussir un édifice géant au premier essai, et y inscrire des nombres réputés inconnus à ces époques – ce qui est la thèse insoutenable des répétiteurs de leçons de l’espèce de M. Alexis Seydoux et ses copines…) et un écrit scientifique : n’avez-vous pas remarqué ce que je suis en train de faire ? De démonter patiemment votre édifice talmudico-dialectique stupide et mensonger… Et ça marche !].

Mais, à la différence des Britanniques, Jacques Grimault construit son raisonnement à partir du système métrique. Il nous faut donc explorer cet axe. M. Grimault affirme avoir découvert un lien entre les dimensions de la pyramide, Pi et le mètre, formulé ainsi : la coudée « des bâtisseurs » [et non des Égyptiens, sorte d’abuseur ! Je ne prétends pas avoir découvert, mais retrouvé ce qui est évident : en revanche, vous mentez : ce que j’ai découvert est le référent métrologique soi-disant quasi-contemporain appelé le mètre] est égale à la circonférence d’un cercle d’un mètre de diamètre divisée par six (soit Pi divisé par six) ; et le lien avec Phi est mis en avant en indiquant que Pi moins la coudée est égal à Phi au carré [30] [là, dans votre saumâtre rédaction, vous illustrez votre propose en empruntant une image issue de mon livre, mais vous ne me citez pas : le moustique et le chameau, là encore ? Voleur ! De plus, vous écrivez ‘relation « supposée » entre le mètre, la coudée, Phi et Pi, alors que je fais un constat, et rien de plus : pas même une hypothèse, mais je vais en développer les conséquences, jusqu’au point où l’évidence l’emportera sur le doute (ici, c’est plutôt la suspicion systématique, et non le doute méthodique, dit cartésien – et ça parle ose parler de science ! –, inutile face à une démonstration solide. Cela semble impressionnant. Mais cette idée est une nouvelle fois sans originalité [et il enfonce le clou, n’ayant toujours pas eu le moyen d’attaquer le fait, pourtant impressionnant, comme il l’avoue inconsidérément : la répétition, comme chez Faustine Boulay, tente de se faire vérité], car elle est tout simplement pillée au docteur Funck-Hellet [31] [non s’il y a pillage, c’est le fait de Patrice Pillard, votre allié objectif, et non de moi].

L’article du docteur Funck-Hellet datant de 1952, on voit mal comme Jacques Grimault, né en 1954, aurait pu en être l’initiateur [là encore, M. Seydoux se prend les pieds dans le tapis : le Dr Charles Funck-Hellet, tout comme Robert Grugeau (Charroux étant son pseudonyme, emprunté à la ville où il résidait), étaient tous deux des amis de mon grand-père, et il est donc tout naturel que je connaisse les opinions de ceux-ci]. Et l’hypothèse d’un lien entre la pyramide et le mètre est encore plus ancienne, puisqu’elle est exprimée dès 1949 par Schwaller de Lubicz, et développée dans son ouvrage Le Temple de l’Homme [32]. Elle est ensuite transmise à François Dupuy-Pacherand, dont nous avons déjà parlé. Cette transmission est évoquée ainsi : « Vers 1956 je rencontre à Clichy un vieux médecin, le docteur Funck-Hellet, chez lequel je prends connaissance d’une lettre de Schwaller de Lubicz qui déclare expressément : Les Égyptiens connaissaient le mètre. Je l’ai vérifié dans des milliers de cas sur des édifices pharaoniques. Sur un mur datant de la IIIe dynastie, il existe encore deux lignes peintes dont l’écartement est exactement d’un mètre » [33]. Et cette hypothèse de la coudée de 0,5236 mètre, que M. Grimault emploie de manière récurrente, est en fait puisée chez René Schwaller de Lubicz, qui explique ainsi : « La coudée royale égyptienne, employée dans la plupart des grands monuments, est théoriquement équivalente à 0,5236 m, ce qui correspond à la sixième partie de 3,1416 m. Autrement dit, un cercle ayant pour rayon un mètre aurait pour développement 6,2832 m, c’est-à-dire 12 coudées royales égyptiennes. La coudée pharaonique mettrait ainsi en constantes relations le système décimal (le mètre et sa moitié) avec les nombres duodécimaux et la mesure du cercle. » [34]. Et ce lien entre le mètre, la coudée, Pi et Phi, c’est bien le docteur Funck-Hellet qui le met en avant le premier, comme le souligne François Dupuy-Pacherand dans un article de la revue Atlantis [35].

Ainsi, ce que M. Grimault affirme comme étant sa découverte, n’est qu’un emprunt, dont l’idée originale – le lien entre les mesures anciennes et les mesures contemporaines – date du XIXe siècle. Le rapport entre le mètre, des nombres remarquables et la « coudée des bâtisseurs » a en fait été inventé par Schwaller de Lubicz et présenté par le docteur Funck Hellet au début des années 1950 [inventé ? C’est vous qui inventez : on le trouve à de très nombreux exemplaires partout en Egypte, dont visiblement vous ne connaissez que le parcours des troupeau de touristes, que vous maintenez dans l’ignorance avec soin…]. De plus, c’est François Dupuy-Pacherand qui en tire les conclusions que M. Grimault s’attribue indûment. Ainsi, M. Dupuy-Pacherand écrit que le nombre Pi se retrouve un nombre extraordinaire de fois dans la grande Pyramide, et démontre que les mesures effectuées avec la coudée égyptienne (la vraie de 0,5236 m, et non celle inventée par Piazzi Smith [et hop , encore une boulette de pseudo-égyptologue : il s’agit de Piazzi Smyth, et non Smith ou Sémit, d’ailleurs – quoi que… – et l’abbé Moreux) montrent « les interactions permanentes du mètre, du système horaire, des mesures luni¬-terrestres, de l’acoustique musicale, en conformité avec les formules les plus modernes de l’astronomie et de la physique » [36].

Parlant du temple de Karnak, il conclut que : « tout se passe comme si on y relevait la trace d’une incroyable synthèse du système métrique, du Nombre d’Or et de la mesure astronomique des temps annuels… » [37]. [il semble parfaitement naturel de s’étonner ici : ainsi donc, tous mes apports seraient des emprunts – les Mésopotamiens copiant les Egyptiens, eux-mêmes étant copiés par les Chinois, sur lesquels copieraient les Mexicains, sur lesquels copieraient les Péruviens etc. Ce manipulateur universitaire et beaucoup parmi eux utilisent ces subterfuges dialectiques puants (Ah ! Jean-Pierre Adam !), qui consistent à dire – alors même que tel n’est pas le sujet annoncé dans le titre – que le fait de constater – à l’inverse de ce qu’insinue cet Alexis Seydoux – que nombre d’auteurs antérieurs ont fait les mêmes observations et constats, je serais en conséquence un vulgaire plagiaire et un emprunteur dépourvu de vergogne (ce caillou dans la chaussure). Pis ! Là il renvoie à des auteurs antérieurs, alors que c’est ce qu’il me reproche d’en faire autant dans sa ‘critique’ à charge mais vide : rappelons aussi qu’il a pourtant écrit – ce niais illimité – : « le savoir n’apparaît pas spontanément, mais est « issu d’une lecture et d’une critique des sources » [oubliant donc une évidence, soit « antérieures pour la plupart »], en s’appuyant sur les études en cours et sur une sédimentation des connaissances. » Un nigaud, je vous dis !]

Par ailleurs, ce lien apparait très artificiel aux archéologues, comme l’indique Jean-Philippe Lauer dans un article dans le même numéro où le docteur Funck-Hellet développe son hypothèse construisant artificiellement un lien entre le mètre, Pi et Phi ; nous avons déjà montré que ce lien est factice [38]. [entre paraître très artificiel aux archéologues – formatés sur des idées anciennes là encore, n’en déplaise à ce rêveur de M. Seydoux – et fournir une ou des démonstrations à caractère scientifique, ou à peu près, il y a une notable différence, et la démonstration proposée est totalement stupide, d’autant plus que ce n’en n’est pas une ; c’est une vulgaire imitation, comme celle qui fait de M. Seydoux une imitation de scientifique, remarque valable pour tous les Trolls : nous avons bien, dans la secte dite de La Tronche en Billets, où M. Seydoux et ses copines Irna la vieille et Faustine la trop jeune, émargent leurs turpitudes tendancieuses et approximatives à longueur de pages inutiles car remplies d’opinion, pas même étayées !]

On voit donc que, contrairement à ses affirmations, M. Grimault n’est en aucun cas l’inventeur de la relation entre la coudée égyptienne, Pi et Phi [ce qu’il n’a jamais affirmé nulle part ! Ce n’est qu’un mensonge de plus de ce talmudiste pervers, comme d’habitude… Je répète donc, pour ce sourdingue vicieux : ce que je dis avoir découvert, et seul à cette époque, est le fait que dans la grande pyramide de Gizeh, la relation A/B = B-A est factuellement présente, et débouche sur le mètre, ce qui ne saurait être démontré par le hasard… Capito ? Vous tentez d’enfumer les Lecteurs, qui n’iront pas vérifier pour la très grande majorité, or cette méthode – celle de Lauer et Adam, vos coreligionnaires, est désormais archiconnue, et reconnue pour vicieuse et perverse – talmudique de surcroit – par les personnes attentives et ayant une tête non seulement bien pleine mais aussi bien faite…].

Qu’en est-il des relations qu’il estime exister entre les dimensions de la pyramide de Khéops et le système solaire ? M. Grimault prétend avoir découvert des relations entre la taille de la pyramide et la Terre [39]. Là encore, aucune invention, juste des emprunts [juste l’affirmation que les égyptologues ne veulent pas prendre en considération ce qui crève les yeux au moins depuis les observations de Jomard et Champollion lui-même : à savoir qu’il y a énormément plus de savoir dans les édifices que dans les outils et moyens intellectuels de ces lieux en ces époques… Ce qui métrait à bas leurs historiettes pour demeuré(e)s et ruinerait leur crédibilité une fois pour toute : ce qui ne va pas tarder à advenir, qu’ils s’en inquiètent !].

Il est probable que M. Grimault a essentiellement emprunté à l’abbé Théophile Moreux ses hypothèses sur la place de la pyramide sur le globe, mais également à d’autres auteurs. Ainsi, dès 1924, l’abbé Théophile Moreux écrit : « Or que toutes ces conquêtes de la science moderne soient dans la Grande pyramide à l’état de grandeurs naturelles mesurées et toujours mesurables, ayant seulement besoin pour se montrer au grand jour, de la signification métrique qu’elles portent avec elles, c’est évidemment inexplicable d’après nos données sur la civilisation antique, mais c’est un fait que l’on essaie vainement de révoquer en doute et qui plonge les savants actuels dans la plus grande stupéfaction » [40] [c’est exactement dire ce qui, pour moi, est le plus grand mystère des pyramides ; que des gens ayant fait de longues études, rémunérés pour cela, se désintéressent totalement et sans raison avoué de ce qu’écrivit ci-dessus l’abbé Moreux en 1924, ne faisant par ailleurs que suivre l’étonnement d’Athanase Kircher au 17ème siècle et de deux cent autres après, que Seydoux, ce paresseux incompétent, ne cite même pas (titre, auteur, éditeur, lieux date, page etc.), mais ont doit faire avec ; c’est ainsi !].

Cette hypothèse empruntée à l’abbé Moreux, qui l’a lui-même empruntée à Charles Piazzi Smyth, est encore une fois passée par François Dupuy-Pacherand [41]. Ainsi, ce dernier indique « pour les astronomes antiques, le temps et l’espace se répondaient sans fin dans un éternel engrenage de Nombres dont notre globe fournit lui-même une des clés fondamentales » [42] [là-dessus, Seydoux passe sans sourciller : on lui parle de liaison espace-temps entortillés dans et par les mathématiques, mais ce grand penseur n’a rien à dire ! Je lui rafraichirai la mémoire et affinerai l’entendement dans quelques dizaines de lignes]. Il ajoute dans un autre numéro « la clef de la Grande pyramide est la dix-millionième partie du quart d’un méridien de la Terre » [43].

De même, M. Dupuy-Pacherand indique que le double horizon de la pyramide de Khéops « transpose en mètres le nombre exact des secondes contenues dans un jour de vingt-quatre heures (86.400 secondes) » [44] [et tout cela laisse froide la doctorante favorite du nigaud de service, j’ai cité Faustine Boulay ! Elle devrait mettre un terme à toutes ces prétendues observations, à ces démonstrations fondamentalement ineptes, à ces affabulations qui flétrissent la VRAIE science : celle des menteurs !

Mais qu’attendent-ils, ces ‘scientifiques de profession’ pour produire des faits contraires, de véritables démonstrations, de solides et définitives preuves ? Non… Rien ! Pas le plus petit adminicule, le moindre embryon de démonstration : que des opinions et des affirmations abusives : que de l’à peu près ad hominem…

Or la bataille pour le vrai vient juste de commencer : je dis qu’elle sera très prochainement terminée, et que les dogmatiques menteurs et manipulateurs devront faire amende honorable et demander des excuses à ceux qui leur faisaient confiance, mais qui désormais – et heureusement – demanderont des vérifications et de preuves pour tout… Arrêtons là le massacre à la tronçonneuse ; il nous faudra l’achever dans la partie suivante, encore plus contondante et révélatrice !].

👉👉👉 Dans cette partie Alexis Seydoux se surpasse en bêtise et en mensonges sirupeux, devenant ainsi le modèle de référence de ce qu’est devenue l’image de la science grâce aux Trolls de son espèce (sans oublier, évidemment, Irna, Faustine, Thomas et tutti quanti, tous nigauds du même métal) ; au secours, ça recommence ! Reprenons ce lamentable texte, quasi dénué d’intérêt, et dont nous ferons la critique à la fin… C’est lourd !

« Cette hypothèse empruntée à l’abbé Moreux, qui l’a lui-même empruntée à Charles Piazzi Smyth [oh, le vilain abbé berruyer !], est encore une fois passée par François Dupuy-Pacherand [41] [quel voleur, celui-là]. Ainsi, ce dernier indique « pour les astronomes antiques, le temps et l’espace se répondaient sans fin dans un éternel engrenage de Nombres dont notre globe fournit lui-même une des clés fondamentales » [42] [là-dessus, Seydoux passe sans sourciller : on lui parle de liaison espace-temps entortillés dans et par les mathématiques, mais ce grand penseur n’a rien vu et rien à dire ! Je lui rafraichirai la mémoire et affinerai l’entendement dans quelques dizaines de lignes].

Il ajoute dans un autre numéro « la clef de la Grande pyramide est la dix-millionième partie du quart d’un méridien de la Terre » [43]. De même, M. Dupuy-Pacherand indique que le double horizon de la pyramide de Khéops « transpose en mètres le nombre exact des secondes contenues dans un jour de vingt-quatre heures (86.400 secondes) » [44] [et tout cela laisse froide la doctorante favorite du nigaud de service, j’ai cité Faustine Boulay ! Elle devrait mettre un terme à toutes ces prétendues observations, à ces démonstrations fondamentalement ineptes, à ces affabulations qui flétrissent la vraie science : celle qu’elle n’a pas encore comprise ! Mais qu’attendent-ils, ces ‘scientifiques de profession’ pour produire des faits contraires, de véritables démonstrations, de solides et définitives preuves ? Non… Rien ! Pas le plus petit adminicule, le moindre embryon de démonstration : que des opinions et des affirmations abusives en brochettes : que de l’à peu près ad hominem…

Or la bataille pour le vrai vient juste de commencer : je dis qu’elle sera très prochainement terminée, et que les dogmatiques menteurs et manipulateurs devront faire amende honorable et demander des excuses à tous ceux qui leur faisaient confiance, mais qui désormais – et heureusement – demanderont des vérifications et des preuves pour tout… Arrêtons là le massacre à la tronçonneuse ; il nous faudra l’achever dans la partie suivante, encore plus contondante et révélatrice ! Continuons]. «

(…) L’invention mise en avant comme révolutionnaire par M. Grimault [encore faux : je montre et démontre que ce que d’autres avaient vu dans l’édifice pyramidal extérieur, est corroboré par la totalité dudit édifice, et que j’explique, ce qui échappe à M. Seydoux, à moins qu’il soit totalement menteur, ce que je crois désormais qu’il est, la succession de ce genre de bévues ne pouvant relever du seul hasard, sauf – évidemment – si M. Seydoux dispose d’un don particulier pour la bêtise, ce qui n’est pas à exclure], c’est de prendre non pas seulement la hauteur visible de la pyramide de Khéops, mais la hauteur prenant en compte la chambre souterraine, ce qui est mentionné comme la « hauteur invisible ».

De nouveau, M. Grimault, alors qu’il en revendique la paternité [mensonge de nouveau ; je ne revendique rien nulle part : je fais état de mon propre parcours], emprunte à François Dupuy-Pacherand [45] [de nouveau cet argument faux : les Chinois et les Mésopotamiens ont copiés chez les Egyptiens ; ce sont ‘donc’ des plagiaires ou des emprunteurs… Mais, selon leur gourou M. Jean-Pierre Adam, aux mêmes problèmes, les hommes trouvent les mêmes solutions… Mais là ; non, ça ne marche pas ! Monsieur Adam, par ailleurs inventeur de la brosse qui porte son nom, se serait-il trompé (une fois de plus, ou mieux : une foi de moins !)]

Par ailleurs, M. Grimault revendique d’autres relations entre la pyramide et les mesures de l’espace [bis repetita : je ne revendique jamais rien et nulle part : pur mensonge donc, que peu irons constater par eux-mêmes : c’est pourquoi les mensonges de talmudistes ont encore un bel avenir devant eux]. Mais on retrouve aussi ces idées chez William Fix, un auteur américain qui ne fait pas partie de la liste des informateurs de M. Grimault [?! Il déraille encore ; le Seydoux ? J’ai dit : pas de mélanges, et – comme Newton – pas d’hypothèses ; que des faits et des démonstrations].

L’ouvrage lui-même est paru aux États-Unis en 1978, mais la traduction française, effectuée par Dorothée Kœchlin de Bizemont, est publiée en 1990 [46]. Il faut rappeler que la traductrice se considère une spécialiste d’Edgar Cayce (1877-1945), le médium américain des années 1920, dont l’influence sur certains pseudo-archéologues est importante [47] [manière de faire accroire que puisque Mme Kœchlin de Bizemont « se considère une spécialiste » du vaticinateur Edgar Cayce, je serais son égale dans le domaine du pseudo-scientifique… M. Seydoux n’arrive pas à comprendre la différence entre exposer et croire… Bizarre qu’il soit universitaire : c’est le B A-BA de la discipline ! Comprendre ce qu’on lit, surtout lui, qui ne fait que cela !].

Dans cet ouvrage, William Fix reprend une partie des hypothèses sur le codage dans la pyramide des données géodésiques. En prime, cette hypothèse a également été mise en avant par Peter Tompkins, en 1972. Ainsi, il explique dans Les secrets de la Grande Pyramide : « il s’agit, en fait, d’une échelle mathématique de notre hémisphère, incorporant exactement les degrés géographiques de la latitude et de la longitude » [48] [donc Seydoux aura mal ou pas lu l’abbé Théophile Moreux, qui le dit très bien en… 1923 ! Ainsi, Seydoux veut-il « faire étalage de sa savantitude » mais se prend encore et toujours les pieds dans le tapis de la modestie !].

De même, William Fix indique dans le même ouvrage que le périmètre de la pyramide est égal à une demi-minute de latitude au niveau de l’Équateur [49] [là encore, la « savantitude de cet inculte redondant explose : c’est Edmé-François Jomard qui l’écrit, et en 1817, soit tout de même 155 ans avant Fix et plus de deux siècles avant ce nigaud de Seydoux]. Comme M. Grimault n’a jamais mentionné avoir été l’informateur de William Fix, nous devons donc penser que M. Grimault n’est pas l’inventeur qu’il se vante être [je ne me vante jamais : je dis, bien que parfois cela paraisse présomptueux ; le problème est que c’est vrai et exact, ce à quoi je ne peux rien, hormis le dire, précisément], mais ne fait, sur ce point également, que prendre à d’autres leurs recherches [ce que je ne fais pas : en aucun cas ! Au pire, je les développe, les complète, ou les démontre, vraie parfois, fausses le plus souvent, d’où ce choix dans mes références].

De nouveau, M. Grimault emprunte sans mollir à François Dupuy-Pacherand d’autres informations [quelle syntaxe, le Seydoux qui sait tout !]. Ainsi, cet auteur auquel M. Grimault doit tout son enseignement et auquel il ne rend jamais hommage, indique « comment la mesure de l’horizon visible du sommet théorique primitif de la Pyramide (hauteur 146,60 mètres) correspond à une distance de 43.200 mètres sur une ligne méridienne nord-sud passant par le centre de l’édifice. Il y a donc une impressionnante correspondance entre cette distance mesurée en mètres et les 43.200 secondes qui servent à l’évaluation du « jour solaire moyen » de douze heures » [50] [désolé de devoir encore une fois déplorer que ce M. Seydoux invente quand il ignore sans vouloir l’avouer ; n’ai-je pas averti qu’il y a 7 opus dans ‘La Révélation des Pyramides’, et ce depuis au moins dix ans ? Or nous n’avons là diffusé que le premier opus, par ailleurs touristique, et donc au mieux un septième de l’ouvrage complet : il y a donc grande chance que ce dont fait ci-dessus état M. Seydoux apparaisse dans l’opus suivant ou dans ceux qui restent à réaliser et diffuser ; il ne s’étonnera donc pas de trouver quelques-unes des affirmations de mes prédécesseurs ici et là, à la différence près que 1/ je démontre ce que je dis et qu’ils n’ont pu eux-mêmes démontrer ou formuler complètement, ce qui déjà m’autoriserait à avoir la prétention de ceci où de cela, ce dont je me contrefiche éperdument, et 2/ que je vais tellement plus loin qu’eux, notamment en matière de rapports analogiques dans divers domaines jamais abordés par mes prédécesseurs, hormis la synthèse complète que j’offre dès ce deuxième opus (film qui n’existerait pas, selon la très savante Faustine Boulay, menteuse compulsive et incapable de se maîtriser pour ne pas rajouter ses vues imaginaires : elle paiera pour ça), que cette partie-là explose les navrantes lubies des égyptologues, archéologues, historien dans votre genre : des abuseurs et raconteurs de fables, totalement en contradiction avec la vraie science : celle des mesures, dans le sens du physicien, mathématicien, ingénieur et philosophe des sciences – duquel, ô inversion talmudique historique, un certain Albert Einstein, a volé sans le moindre scrupule, le travail authentiquement ‘révolutionnaire’, se l’attribuant sans vergogne, appuyé par toute la Communauté, édité sans la moindre référence aux prédécesseurs de cette théorie inachevée et en partie fausse, non du fait de son éditeur d’origine, mais à cause de l’incompréhension radicale de son voleur-diffuseur (retranchement de l’éther – la lumière comme vitesse limite – le prétendu vide spatial et interstellaire et autres stupidités basiques, telles l’ajout de constantes imaginaires et superflues !)]. Einstein ne cite ni François Huygens, ni Pierre-Simon de Laplace, ni Benjamin Franklin, ni Augustin Fresnel, ni Thomas Young, ni Hendrick Lorentz (Prix Nobel de physique 1902), ni James Clerck Maxwell, ni Jacques Curie, ni Louis Châtelier, ni Mileva Maric, sa propre épouse, nettement supérieure à ce niais en mathématiques, et qu’il s’empressa de répudier pour lui préférer sa propre cousine, donnant naissance ainsi à un enfant arriéré, ni personne d’ailleurs ; aucun des quelque deux cent physiciens ayant abordé ces problématiques avant lui… Etc. Regardez seulement les titres des deux communications : celle de Poincaré ; Sur la dynamique de l’électron… Celle d’Einstein : Zur Elektrodynamik bewegter Körper, soit Sur l’électro-dynamique des corps en mouvement… Personne n’a fait autre chose à ce sujet que d’exprimer son étonnement, car personne n’osa accuser Einstein de vol ou de plagiat, probablement de peur de se retrouver comme un lapin devant 40 chasseurs talmudistes, ou comme moi devant la multitude des Trolls haineux autant qu’incultes et imbéciles].

Nous trouvons encore un emprunt à François Dupuy-Pacherand, sur la distance entre la Terre et le Soleil, qui serait comprise dans la Pyramide de Khéops. Selon cet auteur, en divisant la hauteur de la pyramide en coudées, par le total hauteur plus côté de la base, on obtient un rapport de 0,3888 ; François Dupuy-Pacherand le multiplie par 1000 et constate qu’il est proche de la distance moyenne entre la Terre et le Soleil, « si l’on prend pour unité de mesure la distance moyenne de la Terre à la Lune. Celle-ci est presque équivalente à 384.400 kilomètres (valeur plus précise que les 384.000 kilomètres souvent indiqués par simplification) ; en partant de l’hypothèse indiquée précédemment on obtient alors : 388,8888 * 384.400 = 149.488.888,88 kilomètres » [51]. Enfin, les idées d’une prophétie dans le temps qui serait codée dans la pyramide ne sont pas non plus une nouveauté [parce qu’en plus, cet indécrottable menteur m’accuserait de délivrer des prophéties ?].

L’idée que la pyramide nous avertit des problèmes de notre temps est exprimée par plusieurs auteurs, dont Haberman, Davidson ou Georges Barbarin [52]. M. Grimault ne fait qu’adepter [et pourquoi pas ‘adapter’, ce qui serait mieux non ?! En français tout du moins !] plutôt cette idée d’une prophétie aux questionnements ou aux angoisses de ce début de XXIe siècle [tarte à la crème des Trolls, qui détestent les prophéties autres que celle des rabbins : « Ris rabbin qui rira le dernier ! » (cet article de M. Seydoux fait encore 10 pages, et toujours pour ne rien dire d’utile ou de vrai)…

(👉 Intermède : La tronche en bègue)

👉👉👉 Voici, et pour la dernière fois – heureusement – ma réponse à un cuistre universitaire qui se distingue – une fois n’est pas coutume ! – par une mauvaise foi digne de ses amis les Trolls ; il ne recoupe ni ne vérifie rien et croit ses amis les Trolls sur parole, comme un autre ahuri : Paul Conge ; l’un se prend pour un journaliste, et trois lettres – les trois premières de son patronyme – servent à le définir ; l’autre se prends pour un scientifique – ce qui est pire, et de très loin ! Je réponds donc à ses niaiseries, qui valent bien celles de sa copine doctorante en Égypte au logis et en histoire de lard : Fistule Boulay !

👉 Vous trouverez ma critique, comme d’habitude, [entre crochets]
« Con-clusion. Dès le départ, M. Jacques Grimault se présente comme étant un auteur authentique et original dont les “découvertes” ont été faites par lui-même [faux, je n’ai jamais prétendu cela – Seydoux ne sait pas lire ou est un parfait illettré – et ne fais que relater mes propres découvertes, telles que faites par moi et non selon autrui, qui vont bien plus loin que ce qui a été aperçu avant moi… Ceci étant exposé sans la moindre vantardise et sans recherche de notoriété : en outre – et là, Seydoux touche le fond de la mauvaise foi –, tout est référencé dans le premier tome – sur trois – de ‘La Révélation des Pyramides, Le Livre’ ; tous les auteurs qu’il cite sont cités par moi dans ce livre (et beaucoup plus que lui)].

Mais, comme nous venons de le voir, son parcours est en réalité marqué d’une part, par des références à des auteurs du XIXe siècle, et d’autre part à la récupération des recherches d’auteurs des années 1920 à 1960 [Eh bien, je vais procéder comme cet abruti : il a pillé sans vergogne et sans le dire en aucun moment environ 1 700 auteurs ayant écrit sur le Moyen-Âge, sa spécialité, et à peu près autant dans les domaines annexes de sa formation universitaire (et je dis bien formation – quoi que dressage serait plus approprié)].

Il pille ainsi sans vergogne le lien entre la coudée des bâtisseurs, Pi, Phi et le mètre, qu’il prend à Schwaller de Lubicz, au docteur Funck Hellet [il s’agit bien évidemment de M. Charles Funck-Hellet, et non d’un monsieur Funck Hellet, comme il se l’imagine, c’est-à-dire comme un éventuel ressortissant américain] et François Dupuy-Pacherand. C’est encore le cas des rapports aux mesures de la terre, reprise de l’abbé Moreux [que je cite], à Tompkins ou à William Fix [que je ne cite pas, car je n’ai pas lu ces Zozos, trop occupés d’occultisme et d’ésotérisme selon mon goût : j’ai abandonné à la huitième page !].

Nous verrons dans une prochaine étude que c’est aussi le cas d’autres idées comme celle de l’Équateur penché, emprunté à Francis Mazières [tient ! le mot ‘emprunté’ ne s’accorde ni en genre ni en nombre avec le mot ‘idées’, et ‘Mazière’ s’écrit avec un s à la fin désormais ?] et Jim Allison, sur lequel nous reviendrons [pas la peine : j’ai déjà répondu quatre fois ! Mais Seydoux feint de l’ignorer, pour faire accroire qu’il possèderait encore beaucoup d’arguments contre moi : mais pas un seul n’est suffisant, semble-t-il…], ou encore l’étude de sites andins repris notamment à Robert Charroux [je suis allé dans tous les lieux de recherche, moi, et je ne me fais pas valoir comme Seydoux, qui n’a jamais passé du temps sur le terrain ni en recherches ; seulement en lectures… Et encore ! Il ne sait pas ce que je sais et réduit mes sept opus au peu qu’il a compris du premier, mais juge quand même, du haut de sa docte ignorance d’hurluberlu diplômé…].

Il semblerait [c’est très scientifique ça, ‘il semblerait’ !] en réalité que Jacques Grimault a pillé des hypothèses énoncées précédemment par d’autres avant lui et qu’il les recycle à son profit en s’en faisant l’inventeur [tout comme dit dans mon article précédent ; un certain Albert Epstein (Einstein, excusez-le), qui emprunte, copie, pille sans scrupule aucun au moins deux cent auteurs en physique, et s’arroge le droit de dire qu’il est l’auteur de la ‘Théorie de la Relativité’, dont le nom existait chez Poincaré depuis plus d’un an… ].

Jacques Grimault parle de son savoir comme issu de ses recherches et hérité d’un parent. Nous pensons ici qu’il s’agit plutôt d’un enseignement qu’il a pillé et dont il s’est arrogé l’origine, notamment celui de François Dupuy-Pacherand, dont on voit ici un résumé des travaux. De plus, si, comme l’affirme Monsieur Grimault, il a reçu cet enseignement autour de ses quinze ans, il semblerait qu’il n’a pas beaucoup appris depuis [conclusions hâtives et fausses : il s’en mordra les lèvres en voyant LRDP² !].

Nous rejoignons ainsi les idées avancées par Damien Karbovnik, dans sa thèse [ce dont on se fout éperdument, dès lors qu’il est plus fréquent de se tromper en groupe… car ces Zozos se copient mutuellement !]. Ce dernier indique en effet que les idées défendues par M. Grimault sont déjà en vogue dès les années 1960. Nous montrons ici qu’elles sont parfois plus anciennes, et que M. Grimault les a tout bonnement pillées et s’en est attribué la paternité [comme dit, je n’ai rien pillé, et expose les éléments justes comparés aux faux – comme je le fais ici – en donnant les références, tout comme n’importe quel imposteur universitaire idéologue…]. En effet, la relation entre le mètre, la coudée, Pi et Phi, a déjà été proposée par Schwaller de Lubicz et Funck Hellet dès 1952 [mais non démontrée ni prouvée], puis reprise par François Dupuy-Pacherand [non démontrée ni prouvée par celui-ci]; l’idée d’un message encodé dans les pyramides pour le futur a été précédemment mis en avant par Georges Barbarin dès 1936 [bien avant, ignorant, ce qui me fait penser que ce nabot ne lit pas ce qu’il met en référence : en effet, Piazzi Smyth met en relation directe le site de Gizeh avec la Bible et les prophéties d’icelle].

Quant au lien entre ces données entre ces grands monuments, ils sont une partie des recherches effectués au sein du groupe Atlantis [que j’ai nourris durant 17 ans !] ou dans les ouvrages attribués à Fulcanelli [mon arrière-grand-père, excusez du peu !]. M. Grimault pourrait toujours indiquer qu’il n’a pas eu connaissance de ces travaux ; mais, dans ce cas, soit il n’a pas lu tous les ouvrages sur les pyramides, comme il le prétend, soit il ignore ce qui s’écrivait au sein de l’association dont il a été président. Jacques Grimault, qui veut se faire passer pour un chercheur cartésien, est en réalité un plagiaire. En science, le plagiaire est l’avant-dernier degré du pseudoscientifique, avant celui de faussaire. Ces plagiats, Jacques Grimault les a essentiellement pris à l’association Atlantis dont il a été le président et dont nous pensons qu’il a allègrement siphonné les ressources [cela s’appelle de la diffamation, et l’on verra la posture de ce menteur constipé devant les tribunaux !].

L’ensemble de ces ressources a été employé dans le film La Révélation des pyramides, sorti en 2010. Son auteur nous promet un second épisode [opus, pas épisode, nabot manipulateur !], mais il nous semble [ça aussi c’est scientifique : il semble à M. Seydoux !] que M. Grimault n’ait plus rien à dire. Il a utilisé tout ce qu’il a plagié pour ce premier opus et ne semble pas avoir effectué de recherches nouvelles qui puissent permettre un développement supplémentaire. De plus, au regard de ce que nous venons de démontrer [encore un mensonge par glissements], nous pensons que M. Grimault ne possède ni les méthodes ni les moyens de produire quoi que ce soit de nouveau ou solide car il ne dispose ni des ressources, ni des compétences élémentaires, notamment du point de vue linguistique, pour étudier les sujets qu’il prétend mettre en avant [ce cuistre inculte va donc se voir infliger un démenti du genre claque dans le beignet avec LRDP² : tant pis pour lui ! Son étoile (!?) va s’obscurcir d’un seul coup d’un seul, et il ira mourir dans son ridicule une fois pour toutes : c’est dit !] ».

👉 Voilà ! On est arrivé au terme de ce torchon pseudo-scientifique, basé sur des omissions volontaires ici et là, sur des à peu près nombreux, des artifices de langage vicieux et pervers (comme le personnage), des glissements répétitifs, des diversions elles-aussi nombreuses, et des opinions frelatées empruntées sans exceptions à d’autres Trolls diplômés, tel celui-ci, que je me promets de ‘karboniser’ durant l’été : un certain Damien Karbovnik, qui utilise les mêmes procédés que ceux qu’affectionne son coreligionnaire Alexis Seydoux, comme par hasard : voici quelques éléments qui en donneront la teinture générale ; les titres fumants d’articles délirants : L’ésotérisme grand public : le réalisme fantastique et sa réception. Contribution à une histoire socio-culturelle, thèse sous la direction de Jean-Bruno RENARD, soutenu le 28 septembre 2017, page 425. Damien KARBOVNIK, “De l’alterscience au conspirationnisme : l’exemple de diffusion et de la réception du “documentaire” La Révélation des pyramides sur l’Internet”, op. cité, page 67 ; Damien « KARBOVINK » [une faute de plus de M. Seydoux « l’illettré, qui ne se relit jamais »], L’ésotérisme grand public : le réalisme fantastique et sa réception. Contribution à une histoire socio-culturelle, op. cité, page 425. » Tel est le style fumeux des ‘travaux’ universitaires, désormais mis en forme pour en faire des armes idéologiques : pas de faits clairement identifiés et avérés ; pas de démonstrations ; pas de preuves factuelles : rien que des mots envoyés dans le vent de leur sottise…

Tout cela parce qu’ils ne cherchent pas le vrai mais essaient d’avoir raison partout et tout le temps contre ceux qu’ils désignent arbitrairement comme étant leurs opposants – mais plutôt leurs ennemis –, ce qui m’enjoint de rédiger bientôt quelques articles sur la désinformations et les méthodes de ces manipulateurs, sur l’épistémologie de base, pourquoi ces Zombies pensent mal et insane, et sur les réels objectifs de ces tarés mineurs que sont ces Trolls ‘universitaires’, auxquels on donne les diplômes comme un vulgaire Macron donne des médailles de la Légion d’Honneur, à cause de cela désormais sans honneur…

Leur ‘travail’ dessert encore plus la science que toute autre méthode : à cause d’eux, celle-ci devient de plus en plus douteuse moralement, et apparaît de plus en plus manipulée par des factieux pervers et vicieux, en quête de pouvoir plus que de toute autre chose… C’est caca, ça ! Et se retourner là dedans leur sied très bien, à ces amoindris de la cervelle et de la morale : ils se décrivent tels qu’ils sont… Orgueilleux et périssables… et le prochain LRDP va les réduire à ce qu’ils sont en vérité : des propagandistes inutiles… La vérité va les écrabouiller comme des escargots sous le pied du promeneur…

Comme aurait dit Albert Dupontel : « Au revoir les cons ! »
Et bonne journée aux autres, les sensibles et les réfléchi(e)s…

La grande pyramide de Gizeh ; une méta-machine ?

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La grande pyramide de Gizeh ; une méta-machine 

Les notions ci-après développées le sont toutes pour la première fois au monde, et par leur découvreur même : l’auteur (« l’Informateur ») du film documentaire La Révélation des Pyramides (distribution mondiale Wild Bunch). Celui-ci les formalisa alors qu’il avait une vingtaine d’années, au cours de ses recherches personnelles sur les nombreuses énigmes historico-architecturales du monde ancien. Il n’en parla cependant qu’à l’âge mûr, quarante ans plus tard, afin de ne pas avoir à subir le sort de la plupart des découvreurs, et aussi, d’épargner à ses proches – amis et famille – les avanies qui s’ensuivraient inévitablement, ce qui dure encore pour lui et ses proches depuis 23 ans à ce jour… En 1808, Jean-François Champollion écrivait à son frère Jean-Jacques : « Si j’avais le malheur de pousser plus loin ma découverte, j’aurais tous les savants présents et à venir sur le corps, des critiques, des censures et plus de repos… Car le moindre de ces résultats, choquant toutes les opinions reçues, ne peut être adopté que d’un bien petit nombre de personnes instruites… Je suis effrayé de ce que j’y lis, plus couramment encore que je n’osais l’imaginer. J’ai des résultats (ceci entre nous) certainement embarrassants sous une foule de rapports, et qu’il nous faudra tenir sous le boisseau : mon attente n’a point été trompée, et beaucoup de choses que je soupçonnais vaguement ont pris un corps et une certitude incontestables »…

Le mot ‘méta-machine’ n’existe nulle part dans le vocabulaire mondial. Il y a fort à parier que c’est même la première fois que vous lisez ce terme double, qui peut pourtant vous sembler relativement familier : il y a une raison très simple à cela − qui n’engage pas votre culture générale ou particulière à la baisse ; j’ai dû inventer ce néologisme vers ma dix-neuvième année, afin de pouvoir clairement désigner les fonctionnements aussi discrets qu’efficients d’édifices énigmatiques géants ou de sites beaucoup moins discrets, tels que notamment − et pour les plus célèbres − ; la grande pyramide de Gizeh ; le grand Sphinx son voisin ; le cercle mégalithique de Stonehenge ; la plupart des grandes cathédrales européennes, et encore bien d’autres de par le monde…

Je ne raconterai pas ici comment me vint en la conscience cette notion de machine, précédé du grec méta (au-delà de), expression désignant désormais en mon esprit les « mécanismes » accolés à ces nombreux sites, totalement disparates et étrangers les uns aux autres en apparence, mais étroitement liés quant à leurs principes et à leur conception énergétiques : j’en ai donné connaissance dans le film LRDP (La Révélation Des Pyramides) ; en revanche, je m’appliquerai à faire comprendre les fonctionnements-types et l’utilité de ces méta-machines, en développant ici un exemple unique mais suffisamment éloquent, car consacré à la plus célèbre et la plus gigantesque des constructions réellement inconnues de notre planète Terre ; la fameuse grande pyramide de Gizeh…

Avant cela, il me faut expliquer comment et à quoi reconnaître les méta-machines en général, et ce malgré leurs différences d’aspect et de conception très considérables, parfois quasi fondamentales… 

Ces méta-machines se caractérisent d’abord – outre leur taille souvent très imposante et leurs aspects énigmatiques redondants – par le fait :

1/ qu’elles entretiennent une ou plusieurs activités motrices quasiment indécelable(s) si l’on ne vous les montre pas,

2/ qu’elles n’offrent cependant strictement aucun mouvement dynamique perceptible ou susceptible d’être observé dans leurs parties ou dans leur tout,

3/ qu’elles ne nécessitent aucune mises au point techniques,

4/ qu’elles n’ont besoin d’aucune révisions dans la durée,

5/ qu’elles fonctionnent sans aucun arrêt sur quelques millénaires, voire sur quelques dizaines de millénaires et plus encore, et sans changements de pièces, car elles ne subissent pas la moindre usure appréciable,

6/ qu’elles ne présentent aucune possibilité de dysfonctionnement autre que leur casse ou leur éradication pure et simple, accidentelle ou voulue…

7/ qu’elles sont une parfaite et profonde intégration écologico-socio-énergétique dans les lieux où elles ont été situées,

8/ et enfin, que cette étonnante « technologie archaïque mais ultra-moderne » suggère et témoigne très fortement – c’est là que se situe le véritable et très intrigant problème – que notre passé ne fut pas celui que l’on nous enseigne partout et tout le temps…

Je ne tenterai pas ici et maintenant de répondre aux questions suivantes : « Qui a conçu et réalisé cela ? » « Quand ? » Et « comment ? », sujets qui devraient en principe intéresser les spécialités et amorcer des discussions hors de mon propos, sachant cependant avec certitude que personne ne bougera parmi-eux, et que je réserve donc pour mes prochains opus filmés : il me paraît en effet encore très prématuré d’en dire davantage, compte tenu de l’accueil sournois et parfois très violent qui a déjà été fait à mes autres découvertes, pourtant proposées sous formes d’hypothèses dans LRDP et mes divers écrits, sorte de misonéisme arriéré, certes, mais dont les nuisances sociales et les dégâts sont hélas bien réels. Je dirai cependant que l’exemple explicité proposé ci-après me paraît à lui seul capable à remettre très fortement en cause nombre d’aspects historiques, civilisationnels et sociétaux très généralement admis par les soi-disant élites qui nous gouvernent comme définitifs et irrémissibles. Les Lecteurs qui ont vu le film La Révélation des Pyramides se souviennent que j’y montre très brièvement la lecture d’une méta-machine, et l’interprétation de sa fonction – en réalité une seule d’entre elles, car elles sont multiples et concaténées, dans ce cas comme dans beaucoup d’autres –, bien que sans les avoir avertis qu’il s’agissait en effet de ce type de « mécanisme technologique »… Je veux parler de la fonction d’horloge de la grande pyramide de Gizeh (déguisé ?), une application « méta-machinique » dépourvue de mouvement et de transferts énergétiques, mais tout de même très expressément descriptive d’une relation espace-temps, appuyée sur un décompte du temps sidéral précis, et ce 27 siècles au moins avant notre ère, selon l’âge attribué officiellement à cet édifice, qui n’est en rien son âge réel… L’exemple développé ci-après montrera cette fois-ci un usage énergétique : il ne s’agit là et encore que de l’une des multiples applications ‘méta-machiniques’ de la grande pyramide de Gizeh, car j’en ai dénombré quatre à ce jour, mais je sais qu’il en existe d’autres.

Positionnons-nous à présent dans l’Histoire et dans le contexte général… Pour l’enseignement égyptologique classique, les constructions sur le site de Gizeh aurait été mises en œuvre par le roi Kheops (IVème dynastie – cerca 2 580 BC), fils du roi Snéfrou (cerca 2575-2550 BC), le plus grand bâtisseur de tous les temps (plus de trois fois plus de pierres édifiées que son fils, ce paresseux : pyramide rhomboïdale ; pyramide dite rouge – toutes deux à Dahchour – ; pyramide de Seïlah, dans le Fayoum, et finition de la pyramide de Houni, son père, à Meïdoum, soit donc quatre édifices géants de pierres taillées : si l’on suit stupidement la théorie pyramide = tombeau ou cénotaphe, à la manière d’un Jean-Pierre Adam, ce faux scientifique véritable scientiste, on aura donc mis la tête de ce monarque ici, ses bras là, son thorax plus loin, et son abdomen ailleurs… Le roi mégalomane et paresseux, donc, Kheops, aurait donc fait édifier son mausolée, sa tombe ‒ la fameuse grande pyramide ‒, première et plus imposante des Sept Merveilles du Monde (selon Antipater de Sidon, en 218 avant notre ère), mais dernière debout, et pour cela, au témoignage d’Hérodote d’Halicarnasse (484-420 BC), le Père de l’Histoire et des menteurs, aurait quasiment asservi son peuple et obligé sa fille à la prostitution pour cette construction (une passe = une pierre ! Ca fait énormément de travail, car le consensus général indique plus de deux millions et demi de pierres !), confiée à un prêtre architecte de sa famille : son neveu Hemiounou…

Pour le reste, ce ne sont que conjectures et « théories » variées restées invérifiables à ce jour…

Quand on regarde un peu au-delà de ces fariboles pour enfants, on constate d’abord que le problème est à la fois très complexe et beaucoup plus étendu et profond qu’on ne l’imagine, et ensuite, qu’il est extrêmement spécifiqueet scientifique

Pour les préfaciers de la Description de l’Egypte, le monumental ouvrage rédigé par les savants qui accompagnèrent Napoléon Bonaparte dans ce pays (1798-1802) − et le premier livre d’égyptologie dans le sens moderne du terme − ce lieu occupe une position stratégique unique : « Placée entre l’Asie et l’Afrique, et communiquant facilement avec l’Europe, l’Egypte était le centre de l’ancien monde. » Aspect que confirme à sa manière l’astronome royal écossais Charles Piazzi Smyth (1819-1900) en 1870, désignant le nord de l’Egypte comme étant « le lieu central du monde pour les surfaces terrestres ». Un demi-siècle plus tard, l’abbé Théophile Moreux (1867-1954), astronome et auteur de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique (maths et physique notamment), constate à son tour que la grande pyramide occupe indubitablement un site exceptionnel et unique (La Science mystérieuse des Pharaons, chez Gaston Doin, Paris, 1923. p. 22) : « Menons une parallèle par le 30e degré de latitude nord – propose-il –, que constatons-nous ? Un examen, même superficiel, nous montre que ce cercle tracé autour de la Terre est celui qui renferme le plus d’étendue continentale. Or c’est précisément sur ce parallèle qu’est construite la grande pyramide. » Rejoignant et précisant la curieuse constatation de l’astronome écossais, il écrit aussi : « Si l’on calcule exactement l’étendue des terres que l’homme peut habiter, il se trouve que ce fameux méridien les partage en deux portions rigoureusement égales. » (ibidem. p. 20). Cela signifie qu’il y a plus de surface de terres à la fois dans ce méridien (31e degré) et cette latitude (30e degré) que dans tout autre méridien ou latitude du globe terrestre. Ainsi, pour l’aimable est savant ecclésiastique, ce méridien « est le seul qui soit fondé sur la nature des choses, et par conséquent qui ait une véritable raison d’être. »

Mais ce n’est pas tout car, comme l’avaient remarqué les savants de Napoléon en 1799, si l’on prolonge les arêtes nord-est et nord-ouest de la grande pyramide, qui délimitent la face nord sur laquelle se trouve l’entrée de l’édifice, celles-ci encadrent avec une parfaite précision le delta du Nil tout entier : en effet, l’apothème nord (la ligne qui va du sommet au milieu du côté nord de la pyramide) prolongé partage donc ce Delta en deux parties rigoureusement égales, ainsi qu’on peut le constater sur l’illustration ci-après : autrement dit, la grande pyramide est le centre d’un cercle dont le quadrant nord inscrit parfaitement le delta du Nil.

En matière d’orientation, on ne peut qu’être étonné là encore, car pour l’égyptologue américain contemporain Mark Lehner, l’écart des alignements des côtés de la base par rapport aux axes Nord-Sud et Est-Ouest parfaits est seulement de 4 cm : on ne ferait probablement pas mieux de nos jours, même avec un théodolite à laser, une carte de haute précision, un triple système GPS piloté par satellite, un astronome et des équipes de professionnels du bâtiment, hautement qualifiés et très bien payés… Encore convient-il d’ajouter que toutes ces mesures angulaires sont incertaines, puisque exclusivement établies sur la pyramide telle qu’elle est actuellement, c’est-à-dire dégradée, usée et abîmée, et non telle qu’elle était dans sa splendeur d’origine… et sans tenir compte de la dérive des continents ou des modifications angulaires dues à des séismes…

Personne, aucun entrepreneur dans le monde, ne s’est encore aventuré à tenter édifier une pyramide de cette espèce, de cette dimension, avec cette précision… à l’aide de quelques techniques que ce soit et d’un financement pris en charge…

Question pertinente et impertinente : à quoi servent toutes ces dispositions et particularités (situation, orientation, précision), puisqu’elles sont toutes ‒ sans exception ‒ totalement invisibles à l’œil nu ?  En effet, pour les constater, il faut d’abord être capable de prendre des mesures linéaires et angulaires avec une très grande précision, connaître les dimensions et aspects de la planète Terre, et donc posséder préalablement une culture mathématique, géographique, scientifique et technologique étendues et sûres… Et pourquoi dans un tombeau royal ? A cette époque… et en ces lieux ?

Un autre aspect insolite, bien que de moindre importance, a retenu l’attention des commentateurs, que résume ici l’historien Diodore de Sicile (1er siècle B.C.), dans son Livre I : « Le plus extraordinaire est que, malgré l’énormité des constructions et le fait que tout le voisinage est couvert de sable, aucune trace ne subsiste (…), si bien que cette construction semble non pas due à un long travail des hommes, mais avoir été mise en place d’un seul coup par quelque divinité au milieu du sable environnant. » Il y a en effet de quoi être stupéfait, quant on ajoute ces invisibles précisions à l’énormité de cette colossale construction, dont la fonction a toujours été remise en cause tout au long de l’Histoire…

En 1858, tout comme de nos jours et comme dit, aucun entrepreneur n’aurait été capable d’imiter ou d’approcher un tel exploit – construire la grande pyramide de Gizeh ! –, et tout le monde le savait : alors, les anciens Egyptiens, impossible, impensable, stupide, délirant, débile, niais ; ridicule !

Qui avait positionné et bâti de cette manière dans un tel édifice géant quasi-parfait, sinon la divinité elle-même ? Qui d’autre ? Seul Dieu pouvait cela ! D’autant que le savant Dr John Lightfoot, vice-chancelier de l’Université de Cambridge (Grande-Bretagne) l’affirmait avec toute la précision voulue, suivant en cela Usher : « Le ciel et la terre furent créés en même temps, le 23 octobre 4004 avant J.C., à 9 h du matin. »

Donc, en effet, seul le Créateur – Dieu en personne – avait pu cela… C’était la charmante époque où commença une vraie guerre idéologique : évolutionnistes darwiniens contre créationnistes biblistes… Guerre stupide, égayée cependant par une découverte aussi inattendue que perturbatrice : un mathématicien et astronome amateur, John Taylor – qui n’a jamais mis les pieds en Egypte – fait savoir que le demi-périmètre de l’édifice géant divisé pas sa hauteur a pour résultat la constante mathématique Pi ! Un nombre irrationnel, parmi les plus difficiles à préciser, le piédestal sur lequel reposent la science et les techniques ! C’est là le lieu et le moment de reprendre une remarque pertinente du chercheur belge Rodolphe Werner : « Pour attirer l’attention des générations futures sur la destination utilitaire du monument [la grande pyramide], il était nécessaire que celui-ci n’en eut apparemment aucune (…). Comparée à la somme inouïe de travail qu’avait coûté ce chef d’œuvre de l’architecture égyptienne, une aussi frappante anomalie ne pouvait qu’assurer à ce mystère une tapageuse publicité. L’intérêt se fixant ainsi sur le secret de la grande pyramide, enquêtes, études et recherches conduiraient fatalement à la découverte des particularités arithmétiques du problème. » Méthode intelligente et subtile, non ? Et belle leçon de psychologie !

Arrêtons-nous un instant et tentons de cerner le problème…

Au vu de ces nombreux paradoxes factuels et concrets, aussi déconcertants qu’embarrassants, une question déterminante se pose de nouveau : erreur, absurdité, délire, hasards, coïncidences, ou science ? En d’autres termes ; qui, en ces époques reculées, a été capable d’une telle précision dans la localisation, dans l’orientation et dans la réalisation de ce gigantesque édifice ? Quand ? Comment ? Et surtout, pourquoi ? La question corollaire que l’on peut – que l’on doit – se poser, et qui n’est pas moindre, est donc simplement : pourquoi une telle exigence de précision, tant dans l’implantation et l’orientation que dans la réalisation ?

Aspects rituels, religieux, esthétiques, sociaux, autres ?

Démonstration de savoir, de savoir-faire, de force, de capacité ? Ou manière particulière d’attirer l’attention d’individus curieux,  intelligents et instruits ? Mais alors qui ? Quand ? Pourquoi ? Vers quoi ? Vers qui ? Face à ces trop nombreuses et très extravagantes bizarreries, en ces lieux et à cette époque, ces incongruités totalement invisibles et insoupçonnables à l’œil nu ‒ rappelons-le ‒, les archéologues et les égyptologues se bornent à répéter inlassablement que tout est dû au seul hasard, et que tout cela ne saurait être puisque les anciens Egyptiens ne possédaient en aucun cas un tel savoir, ne sachant pas même compter ni correctement mesurer en ce temps là, ni lire et écrire, et par conséquent, qu’ils étaient certainement et totalement incapables de telles prouesses. Certes, mais alors, qui ? Une guerre supplémentaire venait encore de commencer : écoutons les explications de l’égyptologie officielle et dogmatique, qui s’exprime ici par la voix très autorisée du Dr Barbara Mertz, égyptologue américaine représentante accréditée de l’orthodoxie la plus pure dans ce domaine : « Le mystère des pyramides tient au fait que les gens continuent à les trouver mystérieuses. Ce sont des tombes monumentales érigées pour les pharaons égyptiens, ce qui a été prouvé sans le moindre doute possible [sic]. Tout autres mystères qui auraient pu y avoir autour des pyramides ont déjà été résolus par les archéologues [re-sic !]. » Feu Jean-Philippe Lauer quant à lui, architecte et égyptologue de renommée mondiale, réputé avoir été le plus grand spécialiste français des pyramides d’Egypte, modestement surnommé le Pape ou l’Empereur des Pyramides par ses collègues, et auteur d’un livre qui fait encore autorité dans ce domaine après soixante-cinq ans (Le problème des pyramides d’Egypte, Ed. Payot, Paris 1948 : et oui ! Il y a en effet un problème des pyramides, il est bon de l’avouer !) ne craint pas − malgré tous ces constats de haute étrangeté − d’affirmer péremptoirement : « Les égyptologues sont tous d’accord pour professer que les grandes pyramides ont été des tombes royales y compris, sans conteste possible, la grande pyramide de Guizeh, la plus fameuse de toutes. » Etonnante déclaration quand, après avoir lu dans la préface du prestigieux ouvrage écrite par feu M. Jean Leclant, de l’Institut, que son livre est « le fruit de soixante années de recherches conduites sur le plateau des Pyramides », on prend connaissance de cette confidence faite par Monsieur Lauer lui-même à M. Jean-Patrice Goidin, lui aussi architecte : « Je ne suis pas un spécialiste de la pyramide de Kheops. Je ne l’ai pas étudiée » (Les Nouveaux Mystères de la Grande Pyramide, Gilles Dormion et Jean-Patrice Goidin. Editions Albin Michel, Paris 1987. p. 72) ???!!!

Est-ce bien sérieux ? Est-ce honnête ? Et pourquoi a priori ?

Mais oui, au fait, pourquoi ? Si la grande pyramide dite de Kheops n’est pas un tombeau ou, au mieux, un cénotaphe royal, qu’est-elle ?

A quoi sert-elle ? Pourquoi l’avoir conçue et édifiée ? Et en ces lieux ?

Et toujours : comment a-t-on construit ce prodigieux édifice géant ?

La bonne question pourrait donc bien être : les égyptologues sont-ils vraiment compétents en matière d’égyptologie ? Car – qu’on le veuille ou non − il y a là un vrai malaise ! Et un malaise reposant sur des faits

« La croyance absurde dans l’autorité est le pire ennemi de la vérité. » Albert Einstein, Collected papers, 1987. vol. I, p. 310

Afin de donner une assise plus ‘scientifiquement’ recevable au développement ci-après, donnons préalablement quelques exemples de la présence effective de science dans cet édifice, déjà étonnant par son gigantisme et sa diabolique précision : ce sera facile ; ses dimensions combinées montrent immédiatement qu’une haute et puissante intelligence autre a souhaité donner le témoignage de sa présence, à travers la géométrie, les mathématiques, la métrologie… et l’architecture.

Concaténation de trois systèmes métrologiques coordonnés (coudées, constantes mathématiques Pi et Phi, et… mètre)
Décomposition des dimensions de la chambre haute de la grande pyramide par constantes, racine carrées, et nombres entiers concaténés (nous aurions pu ajouter les congruences en mètres, mais au risque de ne pas être lisible)

Projetons-nous à présent au dernier ‘étage’ de l’édifice pyramidal…

Juste au-dessus du plafond de la chambre haute, cinq chambres se superposent et super-posent la question de leur utilité.

Jusqu’à ce jour, en effet, on ne sait pas exactement à quoi peut bien réellement servir l’ensemble de cette superstructure – soit environ 2 500 tonnes de granite élevées jusqu’à près de soixante-treize mètres de hauteur (soit jusqu’au sommet des tours de la cathédrale Notre-Dame de Paris) et ajustées au dixième de millimètre – qui, selon le point de vue des architectes (Jean-Pierre Houdin la dit « étrange ») ne sauraient servir à décharger le poids du sommet de la pyramide… L’ingénieur allemand Rudolph Gantenbrink dit des partisans de la thèse des « chambres de décharge » qu’« ils n’ont pas la moindre idée des réalités techniques », ce que je confirme. La simple observation met sérieusement en doute une telle utilité, prétendument architecturale : la chambre médiane, qui – elle − se situe dans l’axe pyramidal exact, ne bénéficie pas d’une telle quantité d’efforts, ne présentant que des simples chevrons de calcaire en guise de toiture, or elle reçoit une masse autrement plus importante. Alors, à quoi bon une telle débauche de travail, un tel tour de force, une telle prouesse inutile en terme de technique de construction ? Et pourquoi du granite ? Ceci dit, nous pouvons à présent parler de l’une des fonctions de cette pyramide en tant que méta-machine… Lorsque la chaleur solaire se fait sentir au petit matin, le corps de la pyramide enfle et se dilate en proportion de l’angle d’incidence des rayons sur sa forme (plus le Soleil monte dans le ciel, plus le rayonnement se fait sentir, mais la surface d’application de la chaleur diminue en proportion en allant vers la pointe de la pyramide) : cette dilatation entraine une pression accrue de la masse calcaire sur les blocs de granite de la chambre haute. Ceux-ci, contenant entre autres de fines particules cristallines de quartz (pour plus de précision : du dioxyde de silicium anisotrope, pourvu d’une grande stabilité physique, chimique et thermique, possédant une polarité et réagissant à la lumière et à l’électricité, directement ou par une pression ou torsion physique, pour être complet), vont produire un faible et subtil champ électromagnétique, qui sera amplifié et dirigé par les chambres dites de décharge – donc en réalité des chambres de charge – d’une part, et par le coffre, qui se mettra comme la chambre elle-même toute entière au diapason de ces fréquences. En effet, l’axe piézo-électrique de ce quartz est vertical, et ses propriétés sont différentes dans chaque direction (d’où, peut-être, le toit dès lors obligatoirement plat). Ces fréquences, amplifiées par résonance (cf. les découvertes de l’ingénieur et électronicien américano-serbo-croate désormais célèbre Nikola Tesla – 1856-1943 – relatives à l’amplification et à la direction des ondes stationnaires par le son) vont s’étendre dans l’ensemble de la grande pyramide, mais plus particulièrement dans le coffre de la chambre haute (appelé NeB-aNKh en égyptien ; possesseur de vie, soit l’inverse du grec sarkophagos, imposé pour les besoins de la cause des théories égyptologiques à la mode, et qui signifie mangeurs de chairs), et dans la chambre médiane (effet d’axe). En revanche, elles n’atteindront que très peu la chambre basse, qui les dissipera au fur et à mesure, comme le ferait une prise de terre. Cette légère ambiance électromagnétique ‒ en fait un milieu bioélectrique de même nature et gradient que celui qui anime les êtres vivants ‒ décomposée par la structure pyramidale, et surtout par la Grande galerie, tout comme le ferait un prisme optique triangulaire décomposant la lumière, va optimiser et équilibrer les relations entre systèmes vivants, les doper et les stabiliser, en même temps qu’elle neutralise les processus de dégradation organique et les germes pathogènes…

La chaleur suscite un gonflement du calcaire, qui fait pression sur le noyau de granite…
…engendrant un courant bio-éléctrique, concentré et dirigé vers le coffre (NeB aNKh en égyptien : panier de vie, et non pas mangeur de chairs, ce que signifie le mot sarcophage en grec)

C’est ainsi, pensons-nous, qu’a pu fonctionner cette très extraordinaire machine – pour nous désormais, une méta-machine – qui, outre sa fonction de borne scientifique, métrologique, géodésique et physique en rapport avec la Terre, se dimensions etc. et l’Univers, au delà de son utilisation comme horloge géo-temporelle (cf. le film LRDP), a pu aussi être un séparateur d’onde capable de concentrer et prolonger le flux de la vie, de l’harmoniser, voire de le transmettre, et ce jusqu’à la destruction de son parement de calcaire lisse et blanc, cette enveloppe qui garantissait la progression croissante proportionnelle et la répartition vibratoire correcte de la puissance électro-biologique développée sans aucun procédé mécanico-industriel… Cette vue expliquerait en outre la particularité observée par le quincaillier marseillais Antoine Bovis en 1934 ; l’étonnante momification des cadavres qui, échappant à la décomposition sans que l’on comprennent par quel processus, deviennent dès lors immortels… Ce qui justifierait l’envoi répété par la Nasa d’experts électro-acousticiens américains, tels que Thomas Danley par exemple, grand spécialiste – entre autres – de la lévitation par le son, par exemple… sans oublier le Prix Nobel de physique 1968, Luis W. Alvarez, qui échoua dans sa mission. C’était là l’un des plus hauts secrets de la science des dieux, la clef de la vie éternelle, héritée par les prêtres d’Egypte, parmi lesquels était souvent choisi le vizir de Pharaon et le monarque lui-même, et qui, en retour, était choisi par ceux-ci et initiés. Mais ce secret – hélas ou heureusement – fut perdu, probablement aux environs du XXVIème siècle avant notre ère, époque où se développèrent les habitudes de momifications et la doctrine de la vie prolongées dans les étoiles (rappelez-vous que le mot être – estar en espagnol – est proche du mot âtre, lui-même proche de astre... En anglais, star est une étoile, et tous ces mots se tiennent sémantiquement en rapport depuis l’ancienne Egypte, qui dessinait les morts comme autant d’étoiles, etc.) Il se pourrait donc que François-René de Chateaubriand ait eu raison lorsqu’il déclarait, à propos de cette grande pyramide : « Ce n’est point par le sentiment de son néant que [fut] élevé un tel sépulcre, c’est par l’instinct de son immortalité »… Il parlait de celle de l’Homme, évidemment… Mais sans savoir quels sont les secrets positifs et bien réels de son acquisition.

Lancement de la Revue ALKEMIA ! LE TRIMESTRIEL DE L’ALCHIMIE VRAIE !

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Il nous est apparu que la meilleure manière de faire aborder cette matière fort complexe, riche, profonde, étendue et utile qu’est l’Alchimie – entendue dans son acception la plus large – serait de rassembler les meilleurs textes en une revue légère et maniable… Cependant, une revue éparpillant et morcelant la matière en question n’aide ni aux rapprochements ni aux recherches ; nous avons donc dû répartir ladite matière en brefs items clairs et aisément reconnaissables, afin d’aller au plus court si nécessaire : ainsi, les différents matériaux constituant l’alchimie apparaîtront-ils le plus souvent – eux – en un ordre didactique volontaire dans le corps de la revue… Enfin, et pour rendre plus pratique ce vade mecum trimestriel de l’étudiant en alchimie, nous le compléterons une fois l’an d’une table générale des matières et articles, recueil alphabétique, mais aussi thématique et problématique, ainsi qu’une Table des noms cités, qui seule – pensons-nous – permettrait d’appréhender en vues générales indispensables à connaître, l’ensemble des paramètres de tels aspects de ladite matière alchimique, de la pensée de tels auteurs dans tels contextes ou encore, parfois mais dits erronément, ésotériques, magiques, astrologiques, et occultes, ce qui est tout un…

Nous irons encore plus loin, en offrant de temps à autres des index des noms, des bibliographies, quelques listes chronologiques spécifiques (sociétés secrètes, alchimistes, découvertes, etc.), et des aperçus généraux sur telle ou telle discipline, personnage ou situation, dissertant aussi sur cette partie importante mais négligée de la pensée humaine, réalisant en quelque sorte un Exposé critique général permanent des théories, des pratiques, des informations et des comportements dans ce domaine. Du moins essaierons-nous…

Nous espérons que notre travail atteindra ainsi sa cible double : être aussi facile d’accès que le sujet est difficile à traiter, comme le dit sa réputation, ce qui le rendra plus accessible et plus clair, plus aisé à cerner plus rigoureusement à en montrer les innombrables facettes, ainsi qu’à le débarrasser des scories laissées ici et là par sa très forte érosion critique, le plus souvent inadéquate et mensongère, et enfin ‒ the last but not the least ‒ de donner à penser à chaque page à tous les contempteurs de cette vision du monde si profonde, féconde, et – surtout – si nécessaire. Enfin, pour le plaisir et la surprise, nous proposerons des citations, proverbes, apophtegmes, aphorismes, sentences et maximes en tous genres et en toutes occasions, capables de résumer efficacement des pensées ou des sentiments, des expériences ou des généralisations, des détails ou des intuitions, ainsi que – comme ci-après, des extraits référencés des textes les plus utiles à la réflexion et à l’orientation : nous serions comblés si nous parvenions à joindre ici « l’utile à l’agréable », comme le recommandait Horace en son Art poétique… Il n’est donc que temps de vous offrir enfin la manne culturelle la plus rare, la plus nécessaire, voire la plus indispensable de ces temps troublés : que feraient sans cela celles et ceux que meut la vocation, que feraient-ils sans une aide ‘régulière’ qui les pousse et les tire vers la Vérité sempiternelle de la Pierre des Philosophes et de son écrin, l’Alchimie ? Que feraient-ils, que deviendraient-ils, ces êtres errant sans terme, dans la crainte de perdre leur âme, redevenus pauvres en esprit, nus et sans espérance, faibles en force et isolés en amitié, sans cette aide permanente qui leur fut donnée par des anges dès les premiers jours du monde sur la Terre, et qui se perpétuera quoi qu’il se passe ? Et où serait leur relation à Dieu le Créateur Unique et Bon ? Que serait-elle devenue sans cela ? Vous trouverez donc ici chaque trimestre une fiche biographique d’alchimiste, complétée de sa bibliographie et d’extraits de ses écrits, choisis avec pertinence ; un thème central, traité en étendue et profondeur, accompagné de vues pratiques et logistiques ; divers articles relatifs au contexte culturel de l’alchimie, et notamment, de sa philosophie ; un aperçu de la pratique alchimico-spagyrique véridique et utile ; un extrait des meilleurs et des plus rares textes hermético-alchimiques, des inédits ; la relation d’une ou plusieurs transmutations ; un Dossier Fulcanelli permanent ; une page dédiée au vocabulaire spécifique, parfois, remplacée par une interprétation cabalistico-classique d’un ou plusieurs emblèmes, mots, expressions, ou textes, ou une visite commentée d’une Demeure philosophale, le tout en 60 pages rédigées pour vous guider dans le dédale voulu de cette incroyable et très attractive discipline nommée Alkemia

Avec l’honneur et le bonheur de pouvoir vous aider…

Le travail pour moi,

Le profit aux Lecteurs,

La Gloire à Dieu !

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COMMUNIQUÉ RELATIF À LA SORTIE / DIFFUSION DU FILM LRDP²

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Les dispositions prises par le gouvernement face à la pandémie dite Covid-19 obligent à modifier notre agenda de sortie et de diffusion du film La Révélation des Pyramides 2, L’Equateur penché, l’enquête continue…, réalisé par Jacques Grimault et son équipe, ainsi que les modalités d’icelles…

Nous avions prévu – notamment pour remercier nos nombreux et généreux contributeurs/trices – de leur offrir le streaming de LRDP² en priorité et en exclusivité : nous maintenons évidement ce statut privilégié, mais sommes tenus de reporter cette séance spéciale à une date ultérieure, pour l’instant inconnue, et ce afin de protéger ce film de toute reproduction et de diffusion illicites autant qu’intempestives sur Internet, comme ce fut le cas du premier LRDP.

Pour la même raison, nous devrons décaler la diffusion des DVD pré-vendus et les autres… 1/ pas de possibilité de duplication en ce moment, cause Covid-192/ là encore, protéger ce film de toute reproduction et de diffusion illicites et intempestives…

C’est ce que nous avons dû aussi faire pour sauvegarder le VEE de LNA (le Voyage En Egypte de La Nouvelle Atlantide ‒ le reporter au mois de septembre, ou, en d’autres termes, à l’équinoxe d’automne, si toutefois cela devient possible, et ce pour d’identiques raisons, toutes aussi contraignantes quoique différentes d’aspects…

Ce cas de force majeure, surimposé par la totale impéritie du gouvernement, nous permettra cependant d’améliorer tout ou partie de ce film et son environnement publi-promotionnel (en ajoutant peut-être des bonus), dont – comme souvent et précédemment dit – l’impact risque de ressembler à un tsunami précédé d’un gigantesque tremblement de Terre accompagné de la survenue d’une comète, donc – en vérité – que du bon pour les Bons et du mauvais pour les Mauvais !

D’ici là, Amis, révisez méthodiquement et sérieusement lors de cette chance de remise à jour qu’est le confinement, et donc de vous organiser pour la suite… Ça va secouer sévère ! C’est dit !

A tous : santé, courage, et chance !

Merci de diffuser sans limites…

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Teaser LRDP²

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Souvenez-vous du livre « La Révélation des Pyramides, Pyramides de lumière, tome I » de Jacques Grimault, qui selon l’opinion des Trolls n'existait pas,...