Les notions ci-après développées le sont toutes pour la première fois au monde, et par leur découvreur même : l’auteur (« l’Informateur ») du film documentaire La Révélation des Pyramides (distribution mondiale Wild Bunch). Celui-ci les formalisa alors qu’il avait une vingtaine d’années, au cours de ses recherches personnelles sur les nombreuses énigmes historico-architecturales du monde ancien. Il n’en parla cependant qu’à l’âge mûr, quarante ans plus tard, afin de ne pas avoir à subir le sort de la plupart des découvreurs, et aussi, d’épargner à ses proches – amis et famille – les avanies qui s’ensuivraient inévitablement, ce qui dure encore pour lui et ses proches depuis 23 ans à ce jour… En 1808, Jean-François Champollion écrivait à son frère Jean-Jacques : « Si j’avais le malheur de pousser plus loin ma découverte, j’aurais tous les savants présents et à venir sur le corps, des critiques, des censures et plus de repos… Car le moindre de ces résultats, choquant toutes les opinions reçues, ne peut être adopté que d’un bien petit nombre de personnes instruites… Je suis effrayé de ce que j’y lis, plus couramment encore que je n’osais l’imaginer. J’ai des résultats (ceci entre nous) certainement embarrassants sous une foule de rapports, et qu’il nous faudra tenir sous le boisseau : mon attente n’a point été trompée, et beaucoup de choses que je soupçonnais vaguement ont pris un corps et une certitude incontestables »…
Le mot ‘méta-machine’ n’existe nulle part dans le vocabulaire mondial. Il y a fort à parier que c’est même la première fois que vous lisez ce terme double, qui peut pourtant vous sembler relativement familier : il y a une raison très simple à cela − qui n’engage pas votre culture générale ou particulière à la baisse ; j’ai dû inventer ce néologisme vers ma dix-neuvième année, afin de pouvoir clairement désigner les fonctionnements aussi discrets qu’efficients d’édifices énigmatiques géants ou de sites beaucoup moins discrets, tels que notamment − et pour les plus célèbres − ; la grande pyramide de Gizeh ; le grand Sphinx son voisin ; le cercle mégalithique de Stonehenge ; la plupart des grandes cathédrales européennes, et encore bien d’autres de par le monde…
Je ne raconterai pas ici comment me vint en la conscience cette notion de machine, précédé du grec méta (au-delà de), expression désignant désormais en mon esprit les « mécanismes » accolés à ces nombreux sites, totalement disparates et étrangers les uns aux autres en apparence, mais étroitement liés quant à leurs principes et à leur conception énergétiques : j’en ai donné connaissance dans le film LRDP (La Révélation Des Pyramides) ; en revanche, je m’appliquerai à faire comprendre les fonctionnements-types et l’utilité de ces méta-machines, en développant ici un exemple unique mais suffisamment éloquent, car consacré à la plus célèbre et la plus gigantesque des constructions réellement inconnues de notre planète Terre ; la fameuse grande pyramide de Gizeh…
Avant cela, il me faut expliquer comment et à quoi reconnaître les méta-machines en général, et ce malgré leurs différences d’aspect et de conception très considérables, parfois quasi fondamentales…
Ces méta-machines se caractérisent d’abord – outre leur taille souvent très imposante et leurs aspects énigmatiques redondants – par le fait :
1/ qu’elles entretiennent une ou plusieurs activités motrices quasiment indécelable(s) si l’on ne vous les montre pas,
2/ qu’elles n’offrent cependant strictement aucun mouvement dynamique perceptible ou susceptible d’être observé dans leurs parties ou dans leur tout,
3/ qu’elles ne nécessitent aucune mises au point techniques,
4/ qu’elles n’ont besoin d’aucune révisions dans la durée,
5/ qu’elles fonctionnent sans aucun arrêt sur quelques millénaires, voire sur quelques dizaines de millénaires et plus encore, et sans changements de pièces, car elles ne subissent pas la moindre usure appréciable,
6/ qu’elles ne présentent aucune possibilité de dysfonctionnement autre que leur casse ou leur éradication pure et simple, accidentelle ou voulue…
7/ qu’elles sont une parfaite et profonde intégration écologico-socio-énergétique dans les lieux où elles ont été situées,
8/ et enfin, que cette étonnante « technologie archaïque mais ultra-moderne » suggère et témoigne très fortement – c’est là que se situe le véritable et très intrigant problème – que notre passé ne fut pas celui que l’on nous enseigne partout et tout le temps…
Je ne tenterai pas ici et maintenant de répondre aux questions suivantes : « Qui a conçu et réalisé cela ? » « Quand ? » Et « comment ? », sujets qui devraient en principe intéresser les spécialités et amorcer des discussions hors de mon propos, sachant cependant avec certitude que personne ne bougera parmi-eux, et que je réserve donc pour mes prochains opus filmés : il me paraît en effet encore très prématuré d’en dire davantage, compte tenu de l’accueil sournois et parfois très violent qui a déjà été fait à mes autres découvertes, pourtant proposées sous formes d’hypothèses dans LRDP et mes divers écrits, sorte de misonéisme arriéré, certes, mais dont les nuisances sociales et les dégâts sont hélas bien réels. Je dirai cependant que l’exemple explicité proposé ci-après me paraît à lui seul capable à remettre très fortement en cause nombre d’aspects historiques, civilisationnels et sociétaux très généralement admis par les soi-disant élites qui nous gouvernent comme définitifs et irrémissibles. Les Lecteurs qui ont vu le film La Révélation des Pyramides se souviennent que j’y montre très brièvement la lecture d’une méta-machine, et l’interprétation de sa fonction – en réalité une seule d’entre elles, car elles sont multiples et concaténées, dans ce cas comme dans beaucoup d’autres –, bien que sans les avoir avertis qu’il s’agissait en effet de ce type de « mécanisme technologique »… Je veux parler de la fonction d’horloge de la grande pyramide de Gizeh (déguisé ?), une application « méta-machinique » dépourvue de mouvement et de transferts énergétiques, mais tout de même très expressément descriptive d’une relation espace-temps, appuyée sur un décompte du temps sidéral précis, et ce 27 siècles au moins avant notre ère, selon l’âge attribué officiellement à cet édifice, qui n’est en rien son âge réel… L’exemple développé ci-après montrera cette fois-ci un usage énergétique : il ne s’agit là et encore que de l’une des multiples applications ‘méta-machiniques’ de la grande pyramide de Gizeh, car j’en ai dénombré quatre à ce jour, mais je sais qu’il en existe d’autres.
Positionnons-nous à présent dans l’Histoire et dans le contexte général… Pour l’enseignement égyptologique classique, les constructions sur le site de Gizeh aurait été mises en œuvre par le roi Kheops (IVème dynastie – cerca 2 580 BC), fils du roi Snéfrou (cerca 2575-2550 BC), le plus grand bâtisseur de tous les temps (plus de trois fois plus de pierres édifiées que son fils, ce paresseux : pyramide rhomboïdale ; pyramide dite rouge – toutes deux à Dahchour – ; pyramide de Seïlah, dans le Fayoum, et finition de la pyramide de Houni, son père, à Meïdoum, soit donc quatre édifices géants de pierres taillées : si l’on suit stupidement la théorie pyramide = tombeau ou cénotaphe, à la manière d’un Jean-Pierre Adam, ce faux scientifique véritable scientiste, on aura donc mis la tête de ce monarque ici, ses bras là, son thorax plus loin, et son abdomen ailleurs… Le roi mégalomane et paresseux, donc, Kheops, aurait donc fait édifier son mausolée, sa tombe ‒ la fameuse grande pyramide ‒, première et plus imposante des Sept Merveilles du Monde (selon Antipater de Sidon, en 218 avant notre ère), mais dernière debout, et pour cela, au témoignage d’Hérodote d’Halicarnasse (484-420 BC), le Père de l’Histoire et des menteurs, aurait quasiment asservi son peuple et obligé sa fille à la prostitution pour cette construction (une passe = une pierre ! Ca fait énormément de travail, car le consensus général indique plus de deux millions et demi de pierres !), confiée à un prêtre architecte de sa famille : son neveu Hemiounou…
Pour le reste, ce ne sont que conjectures et « théories » variées restées invérifiables à ce jour…
Quand on regarde un peu au-delà de ces fariboles pour enfants, on constate d’abord que le problème est à la fois très complexe et beaucoup plus étendu et profond qu’on ne l’imagine, et ensuite, qu’il est extrêmement spécifique… et scientifique…
Pour les préfaciers de la Description de l’Egypte, le monumental ouvrage rédigé par les savants qui accompagnèrent Napoléon Bonaparte dans ce pays (1798-1802) − et le premier livre d’égyptologie dans le sens moderne du terme − ce lieu occupe une position stratégique unique : « Placée entre l’Asie et l’Afrique, et communiquant facilement avec l’Europe, l’Egypte était le centre de l’ancien monde. » Aspect que confirme à sa manière l’astronome royal écossais Charles Piazzi Smyth (1819-1900) en 1870, désignant le nord de l’Egypte comme étant « le lieu central du monde pour les surfaces terrestres ». Un demi-siècle plus tard, l’abbé Théophile Moreux (1867-1954), astronome et auteur de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique (maths et physique notamment), constate à son tour que la grande pyramide occupe indubitablement un site exceptionnel et unique (La Science mystérieuse des Pharaons, chez Gaston Doin, Paris, 1923. p. 22) : « Menons une parallèle par le 30e degré de latitude nord – propose-il –, que constatons-nous ? Un examen, même superficiel, nous montre que ce cercle tracé autour de la Terre est celui qui renferme le plus d’étendue continentale. Or c’est précisément sur ce parallèle qu’est construite la grande pyramide. » Rejoignant et précisant la curieuse constatation de l’astronome écossais, il écrit aussi : « Si l’on calcule exactement l’étendue des terres que l’homme peut habiter, il se trouve que ce fameux méridien les partage en deux portions rigoureusement égales. » (ibidem. p. 20). Cela signifie qu’il y a plus de surface de terres à la fois dans ce méridien (31e degré) et cette latitude (30e degré) que dans tout autre méridien ou latitude du globe terrestre. Ainsi, pour l’aimable est savant ecclésiastique, ce méridien « est le seul qui soit fondé sur la nature des choses, et par conséquent qui ait une véritable raison d’être. »
Mais ce n’est pas tout car, comme l’avaient remarqué les savants de Napoléon en 1799, si l’on prolonge les arêtes nord-est et nord-ouest de la grande pyramide, qui délimitent la face nord sur laquelle se trouve l’entrée de l’édifice, celles-ci encadrent avec une parfaite précision le delta du Nil tout entier : en effet, l’apothème nord (la ligne qui va du sommet au milieu du côté nord de la pyramide) prolongé partage donc ce Delta en deux parties rigoureusement égales, ainsi qu’on peut le constater sur l’illustration ci-après : autrement dit, la grande pyramide est le centre d’un cercle dont le quadrant nord inscrit parfaitement le delta du Nil.
En matière d’orientation, on ne peut qu’être étonné là encore, car pour l’égyptologue américain contemporain Mark Lehner, l’écart des alignements des côtés de la base par rapport aux axes Nord-Sud et Est-Ouest parfaits est seulement de 4 cm : on ne ferait probablement pas mieux de nos jours, même avec un théodolite à laser, une carte de haute précision, un triple système GPS piloté par satellite, un astronome et des équipes de professionnels du bâtiment, hautement qualifiés et très bien payés… Encore convient-il d’ajouter que toutes ces mesures angulaires sont incertaines, puisque exclusivement établies sur la pyramide telle qu’elle est actuellement, c’est-à-dire dégradée, usée et abîmée, et non telle qu’elle était dans sa splendeur d’origine… et sans tenir compte de la dérive des continents ou des modifications angulaires dues à des séismes…
Personne, aucun entrepreneur dans le monde, ne s’est encore aventuré à tenter édifier une pyramide de cette espèce, de cette dimension, avec cette précision… à l’aide de quelques techniques que ce soit et d’un financement pris en charge…
Question pertinente et impertinente : à quoi servent toutes ces dispositions et particularités (situation, orientation, précision), puisqu’elles sont toutes ‒ sans exception ‒ totalement invisibles à l’œil nu ? En effet, pour les constater, il faut d’abord être capable de prendre des mesures linéaires et angulaires avec une très grande précision, connaître les dimensions et aspects de la planète Terre, et donc posséder préalablement une culture mathématique, géographique, scientifique et technologique étendues et sûres… Et pourquoi dans un tombeau royal ? A cette époque… et en ces lieux ?
Un autre aspect insolite, bien que de moindre importance, a retenu l’attention des commentateurs, que résume ici l’historien Diodore de Sicile (1er siècle B.C.), dans son Livre I : « Le plus extraordinaire est que, malgré l’énormité des constructions et le fait que tout le voisinage est couvert de sable, aucune trace ne subsiste (…), si bien que cette construction semble non pas due à un long travail des hommes, mais avoir été mise en place d’un seul coup par quelque divinité au milieu du sable environnant. » Il y a en effet de quoi être stupéfait, quant on ajoute ces invisibles précisions à l’énormité de cette colossale construction, dont la fonction a toujours été remise en cause tout au long de l’Histoire…
En 1858, tout comme de nos jours et comme dit, aucun entrepreneur n’aurait été capable d’imiter ou d’approcher un tel exploit – construire la grande pyramide de Gizeh ! –, et tout le monde le savait : alors, les anciens Egyptiens, impossible, impensable, stupide, délirant, débile, niais ; ridicule !
Qui avait positionné et bâti de cette manière dans un tel édifice géant quasi-parfait, sinon la divinité elle-même ? Qui d’autre ? Seul Dieu pouvait cela ! D’autant que le savant Dr John Lightfoot, vice-chancelier de l’Université de Cambridge (Grande-Bretagne) l’affirmait avec toute la précision voulue, suivant en cela Usher : « Le ciel et la terre furent créés en même temps, le 23 octobre 4004 avant J.C., à 9 h du matin. »
Donc, en effet, seul le Créateur – Dieu en personne – avait pu cela… C’était la charmante époque où commença une vraie guerre idéologique : évolutionnistes darwiniens contre créationnistes biblistes… Guerre stupide, égayée cependant par une découverte aussi inattendue que perturbatrice : un mathématicien et astronome amateur, John Taylor – qui n’a jamais mis les pieds en Egypte – fait savoir que le demi-périmètre de l’édifice géant divisé pas sa hauteur a pour résultat la constante mathématique Pi ! Un nombre irrationnel, parmi les plus difficiles à préciser, le piédestal sur lequel reposent la science et les techniques ! C’est là le lieu et le moment de reprendre une remarque pertinente du chercheur belge Rodolphe Werner : « Pour attirer l’attention des générations futures sur la destination utilitaire du monument [la grande pyramide], il était nécessaire que celui-ci n’en eut apparemment aucune (…). Comparée à la somme inouïe de travail qu’avait coûté ce chef d’œuvre de l’architecture égyptienne, une aussi frappante anomalie ne pouvait qu’assurer à ce mystère une tapageuse publicité. L’intérêt se fixant ainsi sur le secret de la grande pyramide, enquêtes, études et recherches conduiraient fatalement à la découverte des particularités arithmétiques du problème. » Méthode intelligente et subtile, non ? Et belle leçon de psychologie !
Arrêtons-nous un instant et tentons de cerner le problème…
Au vu de ces nombreux paradoxes factuels et concrets, aussi déconcertants qu’embarrassants, une question déterminante se pose de nouveau : erreur, absurdité, délire, hasards, coïncidences, ou science ? En d’autres termes ; qui, en ces époques reculées, a été capable d’une telle précision dans la localisation, dans l’orientation et dans la réalisation de ce gigantesque édifice ? Quand ? Comment ? Et surtout, pourquoi ? La question corollaire que l’on peut – que l’on doit – se poser, et qui n’est pas moindre, est donc simplement : pourquoi une telle exigence de précision, tant dans l’implantation et l’orientation que dans la réalisation ?
Aspects rituels, religieux, esthétiques, sociaux, autres ?
Démonstration de savoir, de savoir-faire, de force, de capacité ? Ou manière particulière d’attirer l’attention d’individus curieux, intelligents et instruits ? Mais alors qui ? Quand ? Pourquoi ? Vers quoi ? Vers qui ? Face à ces trop nombreuses et très extravagantes bizarreries, en ces lieux et à cette époque, ces incongruités totalement invisibles et insoupçonnables à l’œil nu ‒ rappelons-le ‒, les archéologues et les égyptologues se bornent à répéter inlassablement que tout est dû au seul hasard, et que tout cela ne saurait être puisque les anciens Egyptiens ne possédaient en aucun cas un tel savoir, ne sachant pas même compter ni correctement mesurer en ce temps là, ni lire et écrire, et par conséquent, qu’ils étaient certainement et totalement incapables de telles prouesses. Certes, mais alors, qui ? Une guerre supplémentaire venait encore de commencer : écoutons les explications de l’égyptologie officielle et dogmatique, qui s’exprime ici par la voix très autorisée du Dr Barbara Mertz, égyptologue américaine représentante accréditée de l’orthodoxie la plus pure dans ce domaine : « Le mystère des pyramides tient au fait que les gens continuent à les trouver mystérieuses. Ce sont des tombes monumentales érigées pour les pharaons égyptiens, ce qui a été prouvé sans le moindre doute possible [sic]. Tout autres mystères qui auraient pu y avoir autour des pyramides ont déjà été résolus par les archéologues [re-sic !]. » Feu Jean-Philippe Lauer quant à lui, architecte et égyptologue de renommée mondiale, réputé avoir été le plus grand spécialiste français des pyramides d’Egypte, modestement surnommé le Pape ou l’Empereur des Pyramides par ses collègues, et auteur d’un livre qui fait encore autorité dans ce domaine après soixante-cinq ans (Le problème des pyramides d’Egypte, Ed. Payot, Paris 1948 : et oui ! Il y a en effet un problème des pyramides, il est bon de l’avouer !) ne craint pas − malgré tous ces constats de haute étrangeté − d’affirmer péremptoirement : « Les égyptologues sont tous d’accord pour professer que les grandes pyramides ont été des tombes royales y compris, sans conteste possible, la grande pyramide de Guizeh, la plus fameuse de toutes. » Etonnante déclaration quand, après avoir lu dans la préface du prestigieux ouvrage écrite par feu M. Jean Leclant, de l’Institut, que son livre est « le fruit de soixante années de recherches conduites sur le plateau des Pyramides », on prend connaissance de cette confidence faite par Monsieur Lauer lui-même à M. Jean-Patrice Goidin, lui aussi architecte : « Je ne suis pas un spécialiste de la pyramide de Kheops. Je ne l’ai pas étudiée » (Les Nouveaux Mystères de la Grande Pyramide, Gilles Dormion et Jean-Patrice Goidin. Editions Albin Michel, Paris 1987. p. 72) ???!!!
Est-ce bien sérieux ? Est-ce honnête ? Et pourquoi a priori ?
Mais oui, au fait, pourquoi ? Si la grande pyramide dite de Kheops n’est pas un tombeau ou, au mieux, un cénotaphe royal, qu’est-elle ?
A quoi sert-elle ? Pourquoi l’avoir conçue et édifiée ? Et en ces lieux ?
Et toujours : comment a-t-on construit ce prodigieux édifice géant ?
La bonne question pourrait donc bien être : les égyptologues sont-ils vraiment compétents en matière d’égyptologie ? Car – qu’on le veuille ou non − il y a là un vrai malaise ! Et un malaise reposant sur des faits…
« La croyance absurde dans l’autorité est le pire ennemi de la vérité. » Albert Einstein, Collected papers, 1987. vol. I, p. 310
Afin de donner une assise plus ‘scientifiquement’ recevable au développement ci-après, donnons préalablement quelques exemples de la présence effective de science dans cet édifice, déjà étonnant par son gigantisme et sa diabolique précision : ce sera facile ; ses dimensions combinées montrent immédiatement qu’une haute et puissante intelligence autre a souhaité donner le témoignage de sa présence, à travers la géométrie, les mathématiques, la métrologie… et l’architecture.
Projetons-nous à présent au dernier ‘étage’ de l’édifice pyramidal…
Juste au-dessus du plafond de la chambre haute, cinq chambres se superposent et super-posent la question de leur utilité.
Jusqu’à ce jour, en effet, on ne sait pas exactement à quoi peut bien réellement servir l’ensemble de cette superstructure – soit environ 2 500 tonnes de granite élevées jusqu’à près de soixante-treize mètres de hauteur (soit jusqu’au sommet des tours de la cathédrale Notre-Dame de Paris) et ajustées au dixième de millimètre – qui, selon le point de vue des architectes (Jean-Pierre Houdin la dit « étrange ») ne sauraient servir à décharger le poids du sommet de la pyramide… L’ingénieur allemand Rudolph Gantenbrink dit des partisans de la thèse des « chambres de décharge » qu’« ils n’ont pas la moindre idée des réalités techniques », ce que je confirme. La simple observation met sérieusement en doute une telle utilité, prétendument architecturale : la chambre médiane, qui – elle − se situe dans l’axe pyramidal exact, ne bénéficie pas d’une telle quantité d’efforts, ne présentant que des simples chevrons de calcaire en guise de toiture, or elle reçoit une masse autrement plus importante. Alors, à quoi bon une telle débauche de travail, un tel tour de force, une telle prouesse inutile en terme de technique de construction ? Et pourquoi du granite ? Ceci dit, nous pouvons à présent parler de l’une des fonctions de cette pyramide en tant que méta-machine… Lorsque la chaleur solaire se fait sentir au petit matin, le corps de la pyramide enfle et se dilate en proportion de l’angle d’incidence des rayons sur sa forme (plus le Soleil monte dans le ciel, plus le rayonnement se fait sentir, mais la surface d’application de la chaleur diminue en proportion en allant vers la pointe de la pyramide) : cette dilatation entraine une pression accrue de la masse calcaire sur les blocs de granite de la chambre haute. Ceux-ci, contenant entre autres de fines particules cristallines de quartz (pour plus de précision : du dioxyde de silicium anisotrope, pourvu d’une grande stabilité physique, chimique et thermique, possédant une polarité et réagissant à la lumière et à l’électricité, directement ou par une pression ou torsion physique, pour être complet), vont produire un faible et subtil champ électromagnétique, qui sera amplifié et dirigé par les chambres dites de décharge – donc en réalité des chambres de charge – d’une part, et par le coffre, qui se mettra comme la chambre elle-même toute entière au diapason de ces fréquences. En effet, l’axe piézo-électrique de ce quartz est vertical, et ses propriétés sont différentes dans chaque direction (d’où, peut-être, le toit dès lors obligatoirement plat). Ces fréquences, amplifiées par résonance (cf. les découvertes de l’ingénieur et électronicien américano-serbo-croate désormais célèbre Nikola Tesla – 1856-1943 – relatives à l’amplification et à la direction des ondes stationnaires par le son) vont s’étendre dans l’ensemble de la grande pyramide, mais plus particulièrement dans le coffre de la chambre haute (appelé NeB-aNKh en égyptien ; possesseur de vie, soit l’inverse du grec sarkophagos, imposé pour les besoins de la cause des théories égyptologiques à la mode, et qui signifie mangeurs de chairs), et dans la chambre médiane (effet d’axe). En revanche, elles n’atteindront que très peu la chambre basse, qui les dissipera au fur et à mesure, comme le ferait une prise de terre. Cette légère ambiance électromagnétique ‒ en fait un milieu bioélectrique de même nature et gradient que celui qui anime les êtres vivants ‒ décomposée par la structure pyramidale, et surtout par la Grande galerie, tout comme le ferait un prisme optique triangulaire décomposant la lumière, va optimiser et équilibrer les relations entre systèmes vivants, les doper et les stabiliser, en même temps qu’elle neutralise les processus de dégradation organique et les germes pathogènes…
C’est ainsi, pensons-nous, qu’a pu fonctionner cette très extraordinaire machine – pour nous désormais, une méta-machine – qui, outre sa fonction de borne scientifique, métrologique, géodésique et physique en rapport avec la Terre, se dimensions etc. et l’Univers, au delà de son utilisation comme horloge géo-temporelle (cf. le film LRDP), a pu aussi être un séparateur d’onde capable de concentrer et prolonger le flux de la vie, de l’harmoniser, voire de le transmettre, et ce jusqu’à la destruction de son parement de calcaire lisse et blanc, cette enveloppe qui garantissait la progression croissante proportionnelle et la répartition vibratoire correcte de la puissance électro-biologique développée sans aucun procédé mécanico-industriel… Cette vue expliquerait en outre la particularité observée par le quincaillier marseillais Antoine Bovis en 1934 ; l’étonnante momification des cadavres qui, échappant à la décomposition sans que l’on comprennent par quel processus, deviennent dès lors immortels… Ce qui justifierait l’envoi répété par la Nasa d’experts électro-acousticiens américains, tels que Thomas Danley par exemple, grand spécialiste – entre autres – de la lévitation par le son, par exemple… sans oublier le Prix Nobel de physique 1968, Luis W. Alvarez, qui échoua dans sa mission. C’était là l’un des plus hauts secrets de la science des dieux, la clef de la vie éternelle, héritée par les prêtres d’Egypte, parmi lesquels était souvent choisi le vizir de Pharaon et le monarque lui-même, et qui, en retour, était choisi par ceux-ci et initiés. Mais ce secret – hélas ou heureusement – fut perdu, probablement aux environs du XXVIème siècle avant notre ère, époque où se développèrent les habitudes de momifications et la doctrine de la vie prolongées dans les étoiles (rappelez-vous que le mot être – estar en espagnol – est proche du mot âtre, lui-même proche de astre... En anglais, star est une étoile, et tous ces mots se tiennent sémantiquement en rapport depuis l’ancienne Egypte, qui dessinait les morts comme autant d’étoiles, etc.) Il se pourrait donc que François-René de Chateaubriand ait eu raison lorsqu’il déclarait, à propos de cette grande pyramide : « Ce n’est point par le sentiment de son néant que [fut] élevé un tel sépulcre, c’est par l’instinct de son immortalité »… Il parlait de celle de l’Homme, évidemment… Mais sans savoir quels sont les secrets positifs et bien réels de son acquisition.