L’ensemble des égyptologues, et d’une manière générale la communauté scientifique, se refuse énergiquement à admettre que la grande pyramide de Gizeh, abusivement appelée par eux pyramide de Kheops, puisse être autre chose qu’une tombe pharaonique et donc un édifice d’où la science est… totalement exclue…

Ces mêmes personnes n’admettent donc pas que cet édifice exceptionnel puisse receler – et être le support – de très nombreuses valeurs mathématiques à caractère didactique et pédagogique : il nous semble pourtant avoir proposé, dans notre film et nombre de nos précédents articles, de quoi réfléchir sérieusement à cet aspect, presque incompréhensible, certes, mais d’un intérêt capital. Si retirer des mesures de cette construction cyclopéenne l’indication de la vitesse de la lumière, quasi constante universelle, ne devait pas suffire, qu’on se rassure, ce n’est pas fini, et loin s’en faut : nous proposons donc – une fois de plus – matière à réflexion, en abordant ici l’indication de la durée moyenne de l’année précessionnelle, constante astronomique spécifiquement terrestre, ainsi que la relation unissant la lumière à ce cycle astronomique prétendument inconnu avant Hipparque…

Dans notre film et ailleurs, nous avons montré que la grande pyramide de Gizeh, dite abusivement de Kheops, recelait l’indication nombrée en mètres et secondes d’une quasi constante universelle, que l’on retrouvait au prix de quelques brèves opérations de simple arithmétique ; nous voulons parler de la vitesse de la lumière. On se souvient que celle-ci pouvait être obtenue en soustrayant le périmètre du cercle inscrit dans cette pyramide, exprimé en mètres (donc contre l’avis de l’éminent Umberto Eco, surnommé par moi Umberto Escroc – paix à son âme), à celui du cercle inscrivant la pyramide : la précision obtenue, par rapport aux chiffres dont se servent les physiciens actuels était de l’ordre de 1/ 80 000ème, soit une différence de 3,7 km par seconde, erreur que nous croyons due à une minuscule erreur d’expérimentation de ces derniers…

Ce que nous démontrerons évidemment et abondamment le moment venu… Comme selon notre manière de faire, immuable.. Exposons donc : autant la vitesse de la lumière représente un énorme déplacement dans l’espace dans un temps très bref, autant la mesure que nous allons maintenant donner, et qui se trouve elle aussi dans les dimensions de cette grande pyramide, est un minuscule déplacement dans un temps très long, qui lui aussi est une quasi constante : ainsi, comme précédemment article, pouvons-nous affirmer sans réserve, face à l’égyptologie orthodoxe (celle de Jean-Pierre Adam – dit désormais Jean-Pierre Pédant par certains – et ses épigones et supporteurs), que la durée moyenne du cycle de précession des équinoxes est inscrite dans la géométrie de la grande pyramide de Gizeh, et que par conséquent, ses référents – mesures de temps -, c’est-à-dire ici le jour et l’année sidérale, y figurent aussi, validant toute autre espèce de mesure décryptée jusqu’à ce jour les mettant en œuvre (1).

Nous sommes assurés que cette révélation sera de nature à séduire, car elle démontre que cette donnée fondamentale était connue en Égypte bien plus de 2 500 ans avant Hipparque, ce qui met fin à toute discussion sur ce sujet…

Tout comme précédemment, il nous faut procéder grâce à de très simples opérations d’arithmétique, qui n’auront que le tort d’être peut-être oubliées, parce que trop éloignées de nos études primaires : cette mesure temporelle n’est autre que le volume pyramidal exprimé en mètres cubes, ou, pour nous faire mieux comprendre, le volume de la grande pyramide de Gizeh, exprimé en mètres cubes, est égal au nombre d’années du cycle précessionnel moyen.

Voyons cela, mais avant, rappelons que ce qui nous permet d’obtenir les justes, correctes et exactes mesures de l’édifice pyramidal premier ; le module dimensionnel utilisé ici, ou l’unité de mesure, si vous préférez, est dit ‘coudée de Memphis’, qui est, entre autres, le périmètre d’un triangle rectangle de 1 de petit coté sur 1 + 1 de grand coté, divisé par 10 :

Coté de la grande pyramide = 440 coudées de 0,5236 m = 230,384 m.
Hauteur de la grande pyramide = 280 coudées = 146,608 m.
Formule pour obtenir le volume d’une pyramide = coté au carré x hauteur / 3, soit donc ici 230,384 (mètres de côté) x 230,384 (idem) x 146,608 (mètres de haut) / 3 = 25 938 27,10 m3

L’année précessionnelle moyenne est quant à elle évaluée à 25 920 ans par Platon (qui – rappelons-le – étudia treize ans à Héliopolis et à Saïs, en Egypte, selon Strabon et Cicéron, entre autres…).
Ecart des valeurs sans tenir compte de la place de la virgule :
25 938 27,10 – 25 920,00 = 18, 271 soit une différence de 1/1440ème environ ou, en temps, de 18 ans et quelques semaines sur environ 25 920 ans, ce qui, sur une telle durée, constitue en effet une valeur moyenne.
Curieusement, cette valeur différentielle ressemble à s’y méprendre à celle dite Cycle de Méton.
A noter que M Louis Albertelli donne comme valeur précise : « Volume total de la pyramide achevée : 2 592 000 m3 » (Le secret de la construction de la pyramide de Kheops. Editions du Rocher, Collection Champollion. 1993. p. 258), c’est-à-dire le chiffre même de la durée moyenne de cette révolution de précession, appelée Grande Année par Platon, et empruntée par lui aux Egyptiens. Mais M. Albertelli ne le rapporte évidemment pas à celle-ci… pas plus que Mme Christiane Ziegler, Conservateur aux Antiquités égyptiennes du musée du Louvres, qui, dans son dernier ouvrage relatif aux pyramides égyptiennes, écrit avec M. Jean-Pierre Adam, architecte et égyptologue au CNRS, donne le volume de 2 592 100 m3 à cet édifice sans tant soit peu sourciller… Ce qui est habituel dans ce contexte d’intelligences fermées car dogmatiques et idéologues…

Passons maintenant à plus sérieux, à extraordinairement incongru, à prodigieusement étrange, à suffoquant, à délirant, et, pour tout dire, incroyable, ce que nous admettons volontiers, nous, faute de mieux et parce que vrai : le nombre d’années du cycle précessionnel moyen fourni par la pyramide est sensiblement le même que le nombre de kilomètres parcourus par la lumière, à la vitesse indiquée par cette même pyramide, en une année sidérale… Démonstration !

Retournons dans notre film, pour y reprendre la mesure pyramidale de la vitesse de la lumière, soit 299 796,2 km par seconde.
Multiplions la par 60, qui est le nombre de secondes en une minute, ce qui fait 299 796,2 x 60 = 17 987 772 km/mn, puis encore par 60, qui est le nombre de minutes dans une heure, soit 17 987 772 x 60 = 107 926 632 km/h, multiplions de nouveau, mais par 24, qui est le nombre d’heures dans une journée, soit 107 926 560 x 24 = 259 023 744 km/Jour, et enfin, multiplions par le nombre de jours de l’année sidérale, soit par 365,2563 jours (qui est un nombre énantiomère, remarquez-le, c’est-à-dire un nombre qui se lit identiquement et également de droite à gauche), ce qui fait alors 259 023 744 x 365, 2563 = 9 467 150 329 600 km par an…

Or le nombre de jours de l’année précessionnelle moyenne, dite Grande année, est de 25 920 x 365,2563 (jours par an) = 9 467 443,2 jours. Ecart des valeurs, sans tenir compte de la virgule, là encore : 9 467 443,2 – 9 467 150, 3296 = 292,9 soit environ 1/32 000ème − en distance ou en temps −, qui fait mieux en précision ? C.Q.F.D ! Nous entendons déjà le concert des litanies indignées, des arguments fallacieux, des « coïncidences curieuses qui ne veulent rien dire », les « d’ailleurs ces résultats ne sont pas assez nets, précis, exacts, pour être pris en considération et retenir valablement l’attention du monde savant et des scientifiques », les « ce sont là des fantaisies », à la façon et sur le ton de Jean-Pierre Adam, le pseudo-scientifique ridicule et sans courage (il n’ose toujours pas m’affronter de face, en public et en direct) etc. etc. etc. Nous n’en avons que faire, de lui et de ces litanies d’incultes : le plus important pour nous reste de savoir − mais qui saura le dire ? − qui a ordonné de pareilles « coïncidences », qui font que l’on trouve dans la Nature et dans les mesures en mètres d’un même édifice, conçu et bâti il y a au moins 4 700 ans on ne sait trop comment, pour quoi, et par qui, une étroite et indéfectible correspondance entre une mesure d’espace, le kilomètre − donc un multiple décimal du mètre −, et des mesures de temps (la seconde, le jour solaire moyen, l’année sidérale, et l’année précessionnelle), et ce dans des référentiels dont l’un, la vitesse de la lumière, est quasi universel dans l’Univers connu, et les autres − la seconde, l’année sidérale et l’année précessionnelle −, sont parfaitement spécifiques à la Terre, notre planète… Questions corollaires obligées : d’où proviennent donc et qui a conçu ou découvert (et rendu utilitaires) ces unités de mesures de l’espace et du temps, si parfaitement coordonnées, qu’on trouve dans cette extraordinaire construction, et encore jusqu’à ce jour dans nos cultures ?

(1) Le cycle de précession des équinoxes définit la durée moyenne de rétrogradation du point vernal sur l’écliptique ; les mesures proposées par les astronomes actuels sont éminemment variables, et vont de 25 840 ans à 26 120 ans environ, soit 25 980 ans de moyenne…

La suite dans notre prochain film ; ‘La Révélation des Pyramides 2, L’Équateur penché : l’enquête continue’… de Jacques Grimault, et non de tel ou tels imposteurs/emprunteurs quels qu’ils soient et quoi qu’ils prétendent…

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